Walking Dead 15-18
Par : AishwaryaRai
Genre : Horreur , Action
Status : Terminée
Note :
Chapitre 96
Publié le 02/08/14 à 01:15:55 par AishwaryaRai
EPISODE 19 : DIE HARD ( 5/5 )
Mon père se rapprocha de moi, assis sur son cheval tandis que je rampais en sa direction puis je fermais les yeux...
*
Je rouvris les yeux. J'étais dans un lit, avec quelques pansements sur mes blessures.
Je me suis levé, j'étais dans une maison abandonnée. Mon sac était près de moi, mon père n'avait touché à rien... Mon père ? Oui mon père, je l'ai vu avant de m'évanouir.
Je marchais dans la maison à sa recherche mais ne le trouvais pas. Je quittais alors la maison...
Un bol d'air frais m'envahissait, on était dans un coin désert et paumé mais cela me fit énormément de bien. Je n'avais pas senti autant d'air frais depuis une éternité vraiment...
Je respirais un bon coup puis me déplaça dehors, on était vraiment dans un coin paumé, le genre de coins que l'on voit lorsqu'on prend l'avion, des étendues carrées d'herbe à l'infini...
Un cheval arriva vers moi. C'était le cheval sur lequel était mon père. Je pris peur mais il s'arrêta juste devant moi et je lui caressais alors la tête.
Sami: Alors mon bon, tu m'as sauvé la vie toi ? Haha, comment t'appelles-tu ?
Mon père: Il s'appelle Kokuhoh !
Je vis mon père arriver. Je n'en croyais pas mes yeux et lui aussi... Mon père... Il avait énormément changer lui aussi. Il était devenu plus imposant, il dégageait une aura que je ne lui connaissais pas... Et il était en parfait état physique, aucune cicatrice !
Mon père: Il est loin le temps où on communiquait par téléphone, hein ?
Sami: Oui... Je te pensais mort...
Mon père: La mort ? C'est toi qui en a été le plus proche mon fils quand je vois ton état...
Sami: Ah oui, j'ai perdu un bras et un oeil en passant... Mais j'ai de la barbe, et j'ai pris du muscle.
Mon père: On a des millions de choses à se dire, mon fils. Mais viens dans mes bras... que ton père t'embrasse !
Je courais alors en direction de mon père et tombais dans ses bras. Cela faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu. Mais ni lui ni moi ne versions de larmes, chacun de nous deux voulait garder une certaine fierté vis-à-vis de l'autre à ce niveau-là.
Kokuhoh sauta en l'air et gambadait dans la prairie tandis qu'avec mon père, nous allions nous installer dans la maison afin de parler longuement.
*
Mon père : Je vois... Tu as enduré beaucoup de malheurs à Paris. Quand j'y pense, j'ai failli être grand-père haha.
Sami: Tu prends ça plutôt bien.
Mon père: Je suis content de te voir en vie, le reste ça m'est égal. Il faut se satisfaire du peu qu'on a dans ce monde.
Sami: Et toi papa ? Je t'ai laissé en danger à Marseille...
Mon père: Oui, tu ne sais pas comment c'était rageant, après la mort de ta mère et la situation en Algérie. J'espérais te revoir à Marseille, je me suis accroché à cet espoir-là pour vivre. Puis en Espagne, c'est encore pire qu'en France, tout a été anéanti. De nombreux immigrés et locaux sont morts. C'est peut-être pour ça que la France, j'ai pu m'en sortir un peu plus facilement.
Sami: Qu'as-tu fait depuis notre dernière conversation ?
Mon père: J'ai essayé de te rejoindre à Paris bien sur. La route fut longue, cela m'a pris 3 mois. Entre temps, j'ai fait la connaissance de ce cheval dans une ville paumée du centre du pays. Je n'aurais jamais cru qu'il survivrait aujourd'hui, je ne te le cache pas. Mais il est même capable d'éliminer des zombies lorsqu'ils ne sont pas très nombreux et de s'échapper en cas de danger. Kokuhoh est un cheval très intelligent, un cadeau du ciel...
Mon père stoppa la conversation pour s'allumer une cigarette puis reprit.
Mon père : Puis une fois à Paris, je me suis rendu compte qu'il y avait une invasion zombie. Bon Dieu, si j'avais su que tu y étais. Je n'aurais pas hésité une seule seconde à tout braver, j'avais le sentiment que tu étais parti. Paris semblait tellement vide... Mais cette ville était mon seule espoir d'espérer te revoir, tous les mois. Je faisais un tour dans les environs...
