Les chroniques de Karlfand
Par : Sipro
Genre : Fantastique
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 19
Publié le 19/05/11 à 18:31:08 par Sipro
Anthèlme s’avança au milieu du cercle de combat, et se plaça en face du chef. Ses compagnons, quant à eux furent conduits par les bandits, hors du cercle de combat. La fille du seigneur local était toujours retenue par les deux bandits.
Le chef sourit à Anthèlme, et cracha sur le sol. Puis émergea alors de sa gorge, un nouveau d’un rire gras. Anthèlme lui avait l’air très sérieux, et posa une main à l’endroit où aurait du se trouver sa lame longue, si il l’avait prise avec lui. Il se maudit intérieurement de ne pas l’avoir emporté avec lui, et vérifia si sa lame courte coulissait bien dans son fourreau. Puis les deux hommes se fixèrent. Le chef du baisser la tête pour regarder Anthèlme.
-Dites moi, on vous a déjà dit que vous ressembliez à un troll des cavernes ? demanda Anthèlme.
-Je te trancherais bien la tête, si elle dépassait un peu plus du sol…
Tous les bandits autour du cercle de combat rirent, et Anthèlme dégaina sa lame courte, puis se mit en garde. Le chef des bandits regarda la lame d’Anthèlme puis ria, à son tour. Les bandits firent de même, en constatant la taille de l’arme.
-Ha ! Et tu compte me tuer avec ton cure dent ?
-Ce n’est pas la taille de l’arme qui compte. C’est comment on en sert.
-J’ai l’impression que tu en connais long sur le sujet.
Eclats de rire dans le camp bandit, encore une fois. Anthèlme commençait sérieusement à s’impatienter. Fatigué que l’on se moque de sa personne, il attaqua le chef Bandit. Ce dernier para le coup à l’aide d’un de ses fendoirs. Il adressa un sourire au paladin et lui décocha un coup de poing, n’ayant pas préféré mettre un coup de fendoir qu’Anthèlme n’aurait pas su éviter. Il recula sous l’impact, il fut même jeté sur le sol. Sa mâchoire lui faisait un mal de chien, comme si elle venait d’être décrochée.
- Amuse-moi, pantin. Déclara le chef, avec sa grosse voix.
Anthèlme se releva et récupéra sa lame courte. Il se remit en garde, prêt à attaquer lorsque l’occasion se présenterait. Elle ne se présenta pas. Le chef des bandits feinta en lui décocha un coup de Fendoir, qu’Anthèlme para, suivis d’un coup de pied, que le paladin vu venir trop tard. Il se recula en se tenant les parties génitales, épée dans la main gauche, bijoux de famille dans la main droite.
-Je vais feinter sur ta gauche, pour t’attaquer sur la droite, pantin. Prépare-toi.
Anthèlme n’en crut pas un mot et para le coup venant à gauche. Puis il se prit le plat du fendoir dans le crâne. Il était déstabilisé, et ne vit pas les autres coups de plat de lame venir. Il en prit dans le ventre, les bras et le dernier dans les jambes, ce qui le fit tomber à genoux. Le chef sourit et lui envoya un coup de pied dans le crâne. Le paladin s’écrasa lourdement sur le sol. Sa vision devint floue, et ses membres étaient engourdis par la douleur. Il chercha sa lame à tâtons, complètement désorienté, mais ne la trouva pas. Il continua les recherche, jusqu’à ce qu’une botte se posa sur son torse. Cette botte poussait contre la poitrine d’Anthèlme, l’empêchant ainsi de se dégager.
-Prépare-toi à mourir, Pantin ! S’écria le chef en levant un de ses fendoirs en l’air.
Le chef sourit à Anthèlme, et cracha sur le sol. Puis émergea alors de sa gorge, un nouveau d’un rire gras. Anthèlme lui avait l’air très sérieux, et posa une main à l’endroit où aurait du se trouver sa lame longue, si il l’avait prise avec lui. Il se maudit intérieurement de ne pas l’avoir emporté avec lui, et vérifia si sa lame courte coulissait bien dans son fourreau. Puis les deux hommes se fixèrent. Le chef du baisser la tête pour regarder Anthèlme.
-Dites moi, on vous a déjà dit que vous ressembliez à un troll des cavernes ? demanda Anthèlme.
-Je te trancherais bien la tête, si elle dépassait un peu plus du sol…
Tous les bandits autour du cercle de combat rirent, et Anthèlme dégaina sa lame courte, puis se mit en garde. Le chef des bandits regarda la lame d’Anthèlme puis ria, à son tour. Les bandits firent de même, en constatant la taille de l’arme.
-Ha ! Et tu compte me tuer avec ton cure dent ?
-Ce n’est pas la taille de l’arme qui compte. C’est comment on en sert.
-J’ai l’impression que tu en connais long sur le sujet.
Eclats de rire dans le camp bandit, encore une fois. Anthèlme commençait sérieusement à s’impatienter. Fatigué que l’on se moque de sa personne, il attaqua le chef Bandit. Ce dernier para le coup à l’aide d’un de ses fendoirs. Il adressa un sourire au paladin et lui décocha un coup de poing, n’ayant pas préféré mettre un coup de fendoir qu’Anthèlme n’aurait pas su éviter. Il recula sous l’impact, il fut même jeté sur le sol. Sa mâchoire lui faisait un mal de chien, comme si elle venait d’être décrochée.
- Amuse-moi, pantin. Déclara le chef, avec sa grosse voix.
Anthèlme se releva et récupéra sa lame courte. Il se remit en garde, prêt à attaquer lorsque l’occasion se présenterait. Elle ne se présenta pas. Le chef des bandits feinta en lui décocha un coup de Fendoir, qu’Anthèlme para, suivis d’un coup de pied, que le paladin vu venir trop tard. Il se recula en se tenant les parties génitales, épée dans la main gauche, bijoux de famille dans la main droite.
-Je vais feinter sur ta gauche, pour t’attaquer sur la droite, pantin. Prépare-toi.
Anthèlme n’en crut pas un mot et para le coup venant à gauche. Puis il se prit le plat du fendoir dans le crâne. Il était déstabilisé, et ne vit pas les autres coups de plat de lame venir. Il en prit dans le ventre, les bras et le dernier dans les jambes, ce qui le fit tomber à genoux. Le chef sourit et lui envoya un coup de pied dans le crâne. Le paladin s’écrasa lourdement sur le sol. Sa vision devint floue, et ses membres étaient engourdis par la douleur. Il chercha sa lame à tâtons, complètement désorienté, mais ne la trouva pas. Il continua les recherche, jusqu’à ce qu’une botte se posa sur son torse. Cette botte poussait contre la poitrine d’Anthèlme, l’empêchant ainsi de se dégager.
-Prépare-toi à mourir, Pantin ! S’écria le chef en levant un de ses fendoirs en l’air.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire