Les chroniques de Karlfand
Par : Sipro
Genre : Fantastique
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 1
Publié le 10/05/11 à 17:37:02 par Sipro
Garlach’, ville longtemps dominée par le royaume Rédahelois, et encore occupée aujourd’hui. C’est une ville de stature moyenne, comportant 500 habitants. On pouvait distinguer, même lorsqu’on en était loin, ses épais murs noirs. Cette cité était un poste d’avant-garde du royaume Rédahelois, qui tenait toujours, malgré sa construction, il y a de cela plus de 200 ans. On racontait que la roche qui avait servie à bâtir cette ville était, sans aucun doute, le matériau le plus dur, le plus solide et le plus résistant que le monde connaissait. Et les rumeurs n’étaient pas infondées, car cette ville avait résisté aux assauts de barbares, et autres fous qui avaient osés attaquer les Rédahelois. Cette ville avait connu des décennies de guerre. Et c’était sans doute dans cette ville que se trouvaient les gens les plus braves, et les plus courageux que l’Histoire avait connue. Ces gens étaient maintenant 10 pieds sous terre, et étaient déjà rongés par les vers. Mais tout le monde avait encore de l’admiration pour ces gens là, ou presque tout le monde, a un tel point que cette ville était devenu un lieu de pèlerinage, non pas le plus important. Il devait venir près de 6 fois la population de la ville par année, ce qui était énorme, sachant que cette ville était souvent en période de guerre. Cette fois, elle était en paix avec les armées voisines, et tout se passait pour le mieux.
C’était par un soir de pluie, qu’un homme s’approcha de cette ville. Il montait un cheval noir et marron. On avait du mal à discerner les formes, dans les ténèbres de la nuit, et il eut fallu qu’il se rapproche d’assez près pour que l’on puisse avoir un petit aperçu de cet homme. Il était de stature moyenne, enroulé dans un manteau noir, lui arrivant aux mollets, fermé. Sur sa tête était posé un chapeau noir, rabaissé, qui recouvrait une partie de son visage. Sur le cheval, on pouvait voir une armure de fer, des jambières, des brassards, ainsi que des épaulières de fer. L’équipement était neuf, si ce n’était le fait qu’il était un peu salit par la boue et ruisselait de gouttes d’eau. Une fois à porté, le gardien des portes l’invita à se rapprocher de lui. Le gardien, un vieillard frêle et malingre, à qui il manquait la moitié d’une jambe. Il s’approcha du cavalier noir, et chercha les yeux du cavalier. Il ne découvrit que le chapeau.
-Monsieur, je ne cherche là qu’à manger et à loger.
-Fort bien. La porte de la ville est là, et elle vous est grande ouverte.
Sans un mot de remerciement, le cavalier entra dans l’impressionnante ville. Il se dirigea vers les écuries. Dans la rue, il n’y avait presque personne. Alors qu’il continuait d’avancer, sans un mot, il jeta une pièce à un manant éclopé. Ce dernier demanda aux dieux de bénir cette sainte personne, et de le protéger tout le temps, afin qu’il ne lui arrive jamais malheur. Arrivé aux écuries, deux garçons, de taille moyenne, l’accostèrent. L’homme tout de noir vêtu sorti une lettre froissée de sa poche, et la tendit au garçon le plus proche de lui. Il lui ordonna, d’une voix puissante, d’aller porter ça au seigneur de la ville. Sur la lettre, on pouvait y lire « Anthèlme, à qui de droit ». Une fois le premier des deux garçons parti, il descendit de son cheval et tendit 2 pièces d’argent à l’enfant. A celui-ci, il lui commanda de laver son cheval, de le nourrir, et de lui trouver un enclos dans un endroit calme et protégé. Il se dirigea ensuite vers la taverne la plus proche, attendant d’être convoqué par le seigneur local. Il entra dans la taverne en claquant les portes. A son entrée, tout le monde sursauta et murmura des bribes que l’homme noir ne pouvait entendre. Il retira son chapeau, et laissa découvrir un visage d’adulte, mais trop fin pour qu’il le soit entièrement. Il était blond, les cheveux en carré, lui tombant sur les épaules, avec une barbe naissante sur le bas du visage. Il avait des yeux bleus, assez clairs, qui dégageaient une aura sereine. Une impression de bonté émergeait de ce jeune homme. Il alla s’assoir à une table, et attendit quelques instants. Chacun avait déjà repris ce qu’il était en train de faire avant que l’individu en question ne soit entré. C’est alors que le jeune chargé de porté la lettre vint dans l’auberge, les bottes boueuses, mais sans la lettre. Il semblait sonder le bar, cherchant l’homme qui lui avait donné cette mission. Désolé de ne pas l’avoir trouvé, il hurla le nom sur la lettre. Anthèlme se leva et se dirigea vers le garçon. Celui-ci le regarda à nouveau, mais de bas en haut cette fois.
