En fait la sweet maintenant

Le controleur tomba au sol tandis que l'agresseur ( qui n'avait rien d'humain au passage ) s'attaqua à une pauvre vieille dame sans défense. A ce moment, le conducteur intervena et frappa la tête de l'agresseur avec un bâton. Il la cogna si fort qu'il l'éclata.
Mais personne l'applaudit. On était tous sous le choc.
Alexandre s'écria : " Vite venez voir "
Nous approchames tous des fenêtres et nous fumes tous choqué

La circulation était complètement bouché, les restaurants, les hotels toutes les grandes places étaient en train d'être détruites. Le miroir inversé du vieux port s'était effondré.
Les gens couraient dans tous les sens, certains se suicidaient sous mes yeux, certains bateaux prirent le large mais surtout... des hordes de " rodeurs " ( appelons-les comme ça ) ont investi la ville. Le vieux port de Marseille était méconnaissable.

- Aaaaaaiiiiiie
Une femme du bus s'exclama ainsi. Elle venait de se faire mordre le pied par le controleur qui était sensé être mort. La femme s'évanouit et le controleur se mit à la bouffer vivante
Un homme s'adressa alors au conducteur du bus, je reconnus mon professeur d'histoire :
- Vous n'intervenez pas ?
- C'est mon collègue, je ne peux pas lui faire ça
- Vous êtes sérieux (
Mon prof lui prit son baton et massacra le contrôleur au visage. Puis il frappa le visage femme qui venait de se faire manger. Et acheva la vieille dame qui venait de se faire assassiner.
Mon prof avait la classe puis il prit la parole :
- Ecoutez je ne sais absolument pas ce qui se passe et j'espère que ceci est un rêve. Il est inutile d'avancer vers le vieux port, faisons demi-tour et restons ensemble pour l'instant ! Il semblerait que ces créatures meurent quand on les frappe au visage et contaminent les personnes qu'ils ont mordu..
Personne ne lui répondit puis il s'adressa au conducteur du bus :
- Jeune homme, pouvez-vous faire demi-tour ?
- Je vais me débrouiller, peu importe où nous irons, évitons de rester dans les parages. Personne ne descendra du bus
- Parfait.

Puis mon prof s'adressa à Alexandre et moi :
- Hey messieurs, il semblerait qu'une nouvelle page de l'histoire viennent de s'écrire. Je vais solliciter votre aide ça vous va ?
Alexandre répondit :
- Monsieur, c'est dingue, tous ces morts et vous vous gardez un tel sang-froid
- On en parlera plus tard Alexandre. Pour l'instant, rendez moi service. Il y a 9 passagers dans le bus excepté le conducteur et nous 3. Vous allez les aborder et me dire qu'ils y sont. Ils se pourraient qu'on soit amenés à faire cause commune.
- Et vous monsieur ?
- Je vais jeter les corps par la fenêtre, on n'est jamais trop prudents.
- Vous nous devez une explication sur votre sang-froid.
- C'est rien, j'ai été amené durant ma jeunesse à aller dans différents pays en guerre en Afrique et en Moyen-Orient. C'est peut-être pour cela que j'ai développé cet esprit... enfin bref ! Au travail !

Puis pendant que le bus fit demi-tour, nous allions à la rencontre des autres passagers...

Sweet ?