Les chroniques de Karlfand
Par : Sipro
Genre : Fantastique
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 18
Publié le 18/05/11 à 21:34:24 par Sipro
Anthèlme et ses quatre compagnons furent guidés vers le chef du camp des bandits. A leur arrivé, les bandits formaient un cercle bien plus grand, une sorte d’aire de combat. Et au fond, le chapiteau du chef. Ce dit chapiteau devait contenir toutes les recettes des bandits. Par recettes, il fallait bien sûr comprendre le butin de ces voleurs.
Le chef sortit de sa tente. A son arrivé, tout les bandits se tinrent droits, et se taisaient. Cet homme avait réussis à maintenir en respect, et en cage !, des bandits féroces, des meurtriers recherchés dans toute la région, et des voleurs impétueux. Comment était-ce possible ? Comment avait-il réalisé une telle « prouesse » ? Comment faisait il pour les tenir tous, et toutes car il y avait quelques filles, en respect ?
C’était très simple. Prenez un géant, environ un mètre quatre-vingts cinq, quatre-vingts dix. Ajoutez lui la carrure d’un nain plus que musclé. Quelques balafres parsèment ce visage carré et lourd. Deux tresses longues formant des boules en bas servent de coiffure à cet homme. N’oublions pas son cou de taureau. Ses mains faisaient facilement la largeur d’un cou d’adulte, un peu plus gros d’ailleurs. Il portait aussi 3 cottes de maille, ainsi que des bottes de fer lourd, et des jambières d’acier. Seuls ses bras étaient à découvert, bien que ceux-ci ne risquaient pas grand-chose, à cause de leur épaisseur. Ses armes étaient deux fendoirs d’acier lourd, dentelés, avec deux chaines au bout de chacun d’eux. Les chaines n’étaient pas très longues, quelques centimètres, mais la seule vue de ces armes faisait frémir. En résumé, cet homme était une montagne de muscle et de pierre, avec des protections presque impénétrables, une machine à tuer.
Il émit un rire gras en voyant Anthèlme, Ainarïel, Delphia et Zenya. Sa mâchoire carrée laissait apparaître une dentition parfaite, et puissante. C’était à se demander si cet homme n’était tout simplement pas fait à partir d’acier que l’on aurait assemblé, puis dans lequel on aurait placé tout le système organique d’un homme. Il s’arrêta de rire. Ses yeux, noirs jais, de faucons scrutèrent le groupe. Ils passèrent d’Ainarïel à Delphia, puis a Zenya. Enfin, son regard s’arrêta sur Anthèlme. Il le fixa longuement, et lâcha un nouveau rire gras, puissant, fort.
Anthèlme s’empourpra de colère, et dévisagea le chef des bandits. Derrière lui, deux hommes amenaient une femme. Cette femme, Anthèlme la reconnue de suite. Yeux verts émeraudes comme personne d’autres n’en avaient, uniques, une chevelure brune, une crinière bien faîte. Un visage fin, des lèvres parfaites, un nez parfait, un visage parfait. Son corps aussi était parfait. La fille du seigneur.
Anthèlme ne put s’empêcher de sourire en la voyant, puis s’arrêta, en pensant que ces brutes l’avaient encore. Le chef des Bandits releva sa ceinture de cuir, cloutée, et regarda le groupe en souriant.
-Qui osera se mesurer à moi pour récupérer ce trophée ? Demanda le chef, de sa voix puissante.
-J’acce… commença Delphia.
-Moi. La coupa Anthèlme.
-Toi ? Le quart de portion ? Très bien. Mais si tu échoue, tes amis et la fille du seigneur serviront comme putains dans notre camp. Et pour toi, cela sera la mort, bien entendu.
-J’accepte. Déclara Anthèlme.
Le chef sortit de sa tente. A son arrivé, tout les bandits se tinrent droits, et se taisaient. Cet homme avait réussis à maintenir en respect, et en cage !, des bandits féroces, des meurtriers recherchés dans toute la région, et des voleurs impétueux. Comment était-ce possible ? Comment avait-il réalisé une telle « prouesse » ? Comment faisait il pour les tenir tous, et toutes car il y avait quelques filles, en respect ?
C’était très simple. Prenez un géant, environ un mètre quatre-vingts cinq, quatre-vingts dix. Ajoutez lui la carrure d’un nain plus que musclé. Quelques balafres parsèment ce visage carré et lourd. Deux tresses longues formant des boules en bas servent de coiffure à cet homme. N’oublions pas son cou de taureau. Ses mains faisaient facilement la largeur d’un cou d’adulte, un peu plus gros d’ailleurs. Il portait aussi 3 cottes de maille, ainsi que des bottes de fer lourd, et des jambières d’acier. Seuls ses bras étaient à découvert, bien que ceux-ci ne risquaient pas grand-chose, à cause de leur épaisseur. Ses armes étaient deux fendoirs d’acier lourd, dentelés, avec deux chaines au bout de chacun d’eux. Les chaines n’étaient pas très longues, quelques centimètres, mais la seule vue de ces armes faisait frémir. En résumé, cet homme était une montagne de muscle et de pierre, avec des protections presque impénétrables, une machine à tuer.
Il émit un rire gras en voyant Anthèlme, Ainarïel, Delphia et Zenya. Sa mâchoire carrée laissait apparaître une dentition parfaite, et puissante. C’était à se demander si cet homme n’était tout simplement pas fait à partir d’acier que l’on aurait assemblé, puis dans lequel on aurait placé tout le système organique d’un homme. Il s’arrêta de rire. Ses yeux, noirs jais, de faucons scrutèrent le groupe. Ils passèrent d’Ainarïel à Delphia, puis a Zenya. Enfin, son regard s’arrêta sur Anthèlme. Il le fixa longuement, et lâcha un nouveau rire gras, puissant, fort.
Anthèlme s’empourpra de colère, et dévisagea le chef des bandits. Derrière lui, deux hommes amenaient une femme. Cette femme, Anthèlme la reconnue de suite. Yeux verts émeraudes comme personne d’autres n’en avaient, uniques, une chevelure brune, une crinière bien faîte. Un visage fin, des lèvres parfaites, un nez parfait, un visage parfait. Son corps aussi était parfait. La fille du seigneur.
Anthèlme ne put s’empêcher de sourire en la voyant, puis s’arrêta, en pensant que ces brutes l’avaient encore. Le chef des Bandits releva sa ceinture de cuir, cloutée, et regarda le groupe en souriant.
-Qui osera se mesurer à moi pour récupérer ce trophée ? Demanda le chef, de sa voix puissante.
-J’acce… commença Delphia.
-Moi. La coupa Anthèlme.
-Toi ? Le quart de portion ? Très bien. Mais si tu échoue, tes amis et la fille du seigneur serviront comme putains dans notre camp. Et pour toi, cela sera la mort, bien entendu.
-J’accepte. Déclara Anthèlme.
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