Espoirs Crépusculaires
Par : Droran
Genre : Polar , Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 14
Publié le 28/10/15 à 01:14:18 par Droran
De sa démarche traînante, douloureuse, il quitta la place et gagna un trottoir déserté, se mût sous les chaleurs des lampadaires sous lesquelles s’avançait –non loin devant- le noctambule esseulé.
L’idée ne l’enchantait guère. S’il la laissait guider ses pas, et décidait de suivre l’homme, il avait parfaitement conscience de son inconscience. En vérité, si de prime abord Hoel avait pensé ne pas réchapper à cette nuit, être encore en vie ne le rendait pas heureux. Une pointe d’énervement faisait trembler ses membres. Mieux valait se cacher, rentrer au plus vite : mais le temps s’était déjà trop écoulé, il lui apparaissait évident qu’après les événements de cette nuit on le trouverait bientôt, lui et son appartement, et donc aussi Cheryl, peut-être même avant le midi de cette journée qui débutait ; alors il avançait encore, silencieux, s’apprêtant à s’en prendre au pauvre insouciant afin de calmer ses nerfs, et de ne pas rentrer les mains vides, à ne pas savoir quoi faire une fois son foyer retrouvé.
L’inconnu tourna à l’angle d’un bâtiment, restaurant aux stores clos, enjamba un plot métallique et s’engagea dans une rue plus étroite, pavée, où circulaient quelques piétons étant -pour la plupart- pressés de rentrer chez eux. Son trajet se termina néanmoins rapidement : il longea un mur, ralentit son allure en approchant d’un distributeur automatique de billet implanté sur la façade d’un bâtiment aux murs clairs, en dehors du centre de la rue, qui lui seul se trouvait être bien éclairé par de longues guirlandes tendues entre les immeubles.
Hoel ne lâcha pas sa proie d’une semelle, pénétra à son tour dans la rue, vit l’écran électronique briller dans l’ombre et sa victime se poster devant ce dernier. Les quelques mètres qui les séparaient se réduisirent alors que l’homme inséra sa carte bancaire dans un interstice prévu pour la recevoir, et ne furent presque plus qu’un lointain souvenir lorsque la demande du montant à retirer s’afficha sur l’écran lumineux.
Arrivant calmement assez loin derrière son dos en feintant d’être plongé dans ses pensées, Hoel sortit ses mains des poches de sa veste, se tourna vers l’inconnu en avalant la distance les séparant. Il abattit sa jambe douloureuse sur l’arrière d’un des genoux du malheureux, qui s’affaissa et se rattrapa en s’appuyant sur le cadre du distributeur électronique. Sa plainte criée résonna autour d’eux. L’adolescent profita de cette mise en faiblesse pour l’étourdir, appuya l’une de ses mains sales sur l’arrière du crâne de l’agressé, qui rebondit contre le métal cerclant la machine en laissant résonner un choc brutal.
L’homme posa un genou au sol, s’apprêta à se laisser glisser dos au mur ; seulement Hoel dégaina son revolver, l’appuya contre le dos de l’inconnu en empoignant sa nuque pour le forcer à ne pas bouger.
— Relève-toi ! Ordonna le jeune homme, en effleurant de la pointe du canon le malheureux.
L’obligé déglutit. Paniqué, il resta paralysé et ne réagit pas. Hoel le bouscula et frappa d’un grand coup sur le dessus de son crâne.
— Relève-toi, connard ! Aboya-t-il encore pour le faire obéir.
L’homme ploya sous la douleur, mais releva l’un de ses genoux, prit difficilement appui sur ses deux jambes, se pencha en avant et étala ses mains à plat de chaque côté du clavier numérique implanté sur le tableau de bord de la machine. Derrière lui, Hoel sentait un élancement dans sa jambe gauche, et grimaçait. Il n’aurait pas dû s’en servir pour attaquer, risquait dorénavant de ne plus savoir imiter une marche normale s’il lui était permis de rentrer après en avoir fini ici.