Sami : On dirait bien que la chance a tourné alors.
Mon père: Désormais, je ne te laisse pas partir mon fils. J'ai vécu uniquement pour te retrouver, je n'ai aucune attache nulle part.
Sami: Ne t'inquiète pas, papa. Je n'ai désormais aucune attache nulle part.
Mon père: Parfait, alors repose-toi. Demain, on quitte cet endroit !
Sami: Déjà ?
Mon père: Ah oui, en dehors de Marseille et Paris, tu n'es allé nulle part. Et bien, j'ai l'impression que ton vieux père te sera utile. Je suis capable de savoir quand il y aura des zombies dans le coin ou non. Je sais qu'un groupe de zombies marche en direction de cette prairie. Mais ne t'inquiète pas, ils n'arriveront que demain.
Sami: Et où on ira ?
Mon père: Peu importe ! Maintenant que je t'ai retrouvé, je n'ai plus besoin de trainer autour de Paris. Le seul problème, c'est qu'il est inutile d'aller vers le Sud, on connait la situation de Marseille. Le Nord et l'Ouest, pareil à moins que tu veuille nager.
Sami: Et si on allait vers l'est ?
Mon père : Strasbourg ?
Sami: Pourquoi pas ? Mais on peut quitter la France, la situation empire ici. On a beau éliminer des zombies, ils se feront toujours nombreux et puis j'ai appris, il y a longtemps, maintenant que des villes européennes existaient encore comme Paris autrefois.
Mon père: Ca vaut le coup d'essayer alors.
Sami : Exact, on part pour l'Est demain alors !
J'étais vraiment heureux, un nouveau défi m'attendait et je n'étais plus seul maintenant. Mon père était avec moi. Et il y avait ce cheval, Kokuhoh... C'était un nouveau départ, on formerait une équipe indestructible.
*
Au beau milieu de la nuit, un bruit se fit entendre. Kokuhoh s'agitait dans tous les sens et mon père se rapprocha de moi.
Mon père: Sami, tu es déjà réveillé ! Je pense que tu as compris, prends ton sac !
Sami: Ce sont les ?
Mon père: Oui j'ai mal calculé, les zombies sont en approche ! ALLEZ VITE !
Chacun de nous prit son sac, on quittait la maison et Kokuhoh s'approcha de nous. On le chevaucha et une fois sur lui, on partit avec lui galopant...
FIN DE L'EPISODE 19
Mon père se rapprocha de moi, assis sur son cheval tandis que je rampais en sa direction puis je fermais les yeux...
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Je rouvris les yeux. J'étais dans un lit, avec quelques pansements sur mes blessures.
Je me suis levé, j'étais dans une maison abandonnée. Mon sac était près de moi, mon père n'avait touché à rien... Mon père ? Oui mon père, je l'ai vu avant de m'évanouir.
Je marchais dans la maison à sa recherche mais ne le trouvais pas. Je quittais alors la maison...
Un bol d'air frais m'envahissait, on était dans un coin désert et paumé mais cela me fit énormément de bien. Je n'avais pas senti autant d'air frais depuis une éternité vraiment...
Je respirais un bon coup puis me déplaça dehors, on était vraiment dans un coin paumé, le genre de coins que l'on voit lorsqu'on prend l'avion, des étendues carrées d'herbe à l'infini...
Un cheval arriva vers moi. C'était le cheval sur lequel était mon père. Je pris peur mais il s'arrêta juste devant moi et je lui caressais alors la tête.
Sami: Alors mon bon, tu m'as sauvé la vie toi ? Haha, comment t'appelles-tu ?
Mon père: Il s'appelle Kokuhoh !
Je vis mon père arriver. Je n'en croyais pas mes yeux et lui aussi... Mon père... Il avait énormément changer lui aussi. Il était devenu plus imposant, il dégageait une aura que je ne lui connaissais pas... Et il était en parfait état physique, aucune cicatrice !
Mon père: Il est loin le temps où on communiquait par téléphone, hein ?
Sami: Oui... Je te pensais mort...
Mon père: La mort ? C'est toi qui en a été le plus proche mon fils quand je vois ton état...
Sami: Ah oui, j'ai perdu un bras et un oeil en passant... Mais j'ai de la barbe, et j'ai pris du muscle.
Mon père: On a des millions de choses à se dire, mon fils. Mais viens dans mes bras... que ton père t'embrasse !
Je courais alors en direction de mon père et tombais dans ses bras. Cela faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu. Mais ni lui ni moi ne versions de larmes, chacun de nous deux voulait garder une certaine fierté vis-à-vis de l'autre à ce niveau-là.
