Des vacances torrides
Par : Magikz
Genre : Sayks , Polar
Status : Terminée
Note :
Chapitre 53
Publié le 23/08/13 à 21:55:59 par Magikz
Elle me dévoila son corps... si parfait.
Elle me prit les mains, et les posa sur ses seins, m'incitant à les masser. Pendant ce temps, elle commença à me masturber.
Je n'avais pas connu une telle excitation depuis bien longtemps. En réalité, seule Sandra me faisait un tel effet. J'avais envie de retrouver cette sensation. Je l'embrassai partout où je le pouvais : son cou, sa bouche, ses jambes...
Ne pouvant plus me retenir, je pris mon sexe, et l'introduisit en elle. Elle poussa un petit gémissement qui m'excita davantage. Ses gémissements qui lui étaient si caractéristiques... Ils m'avaient manqué.
Sandra était allongée sur le dos. J'étais sur elle, en train de la pénétrer avec précaution. Le contact de son corps chaud contre le mien était agréable. Mes mains caressaient tendrement ses courbes. Nos visages étaient presque collés l'un contre l'autre. Nous nous regardions dans les yeux.
Ses lèvres pulpeuses m'attiraient irrésistiblement. Je me penchai pour déposer un long baiser sur ces lèvres.
Mes pénétrations s'accélèrent petit à petit. Nos respirations cadencées en firent de même. Nos corps étaient parfaitement synchronisés. Les cris de Sandra se firent de plus en plus distincts. Elle posa ses mains sur mes épaules, et m'agrippa avec force.
J'accélérai encore la cadence jusqu'à ce qu'une sensation de plaisir intense émerge en moi. Mes muscles se raidirent. Je retirai mon sexe juste à temps pour éjaculer sur son ventre. L'acte n'avait pas été long, mais très intense.
Sandra partit se doucher, pendant que je récupérais sur le divan. Je regardai son corps nu se diriger vers la salle de bain. Je ne songeais qu'à elle. Comment m'avait-elle retrouver ? Mais surtout pourquoi ? J'étais curieux d'entendre ses explications...
Elle réapparut quelques minutes plus tard, dans un peignoir de l'hôtel. Même dans cette tenue, elle était incroyablement sexy. Elle s'assit à côté de moi. Son expression s'était faite plus grave. Elle me prit la main et s'adressa à moi :
- Ils vont se venger Valentin...
- Quoi ? Qui ça ?
- Les corses !
- Hein ? Expliques.
- Il y a une semaine, j'ai reçu un courrier anonyme. Je pensais que ce ne m'était pas destiné, jusqu'à ce que je l'ouvre...
Elle me tendit l'enveloppe à moitié déchirée. J'eus du mal à croire ce que je voyais...
Une photo de moi. Et récente en plus. On m'espionnait... Je tournai la photo pour regarder au dos. Les inscriptions que je lus me firent froid dans le dos : « La vengeance est un plat qui se mange froid, morveux ».
- C'est Charlie, aucun doute là-dessus...
- Qu'est-ce qu'on fait alors ?
Je réfléchissais à toute vitesse. Je lui souris :
- C'est pour moi que tu es venu... Tu voulais me prévenir.
- … C'est normal non ?
- Combien de fois tu vas me sauver la vie au juste ?
Elle rigola. Pour le moment, nous prenions cela avec un peu d'humour, mais la situation était vraiment préoccupante. Je lui posai une main sur l'épaule, et lui lançai :
- Écoutes, je vais rentrer, il se fait tard. On va réfléchir à tout ça plus tard.
- D'accord...
Je lui donnai mon nouveau numéro de téléphone pour qu'on puisse communiquer. Je l'embrassai une dernière fois sur la joue. Elle m'adressa un clin d’œil. Nous ne nous étions pas vus depuis un an, et nous étions encore très complices. Il y a des choses que le temps n'efface pas...
Je revins brusquement à moi quand la porte de sa chambre se referma. Bordel... Qu'est-ce que je venais de faire ?
Elle me prit les mains, et les posa sur ses seins, m'incitant à les masser. Pendant ce temps, elle commença à me masturber.
Je n'avais pas connu une telle excitation depuis bien longtemps. En réalité, seule Sandra me faisait un tel effet. J'avais envie de retrouver cette sensation. Je l'embrassai partout où je le pouvais : son cou, sa bouche, ses jambes...
Ne pouvant plus me retenir, je pris mon sexe, et l'introduisit en elle. Elle poussa un petit gémissement qui m'excita davantage. Ses gémissements qui lui étaient si caractéristiques... Ils m'avaient manqué.
Sandra était allongée sur le dos. J'étais sur elle, en train de la pénétrer avec précaution. Le contact de son corps chaud contre le mien était agréable. Mes mains caressaient tendrement ses courbes. Nos visages étaient presque collés l'un contre l'autre. Nous nous regardions dans les yeux.
Ses lèvres pulpeuses m'attiraient irrésistiblement. Je me penchai pour déposer un long baiser sur ces lèvres.
Mes pénétrations s'accélèrent petit à petit. Nos respirations cadencées en firent de même. Nos corps étaient parfaitement synchronisés. Les cris de Sandra se firent de plus en plus distincts. Elle posa ses mains sur mes épaules, et m'agrippa avec force.
J'accélérai encore la cadence jusqu'à ce qu'une sensation de plaisir intense émerge en moi. Mes muscles se raidirent. Je retirai mon sexe juste à temps pour éjaculer sur son ventre. L'acte n'avait pas été long, mais très intense.
Sandra partit se doucher, pendant que je récupérais sur le divan. Je regardai son corps nu se diriger vers la salle de bain. Je ne songeais qu'à elle. Comment m'avait-elle retrouver ? Mais surtout pourquoi ? J'étais curieux d'entendre ses explications...
Elle réapparut quelques minutes plus tard, dans un peignoir de l'hôtel. Même dans cette tenue, elle était incroyablement sexy. Elle s'assit à côté de moi. Son expression s'était faite plus grave. Elle me prit la main et s'adressa à moi :
- Ils vont se venger Valentin...
- Quoi ? Qui ça ?
- Les corses !
- Hein ? Expliques.
- Il y a une semaine, j'ai reçu un courrier anonyme. Je pensais que ce ne m'était pas destiné, jusqu'à ce que je l'ouvre...
Elle me tendit l'enveloppe à moitié déchirée. J'eus du mal à croire ce que je voyais...
Une photo de moi. Et récente en plus. On m'espionnait... Je tournai la photo pour regarder au dos. Les inscriptions que je lus me firent froid dans le dos : « La vengeance est un plat qui se mange froid, morveux ».
- C'est Charlie, aucun doute là-dessus...
- Qu'est-ce qu'on fait alors ?
Je réfléchissais à toute vitesse. Je lui souris :
- C'est pour moi que tu es venu... Tu voulais me prévenir.
- … C'est normal non ?
- Combien de fois tu vas me sauver la vie au juste ?
Elle rigola. Pour le moment, nous prenions cela avec un peu d'humour, mais la situation était vraiment préoccupante. Je lui posai une main sur l'épaule, et lui lançai :
- Écoutes, je vais rentrer, il se fait tard. On va réfléchir à tout ça plus tard.
- D'accord...
Je lui donnai mon nouveau numéro de téléphone pour qu'on puisse communiquer. Je l'embrassai une dernière fois sur la joue. Elle m'adressa un clin d’œil. Nous ne nous étions pas vus depuis un an, et nous étions encore très complices. Il y a des choses que le temps n'efface pas...
Je revins brusquement à moi quand la porte de sa chambre se referma. Bordel... Qu'est-ce que je venais de faire ?
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