Ravalant la douleur, il releva son bras et colla le canon de son arme contre la tête de l’homme, devant laquelle l’écran de la machine demandait encore quel montant il lui faudrait retirer.
— Tu tiens plus à ta vie ou à ton compte en banque ? Demanda Hoel, d’une voix énervée.
— Putain mais tu veux quoi, merde ?! Lui répondit-on, en ignorant sa question.
En réponse, Hoel abattit le dessous de la crosse du revolver sur le crâne de l’homme.
— Putain arrête ! Stoppe ! Se plaignit la victime, dont les yeux se retrouvaient rougis par le coup.
— Tu veux vivre, l’ami ? Tu as de la famille, une copine ? Demanda l’adolescent, qui adapta sa question à l’attention dont faisait preuve l’individu.
— Oui… Oui, je veux vivre.
— Et tu me prêterais un peu d’argent pour rester en vie ? Continua Hoel, en sentant venir le coup facile.
— Non, mec, non. Tire si tu veux. Je ne peux pas, résista l’homme en laissant s’évanouir les espoirs de Hoel.
— Le problème, c’est que tu vas mourir, relança l’adolescent en remontant le marteau de l’arme, qui jusque-là n’était pas prête à tirer. Ta cervelle va repeindre ce distributeur, pauvre merde ! Tu crèveras comme le tocard que tu es dans cette rue déserte, de la main d’un type qui ne connait même pas ton nom, et ta copine se retrouvera seule, se mettra à boire en pleurant tous les soirs. Après ça elle commencera la drogue, Langue Charnelle, cette merde importée d’Eldan lui bousillera bien le cerveau, et elle finira par se suicider. Même tes parents, tes frères et sœurs : ils passeront leurs vies à te pleurer, car tu auras refusé de te délester de simples chiffres alignés sur ton putain de compte en banque, connard d’égoïste !
— Quoi ? Arrête, c’est quoi ce délire, putain…
— Je t’ai prévenu, tu vas mourir ! S’exclama une dernière fois Hoel en attrapant la gorge de l’homme afin de ramener sa tête en arrière, de glisser par la force le canon du revolver dans sa bouche. Une dernière parole à prononcer ?
Le métal glacé coincé entre ses dents aida à sa décision. Malgré sa langue restant plaquée sous le canon du pistolet, il réussit à cracher quelques syllabes intelligibles, qui poussèrent Hoel à le soulager du métal mouillé de salive qui lui chatouillait la gorge.
— Qu’est-ce que tu as dit ? Redemanda-t-il, bien qu’ayant compris que l’homme se montrait enfin coopératif.
— Combien tu veux ? Demanda l’inconnu en reprenant son souffle. Mais putain, mec, tes mains…
— Je ne veux pas grand-chose. De quoi boire quelques verres… Cinquante billets, ça m’irait.
L’homme cessa tout mouvement un instant.
— Seulement cinquante ?
— Ferme-la et retire ce putain de fric avant qu’on nous tombe dessus ! S’énerva encore l’adolescent, en le frappant une nouvelle fois.
La victime cessa toute réflexion, sélectionna le montant demandé par Hoel en appuyant sur un bouton situé sur la droite de l’écran, puis écrasa les touche du pavé numérique pour entrer son code personnel protégeant l’accès à sa carte bancaire. 7, 8, 1, 3, observa Hoel avec attention. Un sourire illumina son visage un instant, et son regard se perdit autour d’eux. Les passants se tenaient à l’écart, les voyaient mais feintaient de n’être témoins de rien, passaient à travers d’autres rues en voyant l’arme que tenait entre ses mains le jeune bandit. Mais quel crétin, pensa-t-il avant de relever son revolver pour l’abattre violemment sur le crâne de l’individu ; cela à plusieurs reprises.
Le violenté céda sous les coups. Il ploya et tomba au sol. Hoel en profita pour relever sa jambe valide et lui assener un coup de pied dans l’abdomen, qui le fit se tordre de douleur.