-Je ne vous avais pas reconnu Monsieur Anthèlme. Comprenez que votre tenue contraste avec votre visage. Le seigneur est prêt à vous recevoir.
-Dans ce cas, mène moi à lui.
Sans un mot de plus, ils sortirent de l’auberge, et se dirigèrent vers la maison du seigneur.
C’était par un soir de pluie, qu’un homme s’approcha de cette ville. Il montait un cheval noir et marron. On avait du mal à discerner les formes, dans les ténèbres de la nuit, et il eut fallu qu’il se rapproche d’assez près pour que l’on puisse avoir un petit aperçu de cet homme. Il était de stature moyenne, enroulé dans un manteau noir, lui arrivant aux mollets, fermé. Sur sa tête était posé un chapeau noir, rabaissé, qui recouvrait une partie de son visage. Sur le cheval, on pouvait voir une armure de fer, des jambières, des brassards, ainsi que des épaulières de fer. L’équipement était neuf, si ce n’était le fait qu’il était un peu salit par la boue et ruisselait de gouttes d’eau. Une fois à porté, le gardien des portes l’invita à se rapprocher de lui. Le gardien, un vieillard frêle et malingre, à qui il manquait la moitié d’une jambe. Il s’approcha du cavalier noir, et chercha les yeux du cavalier. Il ne découvrit que le chapeau.
-Monsieur, je ne cherche là qu’à manger et à loger.
-Fort bien. La porte de la ville est là, et elle vous est grande ouverte.
Sans un mot de remerciement, le cavalier entra dans l’impressionnante ville. Il se dirigea vers les écuries. Dans la rue, il n’y avait presque personne. Alors qu’il continuait d’avancer, sans un mot, il jeta une pièce à un manant éclopé. Ce dernier demanda aux dieux de bénir cette sainte personne, et de le protéger tout le temps, afin qu’il ne lui arrive jamais malheur. Arrivé aux écuries, deux garçons, de taille moyenne, l’accostèrent. L’homme tout de noir vêtu sorti une lettre froissée de sa poche, et la tendit au garçon le plus proche de lui. Il lui ordonna, d’une voix puissante, d’aller porter ça au seigneur de la ville. Sur la lettre, on pouvait y lire « Anthèlme, à qui de droit ». Une fois le premier des deux garçons parti, il descendit de son cheval et tendit 2 pièces d’argent à l’enfant. A celui-ci, il lui commanda de laver son cheval, de le nourrir, et de lui trouver un enclos dans un endroit calme et protégé. Il se dirigea ensuite vers la taverne la plus proche, attendant d’être convoqué par le seigneur local. Il entra dans la taverne en claquant les portes. A son entrée, tout le monde sursauta et murmura des bribes que l’homme noir ne pouvait entendre. Il retira son chapeau, et laissa découvrir un visage d’adulte, mais trop fin pour qu’il le soit entièrement. Il était blond, les cheveux en carré, lui tombant sur les épaules, avec une barbe naissante sur le bas du visage. Il avait des yeux bleus, assez clairs, qui dégageaient une aura sereine. Une impression de bonté émergeait de ce jeune homme. Il alla s’assoir à une table, et attendit quelques instants. Chacun avait déjà repris ce qu’il était en train de faire avant que l’individu en question ne soit entré. C’est alors que le jeune chargé de porté la lettre vint dans l’auberge, les bottes boueuses, mais sans la lettre. Il semblait sonder le bar, cherchant l’homme qui lui avait donné cette mission. Désolé de ne pas l’avoir trouvé, il hurla le nom sur la lettre. Anthèlme se leva et se dirigea vers le garçon. Celui-ci le regarda à nouveau, mais de bas en haut cette fois.
-Je ne vous avais pas reconnu Monsieur Anthèlme. Comprenez que votre tenue contraste avec votre visage. Le seigneur est prêt à vous recevoir.
-Dans ce cas, mène moi à lui.
Sans un mot de plus, ils sortirent de l’auberge, et se dirigèrent vers la maison du seigneur.
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