Kokuhoh sauta en l'air et gambadait dans la prairie tandis qu'avec mon père, nous allions nous installer dans la maison afin de parler longuement.
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Mon père : Je vois... Tu as enduré beaucoup de malheurs à Paris. Quand j'y pense, j'ai failli être grand-père haha.
Sami: Tu prends ça plutôt bien.
Mon père: Je suis content de te voir en vie, le reste ça m'est égal. Il faut se satisfaire du peu qu'on a dans ce monde.
Sami: Et toi papa ? Je t'ai laissé en danger à Marseille...
Mon père: Oui, tu ne sais pas comment c'était rageant, après la mort de ta mère et la situation en Algérie. J'espérais te revoir à Marseille, je me suis accroché à cet espoir-là pour vivre. Puis en Espagne, c'est encore pire qu'en France, tout a été anéanti. De nombreux immigrés et locaux sont morts. C'est peut-être pour ça que la France, j'ai pu m'en sortir un peu plus facilement.
Sami: Qu'as-tu fait depuis notre dernière conversation ?
Mon père: J'ai essayé de te rejoindre à Paris bien sur. La route fut longue, cela m'a pris 3 mois. Entre temps, j'ai fait la connaissance de ce cheval dans une ville paumée du centre du pays. Je n'aurais jamais cru qu'il survivrait aujourd'hui, je ne te le cache pas. Mais il est même capable d'éliminer des zombies lorsqu'ils ne sont pas très nombreux et de s'échapper en cas de danger. Kokuhoh est un cheval très intelligent, un cadeau du ciel...
Mon père stoppa la conversation pour s'allumer une cigarette puis reprit.
Mon père : Puis une fois à Paris, je me suis rendu compte qu'il y avait une invasion zombie. Bon Dieu, si j'avais su que tu y étais. Je n'aurais pas hésité une seule seconde à tout braver, j'avais le sentiment que tu étais parti. Paris semblait tellement vide... Mais cette ville était mon seule espoir d'espérer te revoir, tous les mois. Je faisais un tour dans les environs...
Sami : On dirait bien que la chance a tourné alors.
Mon père: Désormais, je ne te laisse pas partir mon fils. J'ai vécu uniquement pour te retrouver, je n'ai aucune attache nulle part.
Sami: Ne t'inquiète pas, papa. Je n'ai désormais aucune attache nulle part.
Mon père: Parfait, alors repose-toi. Demain, on quitte cet endroit !
Sami: Déjà ?
Mon père: Ah oui, en dehors de Marseille et Paris, tu n'es allé nulle part. Et bien, j'ai l'impression que ton vieux père te sera utile. Je suis capable de savoir quand il y aura des zombies dans le coin ou non. Je sais qu'un groupe de zombies marche en direction de cette prairie. Mais ne t'inquiète pas, ils n'arriveront que demain.
Sami: Et où on ira ?
Mon père: Peu importe ! Maintenant que je t'ai retrouvé, je n'ai plus besoin de trainer autour de Paris. Le seul problème, c'est qu'il est inutile d'aller vers le Sud, on connait la situation de Marseille. Le Nord et l'Ouest, pareil à moins que tu veuille nager.
Sami: Et si on allait vers l'est ?
Mon père : Strasbourg ?
Sami: Pourquoi pas ? Mais on peut quitter la France, la situation empire ici. On a beau éliminer des zombies, ils se feront toujours nombreux et puis j'ai appris, il y a longtemps, maintenant que des villes européennes existaient encore comme Paris autrefois.
Mon père: Ca vaut le coup d'essayer alors.
Sami : Exact, on part pour l'Est demain alors !
J'étais vraiment heureux, un nouveau défi m'attendait et je n'étais plus seul maintenant. Mon père était avec moi. Et il y avait ce cheval, Kokuhoh... C'était un nouveau départ, on formerait une équipe indestructible.
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Au beau milieu de la nuit, un bruit se fit entendre. Kokuhoh s'agitait dans tous les sens et mon père se rapprocha de moi.
Mon père: Sami, tu es déjà réveillé ! Je pense que tu as compris, prends ton sac !
Sami: Ce sont les ?
Mon père: Oui j'ai mal calculé, les zombies sont en approche ! ALLEZ VITE !
Chacun de nous prit son sac, on quittait la maison et Kokuhoh s'approcha de nous. On le chevaucha et une fois sur lui, on partit avec lui galopant...
FIN DE L'EPISODE 19
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