— Ne te relève pas ! Ordonna-t-il au pauvre homme en pointant l’arme en direction de sa tête.
Devant lui, la carte bancaire fut recrachée par la machine. Hoel la récupéra, et les billets sortirent à leur tour d’une bouche située sous l’écran. Cinquante, ce n’était pas assez, il lui en fallait plus et comptait faire cracher à l’homme ce qu’il n’avait pas.
Etalant les billets sur le tableau de bord à côté du clavier, il inséra à nouveau la carte dans le distributeur, commanda la plus haute somme possible à retirer, répéta le code qu’il avait mémorisé, et récupéra les billets qui furent vomis par l’appareil. Déjà mieux, mais pas encore assez au goût de Hoel, qui réitéra l’action, fit sortir de la machine une nouvelle liasse, qu’il ajouta à celles qu’il avait déjà en sa possession. Deux mille, une sacrée somme. Le tout sera pour Cheryl, décida-t-il sur l’instant en rassemblant l’argent entre ses doigts tachés de sang ; avant de l’enfouir dans ses poches
— Tu ne m’as jamais vu, menaça-t-il l’homme à terre sans vraiment y croire, en reculant de quelques pas.
Visiblement empli de rage et de désir de vengeance, ce dernier ne répondit rien, et Hoel hésita à lui tirer une balle dans la jambe pour l’empêcher de le suivre. Cependant, il risquait d’attirer la police dans cette zone où il leur serait facile de lui tomber dessus.
Relevant le canon de son engin de mort, il tourna les talons, clopina jusqu’en dehors de la rue sans que sa victime ne le suive. Il lui fallait rentrer au plus vite et mettre Cheryl à l’abri avant que l’on retrouve sa trace.
Poussant de son poids sur sa jambe douloureuse, il s’éloigna de la scène du crime, à travers les rues bordées d’immeubles comme dans un labyrinthe, se perdit dans les méandres de la ville afin qu’on ne puisse le suivre et l’y retrouver.
L’idée ne l’enchantait guère. S’il la laissait guider ses pas, et décidait de suivre l’homme, il avait parfaitement conscience de son inconscience. En vérité, si de prime abord Hoel avait pensé ne pas réchapper à cette nuit, être encore en vie ne le rendait pas heureux. Une pointe d’énervement faisait trembler ses membres. Mieux valait se cacher, rentrer au plus vite : mais le temps s’était déjà trop écoulé, il lui apparaissait évident qu’après les événements de cette nuit on le trouverait bientôt, lui et son appartement, et donc aussi Cheryl, peut-être même avant le midi de cette journée qui débutait ; alors il avançait encore, silencieux, s’apprêtant à s’en prendre au pauvre insouciant afin de calmer ses nerfs, et de ne pas rentrer les mains vides, à ne pas savoir quoi faire une fois son foyer retrouvé.
L’inconnu tourna à l’angle d’un bâtiment, restaurant aux stores clos, enjamba un plot métallique et s’engagea dans une rue plus étroite, pavée, où circulaient quelques piétons étant -pour la plupart- pressés de rentrer chez eux. Son trajet se termina néanmoins rapidement : il longea un mur, ralentit son allure en approchant d’un distributeur automatique de billet implanté sur la façade d’un bâtiment aux murs clairs, en dehors du centre de la rue, qui lui seul se trouvait être bien éclairé par de longues guirlandes tendues entre les immeubles.
Hoel ne lâcha pas sa proie d’une semelle, pénétra à son tour dans la rue, vit l’écran électronique briller dans l’ombre et sa victime se poster devant ce dernier. Les quelques mètres qui les séparaient se réduisirent alors que l’homme inséra sa carte bancaire dans un interstice prévu pour la recevoir, et ne furent presque plus qu’un lointain souvenir lorsque la demande du montant à retirer s’afficha sur l’écran lumineux.
