Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Walking Dead 15-18


Par : AishwaryaRai
Genre : Horreur, Action
Statut : Terminée



Chapitre 102


Publié le 02/08/2014 à 01:19:57 par AishwaryaRai

EPISODE 20 : FUTUR ( 6/7 )

Strasbourg, France

Le chef des motards était à terre après que mon père lui ait tiré dessus, je pensais que les motards allaient tous nous attaquer mais au lieu de ça, ils prirent la fuite.
Cependant, John était hors de lui.

John: Al-Hakam, tu n'aurais jamais dû faire ça ! Tu crois qu'ils se sont enfuis, ils vont revenir bien plus nombreux et ils ne vont pas nous tuer, non ! Ils vont nous torturer, ils sont même capables de nous manger ! Ce sont des charognards, ces motards !
Al-Hakam : Eh bien, autant s'échapper tout de suite. Sami, monte avec moi sur Kokuhoh et vous John et Andry prenez la moto de ce type-là !
John: Merde, 8 mois que je vis à Strasbourg et je dois partir du jour au lendemain...
Andry: Tu sais bien que dans ce monde, il n'y a pas d'attache...

Andry et John se rapprochèrent de la moto tandis que le chef des motards se relevait malgré sa blessure au ventre...

Al-Hakam : Tu es résistant !
Le chef : Salopard ! A tous les cas, tu viens de Paris ?
Al-Hakam: Nous sommes marseillais mais en effet, nous venons de Paris...
Le chef: Enfoirés ! C'est la deuxième fois que je me fais avoir par des parisiens...

Cette phrase m'interpella...

Sami: Tu as rencontré d'autres parisiens ?
Le chef: Un couple dont la fille était plus jeune et enceinte d'ailleurs... Leur nom me vient à la bouche mais je l'ai oublié...
Sami: Un couple ? Nan... Alexis ne me ferait jamais une chose pareille. Et puis Marion est morte...
Le chef: Alexis et Marion voilà hahahaha ! Les seuls qui m'aient échappé au cours de ces derniers mois... Mais ne croyez pas que vous m'échapperez, même blessé, je peux vous retenir jusqu'au retour de mes compagnons !!!

Le chef sortit alors une grenade de sa poche, on ne pouvait désormais plus lui échapper...
Mais de mon côté, je commençais à perdre mes esprits...

Al-Hakam : Sami ?

*

Aix-La-Chapelle, Allemagne

Dima se releva sans trop de problèmes, la grenade fit beaucoup de dégâts dans le coin... Tous les patrouilleurs étaient morts puis il chercha Bachir et le trouva rapidement...
Il n'avait pas résisté...
Son corps entier avait été carbonisé, il ne pouvait plus bouger et ne respirait plus...

Dima: Au final, tu ne peux pas résister aux bombes comme moi, tu n'étais pas digne de devenir mon partenaire... Hein ?

Bachir respirait encore, malgré les énormes dégâts qu'il avait subi, il était encore en vie...

Bachir: Ne... Ro... Ach... ève... moi... me... laisse... pas... comme... ça...

Dima sortit son revolver et le pointa vers la tête de Bachir....

Bachir: Tu... as... eu... ta... re... van... che...
Dima: Je te l'ai dit, moi c'est Dima !

Puis Dima élimina Bachir... Plus de 6 mois après s'être vengé de Marius, il réussit à se venger de Bachir qui l'avait abandonné à son sort. Mais par la grenade qu'il avait dégoupillé et les patrouilleurs qui en étaient victimes, Dima devait quitter Aix-La-Chapelle.
Qu'importe, il devait toujours se venger. Et ses prochaines cibles sont les deux seuls anciens membres de la Nouvelle Armée de Paris encore en vie : Jenny et Bastou...

*

Luxembourg, Luxembourg

La mère: Vous me rejoignez ?

Fury la regarda, puis se prit la tête entre les mains, se la gratta avant de répondre...

Fury: Arf, désolé de vous avoir laissé espérer que quelque chose était possible entre nous.
La mère: Oh non ne soyez pas désolé, c'est juste que je me sens seule depuis la mort de mon mari et puis vous étiez si attentionné envers mes filles.
Fury: Ne vous méprenez pas, si je n'avais pas des engagements à tenir, je n'aurais pas hésité à passer du temps avec vous. Vous et vos filles avaient réussi à surmonter la mort de votre mari et je vous admire pour cela...
La mère: Dans ce cas, pourquoi ne pas...
Fury: Je ne peux pas par rapport à ma famille... Ma femme... Et mes enfants... Je ne peux pas leur faire subir ça, ils ne le méritent pas... Même de là où ils sont... Ils sont assez soufferts comme cela sur Terre pour me voir les oublier...

La femme posa alors sa main sur celles de Fury et lui dit...

