Des vacances torrides
Par : Magikz
Genre : Sayks , Polar
Status : Terminée
Note :
Chapitre 29
Publié le 19/08/13 à 15:04:58 par Magikz
- Allô ?
- Bonjour madame.
- Qui est à l'appareil ?
- Inutile de le savoir. Sachez juste que je tenais à m'excuser pour l'autre soir, sur la plage. Le baiser... Je ne voulais pas... Je vous ai confondu avec quelqu'un d'autre. Je suis vraiment confus. J'espère que vous me pardonnerez et que vous arrêterez vos poursuites...
Silence à l'autre bout du fil. Mon c½ur battait à toute allure et je commençais à transpirer. J'appréhendais la réaction de Valérie. Allait-elle me pardonner ? Renoncer à sa petite enquête ? Pouvait-elle avoir pitié de moi ?
Elle éclata de rire, puis me répondit :
- Ne vous en faites pas, c'est oublié !
- Mais... mais vous étiez vraiment en colère, je m'en souviens encore...
- J'ai dis ça sous le coup de la colère comme vous le dîtes. Je n'ai jamais songer à engager des poursuites pour un malheureux baiser... L'erreur est humaine. Mais j'apprécie vos excuses, vraiment. C'est si rare de nos jours. Passez de bonnes vacances jeune homme, et la prochaine fois, soyez certain d'embrasser la bonne personne !
Elle rigola à nouveau, puis raccrocha.
J'étais stupéfait. La charmante dame que je venais d'avoir au téléphone, c'était la belle-mère de Sandra ? Impossible... Je rappelais la réception pour avoir la confirmation que je m'étais adressé à la bonne personne. Oui, pas d'erreur. Mon c½ur fit un bond dans ma poitrine. Un profond sentiment de joie m'envahit alors. Je ne pus me retenir. Je hurlai à plein poumon :
- WAAAZZAAAAAAA !
Je mis cette musique à fond dans l'appartement : , et je commençais à mimer les bruits de guitare électrique, à sauter, puis à danser autant que je le pouvais. Je savais que j'étais ridicule. Mais je m'en foutais.
J'étais comme un fou ! Qu'est-ce que c'était bon ! Il n'y avait jamais eu de putain d'enquête sur moi !
Il me fallut une dizaine de minutes et trois musiques d'AC/DC pour me calmer. Je me jetai sur le divan, complètement vidé. Ça faisait bien longtemps que je n'avais pas laisser exploser ma joie comme ça. Peut-être depuis que j'avais miraculeusement décroché mon bac avec mention. Valérie était en réalité une personne charmante. Je m'étais complètement trompé sur son compte. Cette bonne nouvelle m'allégeait d'un poids bien encombrant.
L'euphorie de cette révélation retombée, un sentiment de frustration se fit peu à peu sentir. Je m'étais fait avoir comme une bille par Sandra. Une fois de plus. Elle avait monté de toute pièce cette histoire d'enquête pour me mettre la pression. Tout était bidon.
Elle s'était révélée beaucoup plus coriace que prévue. Elle avait monté tout ce char pour que je reste auprès d'elle. Et moi, j'avais bu toutes ses paroles. J'étais vraiment trop crédule...Comment avais-je pu croire à un prélèvement de salive ? Tout ça pour un baiser ? Moi qui était fan des séries policières, et qui lisait énormément de polars, j'avais presque honte d'être aussi dupe. Mais il était inutile de s'attarder sur le passé.
Valérie ne serait plus un problème. Elle ne l'avait d'ailleurs jamais été. Je pouvais maintenant concentrer toute mon attention sur Sandra, et j'allais être sans pitié...
- Bonjour madame.
- Qui est à l'appareil ?
- Inutile de le savoir. Sachez juste que je tenais à m'excuser pour l'autre soir, sur la plage. Le baiser... Je ne voulais pas... Je vous ai confondu avec quelqu'un d'autre. Je suis vraiment confus. J'espère que vous me pardonnerez et que vous arrêterez vos poursuites...
Silence à l'autre bout du fil. Mon c½ur battait à toute allure et je commençais à transpirer. J'appréhendais la réaction de Valérie. Allait-elle me pardonner ? Renoncer à sa petite enquête ? Pouvait-elle avoir pitié de moi ?
Elle éclata de rire, puis me répondit :
- Ne vous en faites pas, c'est oublié !
- Mais... mais vous étiez vraiment en colère, je m'en souviens encore...
- J'ai dis ça sous le coup de la colère comme vous le dîtes. Je n'ai jamais songer à engager des poursuites pour un malheureux baiser... L'erreur est humaine. Mais j'apprécie vos excuses, vraiment. C'est si rare de nos jours. Passez de bonnes vacances jeune homme, et la prochaine fois, soyez certain d'embrasser la bonne personne !
Elle rigola à nouveau, puis raccrocha.
J'étais stupéfait. La charmante dame que je venais d'avoir au téléphone, c'était la belle-mère de Sandra ? Impossible... Je rappelais la réception pour avoir la confirmation que je m'étais adressé à la bonne personne. Oui, pas d'erreur. Mon c½ur fit un bond dans ma poitrine. Un profond sentiment de joie m'envahit alors. Je ne pus me retenir. Je hurlai à plein poumon :
- WAAAZZAAAAAAA !
Je mis cette musique à fond dans l'appartement : , et je commençais à mimer les bruits de guitare électrique, à sauter, puis à danser autant que je le pouvais. Je savais que j'étais ridicule. Mais je m'en foutais.
J'étais comme un fou ! Qu'est-ce que c'était bon ! Il n'y avait jamais eu de putain d'enquête sur moi !
Il me fallut une dizaine de minutes et trois musiques d'AC/DC pour me calmer. Je me jetai sur le divan, complètement vidé. Ça faisait bien longtemps que je n'avais pas laisser exploser ma joie comme ça. Peut-être depuis que j'avais miraculeusement décroché mon bac avec mention. Valérie était en réalité une personne charmante. Je m'étais complètement trompé sur son compte. Cette bonne nouvelle m'allégeait d'un poids bien encombrant.
L'euphorie de cette révélation retombée, un sentiment de frustration se fit peu à peu sentir. Je m'étais fait avoir comme une bille par Sandra. Une fois de plus. Elle avait monté de toute pièce cette histoire d'enquête pour me mettre la pression. Tout était bidon.
Elle s'était révélée beaucoup plus coriace que prévue. Elle avait monté tout ce char pour que je reste auprès d'elle. Et moi, j'avais bu toutes ses paroles. J'étais vraiment trop crédule...Comment avais-je pu croire à un prélèvement de salive ? Tout ça pour un baiser ? Moi qui était fan des séries policières, et qui lisait énormément de polars, j'avais presque honte d'être aussi dupe. Mais il était inutile de s'attarder sur le passé.
Valérie ne serait plus un problème. Elle ne l'avait d'ailleurs jamais été. Je pouvais maintenant concentrer toute mon attention sur Sandra, et j'allais être sans pitié...
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