Arrivant calmement assez loin derrière son dos en feintant d’être plongé dans ses pensées, Hoel sortit ses mains des poches de sa veste, se tourna vers l’inconnu en avalant la distance les séparant. Il abattit sa jambe douloureuse sur l’arrière d’un des genoux du malheureux, qui s’affaissa et se rattrapa en s’appuyant sur le cadre du distributeur électronique. Sa plainte criée résonna autour d’eux. L’adolescent profita de cette mise en faiblesse pour l’étourdir, appuya l’une de ses mains sales sur l’arrière du crâne de l’agressé, qui rebondit contre le métal cerclant la machine en laissant résonner un choc brutal.
L’homme posa un genou au sol, s’apprêta à se laisser glisser dos au mur ; seulement Hoel dégaina son revolver, l’appuya contre le dos de l’inconnu en empoignant sa nuque pour le forcer à ne pas bouger.
— Relève-toi ! Ordonna le jeune homme, en effleurant de la pointe du canon le malheureux.
L’obligé déglutit. Paniqué, il resta paralysé et ne réagit pas. Hoel le bouscula et frappa d’un grand coup sur le dessus de son crâne.
— Relève-toi, connard ! Aboya-t-il encore pour le faire obéir.
L’homme ploya sous la douleur, mais releva l’un de ses genoux, prit difficilement appui sur ses deux jambes, se pencha en avant et étala ses mains à plat de chaque côté du clavier numérique implanté sur le tableau de bord de la machine. Derrière lui, Hoel sentait un élancement dans sa jambe gauche, et grimaçait. Il n’aurait pas dû s’en servir pour attaquer, risquait dorénavant de ne plus savoir imiter une marche normale s’il lui était permis de rentrer après en avoir fini ici.
Ravalant la douleur, il releva son bras et colla le canon de son arme contre la tête de l’homme, devant laquelle l’écran de la machine demandait encore quel montant il lui faudrait retirer.
— Tu tiens plus à ta vie ou à ton compte en banque ? Demanda Hoel, d’une voix énervée.
— Putain mais tu veux quoi, merde ?! Lui répondit-on, en ignorant sa question.
En réponse, Hoel abattit le dessous de la crosse du revolver sur le crâne de l’homme.
— Putain arrête ! Stoppe ! Se plaignit la victime, dont les yeux se retrouvaient rougis par le coup.
— Tu veux vivre, l’ami ? Tu as de la famille, une copine ? Demanda l’adolescent, qui adapta sa question à l’attention dont faisait preuve l’individu.
— Oui… Oui, je veux vivre.
— Et tu me prêterais un peu d’argent pour rester en vie ? Continua Hoel, en sentant venir le coup facile.
— Non, mec, non. Tire si tu veux. Je ne peux pas, résista l’homme en laissant s’évanouir les espoirs de Hoel.
— Le problème, c’est que tu vas mourir, relança l’adolescent en remontant le marteau de l’arme, qui jusque-là n’était pas prête à tirer. Ta cervelle va repeindre ce distributeur, pauvre merde ! Tu crèveras comme le tocard que tu es dans cette rue déserte, de la main d’un type qui ne connait même pas ton nom, et ta copine se retrouvera seule, se mettra à boire en pleurant tous les soirs. Après ça elle commencera la drogue, Langue Charnelle, cette merde importée d’Eldan lui bousillera bien le cerveau, et elle finira par se suicider. Même tes parents, tes frères et sœurs : ils passeront leurs vies à te pleurer, car tu auras refusé de te délester de simples chiffres alignés sur ton putain de compte en banque, connard d’égoïste !
— Quoi ? Arrête, c’est quoi ce délire, putain…
— Je t’ai prévenu, tu vas mourir ! S’exclama une dernière fois Hoel en attrapant la gorge de l’homme afin de ramener sa tête en arrière, de glisser par la force le canon du revolver dans sa bouche. Une dernière parole à prononcer ?
