Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Deux semaines chez les nudistes


Par : the_cl3sh
Genre : Fantastique
Statut : C'est compliqué



Chapitre 17


Publié le 11/01/2009 à 11:08:10 par the_cl3sh

Aaaaaah j'ai géré :-)
Je repars heureux :) J'ai accompli une bonne action.

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Tandis que je marche, j'entends quelqu'un qui m'appelle. C'est Marc.
- Hé, Franck. C'est l'heure du miam miam.

Chaud l'ahuri. Il sait pas dire le diner comme tout le monde :hum:
Je me dirige vers le resto, je vais pas être étonné comme tout le monde des petits cartons. J'suis déjà au courant :-)

J'ouvre la porte. Tous ces petits moutons cherchent leur carton, nerveux de savoir leur voisin. Pitoyable. Moi je m'assieds tranquille. D'un côté j'ai un certain Philippe et de l'autre Cécile. Philippe...ça me dit quelque chose...
Et là je le vois...le chiant du bus. Il s'installe à côté de moi.
" - Et Franck ! Quelle surprise ! C'est Philippe !
- Je vois ça :(
- On va pouvoir parler tranquillement.
- On pourrait :-)
- Super !"
Et là je lA vois. Cécile, magnifique. Elle a changé sa coiffure elle encore plus classe. Je fixe chaque détail de son corps (sans aller trop bas bien sûr <img src=))"> )
Ses cheveux blonds glissent jusqu'à ses épaules. Ses petits regards mignons, sa petite bouche. Tout me fait frétiller. Ses seins, d'une taille parfaite, sont juste parfaitement tenus. Elle est mince sans être maigre. Ses infinissables jambes ne sont pas si grandes...mais on a le vertige quand on les regarde.
- Ah coucou Franck. On en a eu de la chance d'être assis à côté.
- Quelle heureux hasard :coeur:

Elle s'assoit et pose sa main sur ma jambe. Elle la caresse doucement. Pour m'amadouer ? :question:

- Et !! Franck fais attention elle te touche avec sa main ! s'écrie Philippe.
- Taggle ducon ! :(

Cécile, gênée retire sa main. Quel con ! Il mérite une petite vengeance.

Au repas une lasagne. J'ai l'impression qu'on va se farcir tous les repas italiens. Elle est pas mauvaise loin de là. Mais bon il reste plus que la pizza et les macaronis. Philippe, lui, mange sans se poser des questions. Il bouffe tout, on pourrait lui passer un bol de cassoulet, il mangerait comme si sa vie en dépendait. Je chope une cuiller, pose une bonne sauce tomate bien brûlante et fais l'effet catapulte sur Philippe. La sauce atterrit sur sa jambe gauche. Il grimace et s'essuie vite la jambe.
- Oups ! Désolé
- C'est pas grave, je sais que tu l'as pas fait exprès.
(Hé hé si tu savais )
Cécile sourit et approche son visage du mien. Lentement nos deux bouches entomattées se frôlent et un petit bisou sort nos deux cavités buccales. C'était mignon mais très agréable.
Philippe me glisse à l'oreille.
- Tu sors avec une fille ?
- Bah ouais, je lui réponds doucement. Pourquoi ? Ca te dérange tête de couille ?
- Nan . Mais t'as trop de bol. Tu m'apprends ?
- Y'a rien à t'apprendre.
- Bah si...moi aussi je veux un bisou
- Arrête tu me fous la honte mange et tais toi.

Il enfouit une bonne cuillerée de lasagne dans sa gueule. Je profite pour lui renvoyer de la sauce tomate bien chaude. Ca atterrit tout près de sa bite là. Jay géray

Le repas fini, Cécile et moi sortons. On se dirige vers la plage et nous nous asseyons sur le sable. On se touche, je sens son corps sur le mien. Tous mes sens sont aux aguets. Mais comme rarement, c'est pas du cul que je veux en ce moment...c'est juste être avec elle. Enfin elle s'asseoit et me regarde.
- J'ai pas envie de revenir à l'école après les vacs. Je vais devoir retrouver mon petit copain, faire mes devoirs et tout.
Je tilte au 'petit copain'.
- Tu sors avec quelqu'un ?
- Bah oui et non. C'est juste pour faire genre. Je l'aime pas.
- Quel intérêt alors ?
- Mais pour faire style je sors avec quelqu'un.
- Mais tain ! T'es juste une salope alors !
Je commence à m'énerver. Je le sens. J'essaie de me contenir.
- Mais nan, chéri. C'est toi que j'aime.
Elle se couche sur moi. Je sens son ventre sur le mien. Sa poitrine sur la mienne. Mon pénis se dresse. Lentement elle le caresse. Ca me fait plaisir. Elle sait comme adoucir les gens.

Elle le sait...

Nous nous sommes endormis comme ça. Nous ne sommes pas allés plus loin ce jour-là. Ca n'a jamais été mon but. Pour ça, nous avons dû attendre...choisir le moment propice...moment pas si éloigné que ça.


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