Les chroniques de Karlfand
Par : Sipro
Genre : Fantastique
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 20
Publié le 19/05/11 à 18:32:49 par Sipro
Anthèlme referma sa main sur quelque chose. Une poignée recouverte de gros tissu, moelleux, tenu fermement par de la corde. Au dessus, une garde en fer, de mauvaise qualité. Sans hésiter, il releva sa main et enfonça son arme dans la jambe du chef des bandits. Avec une chance extrême, cette arme, cette lame courte, celle d’Anthèlme, s’enfonça dans un des trous des jambières. Mais un bonheur n’arrivant jamais seul, ce dernier fut accompagné de malchance. En effet, la lame se brisa à l’intérieur de la jambe du chef des bandits.
Néanmoins ce dernier s’affaissa sur le sol, ce qui obligea Anthèlme à rouler sur le côté. Puis Anthèlme se releva, sa lame courte brisée en main, pendant que le chef des bandits essayait de se relever, ne faisant qu’augmenter la douleur. Le chef s’arrêta au bout de la seconde fois, en ayant compris que cela ne servirai à rien de se relever, et qu’il fallait ramper.
Un peu trop tard. Anthèlme était déjà assis sur son torse, ses pieds sur les muscles du géant, l’empêchant de bouger, la lame brisée sur son cou de taureau.
-La fille du seigneur.
-Elle est à toi.
Anthèlme tourna la tête, et vit que la fille du seigneur se dirigeait vers Delphia et le groupe. Anthèlme regarda à nouveau son adversaire.
- Finis-moi vite… Tu as déjà ce que j’avais gardé. Il ne te reste que ma vie à me prendre. Je ne pourrais plus guider les bandits. Toi, un avorton, qui me maintient au sol.
-Non, je ne te tuerai pas.
Anthèlme se releva et pris les armes du bandit. Il en garda une en main et montra l’autre au chef des bandits.
-Par contre, je te garde ça. C’est une bonne arme, et il me faut une preuve que tu es mort. Ta tête aurait été utile, mais les épées le seront encore plus. En plus, il me fallait une nouvelle arme.
Il se dirigea lentement vers le groupe. Une fois qu’il l’eut rejoint, tout le monde le gratifia de tapes dans le dos, sauf la fille du seigneur et Delphia.
-Anthèlme, tu es un irresponsable. Déclara Delphia.
-Mais…
-Tu aurais du le tuer. Continua-t-elle.
-Mais…
-Maintenant, préparez vous à vous battre, les bandits ne sont pas vraiment contents…
Anthèlme regarda son nouveau fendoir et se mit en garde. D’un coup, Anthèlme senti moins de poids sur lui.
-Que tous ceux qui savent se battre empoignent leurs armes, déclara Delphia.
-C’est déjà fait, déclara le groupe.
-Merci, Anthèlme. Fit une voix.
Néanmoins ce dernier s’affaissa sur le sol, ce qui obligea Anthèlme à rouler sur le côté. Puis Anthèlme se releva, sa lame courte brisée en main, pendant que le chef des bandits essayait de se relever, ne faisant qu’augmenter la douleur. Le chef s’arrêta au bout de la seconde fois, en ayant compris que cela ne servirai à rien de se relever, et qu’il fallait ramper.
Un peu trop tard. Anthèlme était déjà assis sur son torse, ses pieds sur les muscles du géant, l’empêchant de bouger, la lame brisée sur son cou de taureau.
-La fille du seigneur.
-Elle est à toi.
Anthèlme tourna la tête, et vit que la fille du seigneur se dirigeait vers Delphia et le groupe. Anthèlme regarda à nouveau son adversaire.
- Finis-moi vite… Tu as déjà ce que j’avais gardé. Il ne te reste que ma vie à me prendre. Je ne pourrais plus guider les bandits. Toi, un avorton, qui me maintient au sol.
-Non, je ne te tuerai pas.
Anthèlme se releva et pris les armes du bandit. Il en garda une en main et montra l’autre au chef des bandits.
-Par contre, je te garde ça. C’est une bonne arme, et il me faut une preuve que tu es mort. Ta tête aurait été utile, mais les épées le seront encore plus. En plus, il me fallait une nouvelle arme.
Il se dirigea lentement vers le groupe. Une fois qu’il l’eut rejoint, tout le monde le gratifia de tapes dans le dos, sauf la fille du seigneur et Delphia.
-Anthèlme, tu es un irresponsable. Déclara Delphia.
-Mais…
-Tu aurais du le tuer. Continua-t-elle.
-Mais…
-Maintenant, préparez vous à vous battre, les bandits ne sont pas vraiment contents…
Anthèlme regarda son nouveau fendoir et se mit en garde. D’un coup, Anthèlme senti moins de poids sur lui.
-Que tous ceux qui savent se battre empoignent leurs armes, déclara Delphia.
-C’est déjà fait, déclara le groupe.
-Merci, Anthèlme. Fit une voix.
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