Le métal glacé coincé entre ses dents aida à sa décision. Malgré sa langue restant plaquée sous le canon du pistolet, il réussit à cracher quelques syllabes intelligibles, qui poussèrent Hoel à le soulager du métal mouillé de salive qui lui chatouillait la gorge.
— Qu’est-ce que tu as dit ? Redemanda-t-il, bien qu’ayant compris que l’homme se montrait enfin coopératif.
— Combien tu veux ? Demanda l’inconnu en reprenant son souffle. Mais putain, mec, tes mains…
— Je ne veux pas grand-chose. De quoi boire quelques verres… Cinquante billets, ça m’irait.
L’homme cessa tout mouvement un instant.
— Seulement cinquante ?
— Ferme-la et retire ce putain de fric avant qu’on nous tombe dessus ! S’énerva encore l’adolescent, en le frappant une nouvelle fois.
La victime cessa toute réflexion, sélectionna le montant demandé par Hoel en appuyant sur un bouton situé sur la droite de l’écran, puis écrasa les touche du pavé numérique pour entrer son code personnel protégeant l’accès à sa carte bancaire. 7, 8, 1, 3, observa Hoel avec attention. Un sourire illumina son visage un instant, et son regard se perdit autour d’eux. Les passants se tenaient à l’écart, les voyaient mais feintaient de n’être témoins de rien, passaient à travers d’autres rues en voyant l’arme que tenait entre ses mains le jeune bandit. Mais quel crétin, pensa-t-il avant de relever son revolver pour l’abattre violemment sur le crâne de l’individu ; cela à plusieurs reprises.
Le violenté céda sous les coups. Il ploya et tomba au sol. Hoel en profita pour relever sa jambe valide et lui assener un coup de pied dans l’abdomen, qui le fit se tordre de douleur.
— Ne te relève pas ! Ordonna-t-il au pauvre homme en pointant l’arme en direction de sa tête.
Devant lui, la carte bancaire fut recrachée par la machine. Hoel la récupéra, et les billets sortirent à leur tour d’une bouche située sous l’écran. Cinquante, ce n’était pas assez, il lui en fallait plus et comptait faire cracher à l’homme ce qu’il n’avait pas.
Etalant les billets sur le tableau de bord à côté du clavier, il inséra à nouveau la carte dans le distributeur, commanda la plus haute somme possible à retirer, répéta le code qu’il avait mémorisé, et récupéra les billets qui furent vomis par l’appareil. Déjà mieux, mais pas encore assez au goût de Hoel, qui réitéra l’action, fit sortir de la machine une nouvelle liasse, qu’il ajouta à celles qu’il avait déjà en sa possession. Deux mille, une sacrée somme. Le tout sera pour Cheryl, décida-t-il sur l’instant en rassemblant l’argent entre ses doigts tachés de sang ; avant de l’enfouir dans ses poches
— Tu ne m’as jamais vu, menaça-t-il l’homme à terre sans vraiment y croire, en reculant de quelques pas.
Visiblement empli de rage et de désir de vengeance, ce dernier ne répondit rien, et Hoel hésita à lui tirer une balle dans la jambe pour l’empêcher de le suivre. Cependant, il risquait d’attirer la police dans cette zone où il leur serait facile de lui tomber dessus.
Relevant le canon de son engin de mort, il tourna les talons, clopina jusqu’en dehors de la rue sans que sa victime ne le suive. Il lui fallait rentrer au plus vite et mettre Cheryl à l’abri avant que l’on retrouve sa trace.
Poussant de son poids sur sa jambe douloureuse, il s’éloigna de la scène du crime, à travers les rues bordées d’immeubles comme dans un labyrinthe, se perdit dans les méandres de la ville afin qu’on ne puisse le suivre et l’y retrouver.
29/11/15 à 04:38:53
Et la boucle est bouclée. Raconter un tel flashback est hyper impressionnant !
Par contre je saisi pas pourquoi il jete sa veste ?
J'imagine qu'il va partir en floride sinon... :D
Je me garde les deux dernier chapitre pour demain !
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