Des vacances torrides
Par : Magikz
Genre : Sayks , Polar
Status : Terminée
Note :
Chapitre 28
Publié le 19/08/13 à 15:04:05 par Magikz
J'étais furieux envers moi-même. J'avais manqué de vigilance, encore une fois. C'est elle qui menait la danse. Échec au Roi. Mais dans l'autre sens cette fois.
J'étais plus près de perdre la partie que de la gagner. Mon portable vibra dans ma poche et ce que je lus me rendis complètement fou : « Passes une bonne nuit mon lapin... Il va falloir que tu sois en forme demain ! »
Je serrais les poings. Ma mâchoire était crispée. J'enrageais. Je fracassais mon portable contre le sol avec violence. Je n'avais jamais été dans un tel état. Non seulement elle m'avais mené par le bout du nez, mais en plus, elle me traitait maintenant comme un esclave !
Et puis cette histoire d'ADN prélevé... On nageait en plein délire ! Sa belle-mère, puis Sandra... Elles étaient toutes les deux fanatiques « des Experts » ou quoi ?
Je pris une bonne gorgée de Vodka pour me refroidir le cerveau, l'alcool me brûla la gorge. Je m'installai sur le divan. Je devais me calmer et reprendre mes esprits... Quelques minutes furent nécessaires pour que je retrouve mon état normal. A bien y réfléchir, l'histoire de Sandra tenait la route... Mais j'avais du mal à y croire.
Il est vrai que sa belle-mère avait l'apparence d'une femme coincée, mais de là à porter plainte pour un baiser... Je sais pas, quelque chose ne collait pas... Mais peut importe. Sandra avait quand même des échantillons de mon sperme, et là connaissant, elle ne s'était pas gênée pour se servir.
J'étais dans une impasse. Je ne voyais aucun moyen de m'extraire de cette situation. Je ne comptais pas devenir l'esclave de Sandra, mais je ne voulais pas avoir les flics aux fesses non plus. Qui sait ce dont une magistrat de Montréal est capable ? Je préférais ne pas prendre le risque de savoir.
Plus je réfléchissais, moins j'étais confiant. Aucune échappatoire.
Je noyais ma détresse dans la fin de bouteille de Vodka. Je ne dormis pas de la nuit. Incapable de fermer l’œil.
Je me levai sur les coups de six heures du matin. J'avais envie d'une balade sur la plage. L'air était frais. J'aimais sortir le matin. Il y régnait une atmosphère...particulière. Le soleil était en train de se lever. Seuls les cris des mouettes et le bruit des vagues venaient troubler le délicieux silence qui m'était offert.
Marchant sur le sable, je songeais à ce qui m'attendais. Je savais au fond de moi que je ne supporterais pas de devenir le toutou de Sandra. Une idée avait germé dans mon esprit pendant la balade, et s'imposait comme la seule solution capable de me sortir de ce pétrin. Je devais m'entretenir avec la belle-mère et la convaincre d'abandonner les poursuites. C'était une femme tenace, la tâche s'annonçait difficile. Mais je comptais sur mon pouvoir de persuasion pour me sortir de cette mauvaise passe.
Le calme avant la tempête. J'étais assis à ma table, mon portable dans la main. L'écran du smartphone s'était fissuré, signe de ma colère de l'autre soir, mais ce n'est pas ce qui me préoccupait le plus.
Valérie, la belle-mère de Sandra, occupait un autre numéro de chambre que celui de sa fille. J'inspirai un grand coup, puis composais le numéro de la réception de l'hôtel. Je demandais au responsable de me passer la chambre numéro 68. Il me dit de patienter. Une sonnerie retentit alors, accélérant les battements de mon cœur. Je priais de ne pas faire de conneries. C'était la seule et unique solution pour me sortir de ce pétrin.
Première sonnerie.
Deuxième sonnerie.
Troisième sonnerie.
J'étais plus près de perdre la partie que de la gagner. Mon portable vibra dans ma poche et ce que je lus me rendis complètement fou : « Passes une bonne nuit mon lapin... Il va falloir que tu sois en forme demain ! »
Je serrais les poings. Ma mâchoire était crispée. J'enrageais. Je fracassais mon portable contre le sol avec violence. Je n'avais jamais été dans un tel état. Non seulement elle m'avais mené par le bout du nez, mais en plus, elle me traitait maintenant comme un esclave !
Et puis cette histoire d'ADN prélevé... On nageait en plein délire ! Sa belle-mère, puis Sandra... Elles étaient toutes les deux fanatiques « des Experts » ou quoi ?
Je pris une bonne gorgée de Vodka pour me refroidir le cerveau, l'alcool me brûla la gorge. Je m'installai sur le divan. Je devais me calmer et reprendre mes esprits... Quelques minutes furent nécessaires pour que je retrouve mon état normal. A bien y réfléchir, l'histoire de Sandra tenait la route... Mais j'avais du mal à y croire.
Il est vrai que sa belle-mère avait l'apparence d'une femme coincée, mais de là à porter plainte pour un baiser... Je sais pas, quelque chose ne collait pas... Mais peut importe. Sandra avait quand même des échantillons de mon sperme, et là connaissant, elle ne s'était pas gênée pour se servir.
J'étais dans une impasse. Je ne voyais aucun moyen de m'extraire de cette situation. Je ne comptais pas devenir l'esclave de Sandra, mais je ne voulais pas avoir les flics aux fesses non plus. Qui sait ce dont une magistrat de Montréal est capable ? Je préférais ne pas prendre le risque de savoir.
Plus je réfléchissais, moins j'étais confiant. Aucune échappatoire.
Je noyais ma détresse dans la fin de bouteille de Vodka. Je ne dormis pas de la nuit. Incapable de fermer l’œil.
Je me levai sur les coups de six heures du matin. J'avais envie d'une balade sur la plage. L'air était frais. J'aimais sortir le matin. Il y régnait une atmosphère...particulière. Le soleil était en train de se lever. Seuls les cris des mouettes et le bruit des vagues venaient troubler le délicieux silence qui m'était offert.
Marchant sur le sable, je songeais à ce qui m'attendais. Je savais au fond de moi que je ne supporterais pas de devenir le toutou de Sandra. Une idée avait germé dans mon esprit pendant la balade, et s'imposait comme la seule solution capable de me sortir de ce pétrin. Je devais m'entretenir avec la belle-mère et la convaincre d'abandonner les poursuites. C'était une femme tenace, la tâche s'annonçait difficile. Mais je comptais sur mon pouvoir de persuasion pour me sortir de cette mauvaise passe.
Le calme avant la tempête. J'étais assis à ma table, mon portable dans la main. L'écran du smartphone s'était fissuré, signe de ma colère de l'autre soir, mais ce n'est pas ce qui me préoccupait le plus.
Valérie, la belle-mère de Sandra, occupait un autre numéro de chambre que celui de sa fille. J'inspirai un grand coup, puis composais le numéro de la réception de l'hôtel. Je demandais au responsable de me passer la chambre numéro 68. Il me dit de patienter. Une sonnerie retentit alors, accélérant les battements de mon cœur. Je priais de ne pas faire de conneries. C'était la seule et unique solution pour me sortir de ce pétrin.
Première sonnerie.
Deuxième sonnerie.
Troisième sonnerie.
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