Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Walking Dead 15-18


Par : AishwaryaRai
Genre : Horreur, Action
Statut : Terminée



Chapitre 101


Publié le 02/08/2014 à 01:19:21 par AishwaryaRai

EPISODE 20 : FUTUR ( 5/7 )

Aix-La-Chapelle, Allemagne

Bachir: Vous devez vivre coûte que coûte !

Bastou et Jenny se regardaient, ils avaient compris que la décision de Bachir était prise. C'était la fin de son aventure avec eux... Bastou se rapprocha de Bachir, le remercia et lui fit une accolade. Jenny fit de même puis l'embrassa sur la bouche.
Et le couple partit... Tandis que Bachir stoppa sa course.

Bachir: C'était mon premier baiser... J'aurais au moins connu ça avant de mourir.

Bachir fit marche inverse en direction des patrouilleurs. Lorsqu'il fut repéré, il leva ses bras en l'air. Les autres patrouilleurs se rassemblèrent ainsi que Dima...

Un patrouilleur : Apparemment il est seul...

Bachir regarda Dima qui prit la parole.

Dima: Oui je l'ai vu seul, il m'a échappé dans ces petites ruelles mais on ne m'y reprendra pas plus.
Un patrouilleur : On en fait quoi ?
Dima: On va tester sa résistance... Et la vôtre par la même occasion !
Les patrouilleurs : Quoi ?

Dima dégoupilla une grenade et la jeta juste devant Bachir avant de partir rapidement en courant... Puis il se coucha et la grenade explosa...

*

Un village en Suisse

Walter : Alors qu'est-ce que tu penses de ma proposition ? On se barre ensemble ?

Raphy regarda Walter et se rapprocha de lui. Il lui arracha son joint et lui dit.

Raphy: Je te l'ai déjà dit, on s'en sort bien tous les 7 et je ne gâcherai pas cela. Je veux vivre et j'ai besoin de ce groupe. Si un jour, ce groupe ne fonctionne plus je m'en irais. Mais ce sera seul et sans toi. Tu disais avoir d'attaches avec personne ? C'est idem pour moi, mais vous êtes nécessaires à ma survie.
Walter: Je vois... Rends moi mon joint maintenant.
Raphy: Idem pour toi, tu restes avec nous, tu ne te barres pas, vu ?
Walter: Oui... Oui...

Raphy jeta le joint au sol et Walter le ramassa pour le finir... Raphy alla se coucher, en passant il vit bien sur les 3 enfants dormir à poings fermés et bien qu'il disait n'avoir aucune attache, il était touché par leur débrouillardise. Puis il retourna à sa tente.

Walter finissait son joint, et éteignit le feu. Il alla se coucher aussi et remarqua sur son chemin qu'Emma n'était pas dans sa tente. Il se rapprocha par curiosité vers celle de Shane... Et les vit tous les deux tous nus ! Il referma immédiatement la tente pour éviter de se faire repérer et d'en voir plus...

Mais il avait raison, son ex petite amie se tape le meneur du groupe... Par la même occasion, en couchant ensemble, ces deux-là transgressent la différence d'âge, le respect envers Maxou décédé et Sami et Andry disparus... Mais surtout ils portent atteinte à l'unicité d'un groupe qui comporte 3 enfants sur 7 personnes... Puis Walter se mit à verser des larmes... Et se demanda pourquoi.
Avait-il des sentiments pour Emma ? Non impossible, il la détestait... Il n'appréciait pas spécialement Shane non plus... Au fait, Walter était malheureux dans ce groupe. Et cette nuit, il assista à la goutte d'eau qui fit déborder le vase...

*

Luxembourg, Luxembourg

Fury emmena les 2 petites filles au lit, leur lit une histoire de Martine puis celles-ci s'endormirent. Fury reversait de nouveau quelques larmes puis il sentit que la mère venait le rejoindre.

La mère: Vous voulez du café ?

Fury sécha rapidement ses larmes pour éviter d'être vu dans un état de faiblesse et accepta la proposition de la femme. Ils prirent un café tout deux assis côte à côté sur le canapé...

Fury: Merci pour le café, il est très bon ! Je n'en avais pas bu depuis des lustres...
La mère: C'est moi qui vous remercie, depuis la mort de mon mari, je n'ai jamais rencontré une personne aussi attentionné envers mes enfants. Et vous leur avez sauvé la vie.
Fury: Elles ont redonné un sens à la mienne, l'espace d'un instant.
La mère: L'espace d'un instant ?
Fury: Oui tout est éphémère...
La mère: Et si c'était plus qu'un instant ?
Fury: Pardon ?
La mère: Je vais aller me coucher, vous montez me rejoindre ?

*

Strasbourg, France

Alors qu'on marchait tranquillement en direction du repère de John, on vit un groupe de motards sur notre chemin.

John : Merde, c'était ce que je craignais...
Andry: Arf, laisse-moi parler John, on s'en sortira comme d'habitude et puis on est presque aussi nombreux avec Sami et son père.
John: Non le problème c'est qu'il y a votre cheval avec nous, un très beau cheval...
Mon père: C'est donc Kokuhoh qui pose problème ?
John: Navré de vous l'apprendre, c'est aussi pour cela que je voulais me dépêcher.
Mon père: N'ayez crainte, dans ce cas, c'est moi qui parlerai.

Mon père chevaucha Kokuhoh tandis que John, Andry et moi le suivions.
En face, de lui un homme se dégageait du groupe des motards, visiblement le meneur qui connaissait bien John et Andry.

Le meneur : Alors on s'est fait de nouveaux coupains à ce que je vois ? Des arabes en plus ! Et qu'ils ont un beau cheval, ça fera un bon paquet de viande pour mes gars.
Mon père: Ce paquet de viande comme tu dis s'appelle Kokuhoh et crois-moi, il est loin d'être commode. Je suis le seul à qui il obéit.
Le meneur: Ah mon gars, tu sais pas qui fait la loi à Strasbourg ! Les gens croient qu'ils vont survivre en volant les biens des autres victimes. Mais cela ne doit pas se passer comme ça. C'est la loi du plus fort ! Et ici, le plus fort, c'est qui ?
Les motards: C'EST NOUS !!!!!!!!!!!!!!!!!
Le meneur : Exact, et s'ils veulent survivre, ils doivent nous donner les biens qu'ils ont volés. On est gentils, on ne taxe que la moitié. John, ça fait un moment que tu n'as rien donné. Et là, tu as un beau cheval... On est gentils, on va vous en laisser la moitié, on vous laissera le trou de balle hahahaha !
Mon père: Je te le répète, ce cheval n'est pas à toi...

Les motards se mirent alors en colère de voir de la résistance face à eux !

Le meneur: Enfoiré, donne-moi tout le cheval pour m'avoir manquer de respect ! Espèce de sale arabe !

Mon père sortit un flingue et tira sur le meneur des motards... Je me suis toujours demandé si mon père avait déjà tué des hommes depuis l'arrivée des zombies, j'avais ma réponse maintenant...

John: Mon Dieu, il n'aurait jamais dû faire ça...
Mon père: Mon nom est Al-Hakam ! Tâchez de vous en souvenir !


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