Note de la fic : 
Publié le 02/08/2014 à 01:11:45 par AishwaryaRai
EPISODE 18 : BERSERK ( 4/5)
Bachir fixa Bastou resté dans la voiture et accepta les conditions de Jenny. Après tout, plus il sera loin de Paris, mieux ce sera, pensa-t-il.
Il s'approcha de la voiture et s'asseyait à la place du conducteur, Jenny menotte sa main gauche au volant afin qu'il garde une certaine essence de conduite sans pouvoir s'échapper.
Bachir: Et si on si fait attaqués ?
Jenny: Et bien, je te détacherai car tu auras gagné ma confiance en conduisant !
Bachir: Et toi le jeune pourquoi tu ne dis rien ?
Jenny: Bastou ne parle que lorsque c'est nécessaire, et il n'a pas besoin de te parler. Tu vois son look ? Il n'est pas commode hein ? Si tu nous fais quelque chose, il sera 100 fois pire que moi.
Bastou ne dit rien mais se demandait pourquoi une femme aussi belle et puissante que Jenny lui donnait autant d'intérêt. Depuis leur rencontre draconienne où elle avait failli le tuer, elle lui sauva plusieurs fois la vie et au final, ce sont les deux seuls patrouilleurs à se tirer de Paris en vie. Qui était cette femme ? Qu'a t'elle vraiment vécu pour en arriver là ?
Bachir sentit également cette gêne de Bastou mais jugeait que Jenny restait plus forte que lui et s'avisa de conduire, s'engageant dans une autoroute complètement déserte.
*
Marius nous braquait avec son arme, Fury et moi, alors que la pluie se faisait de plus en plus forte cette nuit et que l'orage commençait à gronder.
Par ailleurs, les rafales de vent se faisaient fortes...
Fury: Tu n'arriveras jamais à nous viser avec un temps pareil, tout joue contre nous en cette nuit.
Marius ne répondit pas et tira une balle sur l'épaule de Fury.
Sami: Fury !!!
Fury: Haha sacré enfoiré !
Marius: La prochaine fois que tu me dis que je vise mal, c'est la tête. Je suis Marius, chef de la Nouvelle Armée de Paris, tu as oublié ?
Sami: Tu m'as sauvé la vie en stoppant l'hémorragie de mon bras ?
Marius : Parce que j'avais besoin de toi pour éliminer les zombies, maintenant je n'ai plus besoin de toi. Tu croyais vraiment que j'allais tout oublier Sami ?
Sami: Non...
Marius: Exact Sami. Tu aurais pu survivre à mes côtés en restant avec Marion et en élevant votre enfant dans la tour Eiffel à l'abri des attaques zombies mais tu as préféré te barrer. Ensemble, on aurait pu écraser les rebelles, au lieu de ça on s'est entretué. Je savais que Sylvie allait comploter contre toi et elle avait l'aval de ma femme Fanny, j'aurais pu empêcher cela mais quand tu es parti, je savais que tu perdrais ton oeil gauche.
Cette remarque me sortit de mes gons. Mais Marius avait toujours une arme pointé dans ma direction et cela me refroidit immédiatement.
Marius: J'étais le chef de la Nouvelle Armée de Paris, j'ai refondé une ville qui était condamnée et qui avait un bel avenir devant elle. On aurait pu faire de grandes choses mais tout a été détruit en l'espace d'une journée et d'une nuit. Toute mon armée, toutes mes bases, je ne sais même pas si ma sublime femme est encore en vie.
Fury: Tout est condamné, tu aurais dû comprendre ça !
Marius: Non Fury, tu ne sais pas de quoi tu parles ! J'imagine que tu as traversé un événement terrible qui t'a conféré ce genre de caractère, mais des gars comme toi, j'en bute tous les jours ou sinon ils rejoignent mon armée comme Jenny...
Fury: Qu'est ce que tu cherches à dire ?
Marius : Paris... On avait développé un échange international à travers l'Europe !
Cette remarque nous étonna grandement !
Marius: Un échange régional plutôt, le fait que je sois russe dans une ville occidentale et qu'inversement des Français, des Allemands et même des Italiens aient sauvés des villes de la même manière ailleurs. Amsterdam, Liège, Prague, Varsovie... vous n'imaginez pas le nombre de villes qui ont réussi à s'en sortir. Et cela s'étend chez moi à Saint-Pétersbourg en Russie. Vous voyez où vous nous avez menés à nous faire passer pour les méchants ? Survivre, c'est ça le genre de vie que vous voulez mener ? Je vous ai proposé autre chose, j'ai toujours proposé autre chose. Mais lorsqu'on refuse, on meurt ! Un point c'est tout, dans ce nouveau monde, il n'y a pas de place pour les faibles ! Voilà pourquoi j'ai tué vos amis. Et voilà pourquoi vous n'auriez jamais dû gagner la bataille ! Même les zombies, on les aurait éliminés. J'ai énormément de haine envers vous et j'avais envie de vomir à l'idée d'être obligé de m'allier avec vous... Sami, Fury : Je vais vous tuer !
PAN ! Un coup de feu se fit retentir... Je fermais l'oeil... Puis je le rouvris... J'étais toujours là... Fury aussi... Mais Marius était à terre et un homme au visage fortement brûlé se présenta à lui.
Marius: Qui es-tu ?
L'homme : Tu ne te souviens pas de moi ? Ouais, mon visage a été touché par la deuxième explosion que j'ai provoqué, je me demande bien de quoi j'ai l'air...
Marius : Nero !!!
Nero: Nero est mort dans l'explosion, maintenant tu m'appelles Dima enfoiré !