La mère : Je vois, c'est très rare de rencontrer un homme comme vous... Je ne pensais pas que vous étiez comme ça à première vue. A vrai dire, je ne pensais même pas qu'il existait des hommes comme vous... Mais j'ai beaucoup de mal à comprendre comment peut-on rester fidèle même après le décès de ses proches ?
Fury: Oui, c'est difficile à comprendre mais je ne vous dirais rien, désolé...
La mère: Je vois, sur ce, je monte me coucher... Bonne nuit monsieur... Je ne connais même pas votre nom d'ailleurs ?
Fury: Pas besoin de le connaître... Appelez-moi juste Fury.
La mère: Eh bien, Fury, vous pouvez rester chez moi autant de temps que vous le voulez si ça vous chante. Sur ce, bonne nuit.
Fury: Bonne nuit.

*

Un village suisse...

Walter ne parvint même pas à dormir, il quitta sa tente et marcha dehors en s'allumant comme à son habitude une cigarette. Contrairement aux joints, il détestait la clope mais il en fumait à chaque événement qui lui brisait le coeur... Et la dernière fois, c'était lors de la mort de Younes il y a plus de six mois. Walter voulait vraiment quitter ce groupe mais malheureusement, il en était incapable. Raphy avait raison, personne ne peut survivre seul parmi eux sept...

Pendant ce temps, Shane et Emma poursuivaient leurs ébats... Cette dernière était complètement soumise au professeur. Celui-ci la prenait sans complexe alors qu'elle était à quatre pattes tout en lui malaxant sa poitrine. C'était la première fois pour elle qu'un homme la traitait ainsi... Mais malgré cette gène, elle appréciait la salope... Shane dégageait un charisme et une force supérieure à tous les hommes qu'elle a connu auparavant, surtout ce fut la première fois qu'elle était avec un homme qui avait une confiance absolue en lui...
Puis Shane se relâcha et s'assit. Emma se mit à côté de lui tout en lui embrassant le corps...

Shane : Demain, on quittera ce village !

*

Maastricht, Pays-Bas

Alexis enchainait les va et vient, il n'avait pas eu de relation sexuelle depuis presque un an et la mort de sa compagne... Il ne pensait qu'à son plaisir et se moquait bien de Sami, il était mort sinon très loin d'eux, ils ne le reverraient jamais et il méritait cette relation avec la jeune Marion. Il enchaina ses allées et venues tout en embrassant Marion et lui caressant les cheveux, il ne se stoppait pour que doigter son petit vagin brûlant... Celle-ci était également satisfaite de cette relation, néanmoins ses pensées allaient réellement envers Sami. Elle se sentait mal de le tromper bien qu'il soit mort ou disparu et surtout juste après la naissance de leur enfant... Marion eut un énorme sentiment de remords et se mit à pleurer...
Alexis le remarqua et se stoppa... Avant même qu'il ne demande pourquoi, Marion sécha rapidement ses larmes et l'embrassa. Elle devait tout à Alexis et cet homme méritait amplement son amour.

*

Strasbourg, France...

John et Andry restaient sans bouger... Moi, je ne disais plus rien et les propos qu'il m'avait appris même si cela me semblait irréel car j'ai vu Marion morte de mes propres yeux... Je ne pouvais pas l'imaginer et je commençais à entrer dans une colère noire...
Seul mon père continuait de tenir tête à ce type...

Le chef: Alors vous n'osez plus rien faire hahaha !!
Al-Hakam: Tu te vides de ton sang, tu seras mort avant que tes amis reviennent et avant même d'avoir pu dégoupiller cette grenade !
Le chef: Toi tu vas bientôt fermer ta grande gueule, quand mes copains vont venir, tu seras le premier qu'on va éclater. Devant ton cheval, ou nan tu seras le dernier: On s'occupera de ton fils avant toi hahaha !!
Al-Hakam : Ouais ça t'amuse de faire souffrir, si tu avais un fils, tu n'aurais pas agi comme cela. Mais j'imagine que c'est impossible pour toi, tu devais tellement avoir la dalle que tu as bouffé tes propres couilles !
Le chef: Espèce de sale arabe !
Al-Hakam: Ma race te dérange ? Tu es imparfait, un vrai zombie, tu es déjà mort... D'ailleurs, l'ironie c'est que tu vas mourir dans quelques minutes.

Mon père se mit alors à rire... Tandis que le chef motard dégoupilla sa grenade et s'apprêtait à la lancer en direction de mon père. Mais étant hors de moi désormais, je lui tirais dessus avec un revolver ! Puis je lui tirais encore dessus en plein visage et la grenade explosa dans sa main...
Il était mort et je l'avais tué...

J'avais repris mes esprits et je réalisais que j'avais tué un homme pour la première fois...


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