Il tira alors plusieurs balles dans la tête de Marius alors que l'orage continuait de gronder dans le ciel...
Bachir fixa Bastou resté dans la voiture et accepta les conditions de Jenny. Après tout, plus il sera loin de Paris, mieux ce sera, pensa-t-il.
Il s'approcha de la voiture et s'asseyait à la place du conducteur, Jenny menotte sa main gauche au volant afin qu'il garde une certaine essence de conduite sans pouvoir s'échapper.
Bachir: Et si on si fait attaqués ?
Jenny: Et bien, je te détacherai car tu auras gagné ma confiance en conduisant !
Bachir: Et toi le jeune pourquoi tu ne dis rien ?
Jenny: Bastou ne parle que lorsque c'est nécessaire, et il n'a pas besoin de te parler. Tu vois son look ? Il n'est pas commode hein ? Si tu nous fais quelque chose, il sera 100 fois pire que moi.
Bastou ne dit rien mais se demandait pourquoi une femme aussi belle et puissante que Jenny lui donnait autant d'intérêt. Depuis leur rencontre draconienne où elle avait failli le tuer, elle lui sauva plusieurs fois la vie et au final, ce sont les deux seuls patrouilleurs à se tirer de Paris en vie. Qui était cette femme ? Qu'a t'elle vraiment vécu pour en arriver là ?
Bachir sentit également cette gêne de Bastou mais jugeait que Jenny restait plus forte que lui et s'avisa de conduire, s'engageant dans une autoroute complètement déserte.
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Marius nous braquait avec son arme, Fury et moi, alors que la pluie se faisait de plus en plus forte cette nuit et que l'orage commençait à gronder.
Par ailleurs, les rafales de vent se faisaient fortes...
Fury: Tu n'arriveras jamais à nous viser avec un temps pareil, tout joue contre nous en cette nuit.
Marius ne répondit pas et tira une balle sur l'épaule de Fury.
Sami: Fury !!!
Fury: Haha sacré enfoiré !
Marius: La prochaine fois que tu me dis que je vise mal, c'est la tête. Je suis Marius, chef de la Nouvelle Armée de Paris, tu as oublié ?
Sami: Tu m'as sauvé la vie en stoppant l'hémorragie de mon bras ?
Marius : Parce que j'avais besoin de toi pour éliminer les zombies, maintenant je n'ai plus besoin de toi. Tu croyais vraiment que j'allais tout oublier Sami ?
Sami: Non...
Marius: Exact Sami. Tu aurais pu survivre à mes côtés en restant avec Marion et en élevant votre enfant dans la tour Eiffel à l'abri des attaques zombies mais tu as préféré te barrer. Ensemble, on aurait pu écraser les rebelles, au lieu de ça on s'est entretué. Je savais que Sylvie allait comploter contre toi et elle avait l'aval de ma femme Fanny, j'aurais pu empêcher cela mais quand tu es parti, je savais que tu perdrais ton oeil gauche.
Cette remarque me sortit de mes gons. Mais Marius avait toujours une arme pointé dans ma direction et cela me refroidit immédiatement.
Marius: J'étais le chef de la Nouvelle Armée de Paris, j'ai refondé une ville qui était condamnée et qui avait un bel avenir devant elle. On aurait pu faire de grandes choses mais tout a été détruit en l'espace d'une journée et d'une nuit. Toute mon armée, toutes mes bases, je ne sais même pas si ma sublime femme est encore en vie.
Fury: Tout est condamné, tu aurais dû comprendre ça !
Marius: Non Fury, tu ne sais pas de quoi tu parles ! J'imagine que tu as traversé un événement terrible qui t'a conféré ce genre de caractère, mais des gars comme toi, j'en bute tous les jours ou sinon ils rejoignent mon armée comme Jenny...
Fury: Qu'est ce que tu cherches à dire ?
Marius : Paris... On avait développé un échange international à travers l'Europe !
Cette remarque nous étonna grandement !
Marius: Un échange régional plutôt, le fait que je sois russe dans une ville occidentale et qu'inversement des Français, des Allemands et même des Italiens aient sauvés des villes de la même manière ailleurs. Amsterdam, Liège, Prague, Varsovie... vous n'imaginez pas le nombre de villes qui ont réussi à s'en sortir. Et cela s'étend chez moi à Saint-Pétersbourg en Russie. Vous voyez où vous nous avez menés à nous faire passer pour les méchants ? Survivre, c'est ça le genre de vie que vous voulez mener ? Je vous ai proposé autre chose, j'ai toujours proposé autre chose. Mais lorsqu'on refuse, on meurt ! Un point c'est tout, dans ce nouveau monde, il n'y a pas de place pour les faibles ! Voilà pourquoi j'ai tué vos amis. Et voilà pourquoi vous n'auriez jamais dû gagner la bataille ! Même les zombies, on les aurait éliminés. J'ai énormément de haine envers vous et j'avais envie de vomir à l'idée d'être obligé de m'allier avec vous... Sami, Fury : Je vais vous tuer !
PAN ! Un coup de feu se fit retentir... Je fermais l'oeil... Puis je le rouvris... J'étais toujours là... Fury aussi... Mais Marius était à terre et un homme au visage fortement brûlé se présenta à lui.
Marius: Qui es-tu ?
L'homme : Tu ne te souviens pas de moi ? Ouais, mon visage a été touché par la deuxième explosion que j'ai provoqué, je me demande bien de quoi j'ai l'air...
Marius : Nero !!!
Nero: Nero est mort dans l'explosion, maintenant tu m'appelles Dima enfoiré !
Il tira alors plusieurs balles dans la tête de Marius alors que l'orage continuait de gronder dans le ciel...