Des vacances torrides
Par : Magikz
Genre : Sayks , Polar
Status : Terminée
Note :
Chapitre 24
Publié le 19/08/13 à 15:01:02 par Magikz
Elle n'avait pas résisté à mes sons de cloche, et m'avait invité dans son appartement pour des activités plus... intimes. Je me sentais encore capable de coucher avec elle. Il fallait avouer qu'elle était toujours attirante physiquement. Mais j'avais une autre idée beaucoup plus intéressante derrière la tête.
Je décidais de me M+Z avant d'aller la voir. J'espérais que cela rendrait mon Z un peu moins vigoureux à l'idée de la voir nue et de devoir coucher avec elle. Je ne voulais pas succomber à mes désirs et ainsi oublier ce pourquoi j'allais chez elle. Je devais rester maître de mon esprit.
Je fis exprès d'arriver en retard chez Sandra. J'estimais qu'une demi heure était suffisante pour la rendre folle. Je voulais qu'elle soit bien mûre. Je frappais donc à sa porte à 16h30 précise. Elle ouvrit précipitamment et me fit rentrer dans le loft.
Elle m'embrassa fougueusement et commença à déboutonner ma chemise. Elle était déjà en petite tenue. Je n'en attendais pas moins de sa part. Avant de passer à l'acte, je lui dis que j'avais soif. J'apportais deux verres d'eau. Elle but le sien d'une traite. Je souris...
Sa respiration était rapide. Je voyais qu'elle était excitée. Elle avait succombé à sa pulsion. Une fois de plus. Elle me murmura tout en me retirant ma chemise :
- Tu aurais pu venir à l'heure...
Je rigolai puis l'embrassai. Elle posa ses mains sur mon Z et commença à le stimuler à travers mon short. Cela fonctionna moyennement. Le M+Z portait ses fruits. Malgré ses caresses, je ne ressentait pas d'excitation insurmontable. J'étais toujours moi même, contrairement à la dernière fois où je m'étais transformé en bête sauvage à l'idée de la pénétrer.
Elle me conduisit vers la chambre tout en me caressant l'entrejambe. Nous étions maintenant nus tout les deux, et je sentais qu'elle voulait assouvir sa pulsion. Elle voulait que je là pénètre :
- Vas-y Valentin ! Je suis à toi !
Je la mis sur le dos et commençai à l'embrasser tendrement. Mes mains massaient ses seins avec douceur. Mon Z était dressé. Sandra le regardait avec envie. Je pris mon Z à une main, et je le fis caresser les contours de son V.
Je posai maintenant mon sexe sur son V, et tapotait ses lèvres. Sandra n'en pouvait plus, elle était presque en train de me supplier d'entrer en elle. J'écartai alors brusquement ses jambes, ce qui lui arracha quelques gémissements. Je me couchais sur elle, l'embrassai dans le cou, tandis que je caressais toujours son V avec mon Z, sans la pénétrer.
Je jugeais que c'était le bon moment pour passer à l'action :
- Dis moi... Qu'est-ce que tu aurais fait si je n'étais pas revenu vers toi ?
Elle ne me répondis pas tout de suite. Elle était tellement excitée que sa respiration était saccadée :
- J..J..Je sais pas...
Je tapotais un peu plus fort mon Z contre son V. Elle finit par me répondre, succombant à la tentation et au désir :
- J..J...Je t'aurais....b...balancé....à Valérie....
Je pris mon Z et le rentra dans son V. Elle poussa un long gémissement de plaisir. Je repris mon petit interrogatoire tandis que je commençais les vas et viens :
- Ah ouais... J'ai bien fait de revenir alors... Mais... Tu avais... des preuves ?
Mes pénétrations étaient lentes. Je savais qu'elle n'en pouvait plus tellement son excitation était forte. Moi, je prenais tout mon temps. Elle me cria :
- Vas-y ! Accélères chéri !
- Réponds moi d'abord... Et je t'envoie au septième ciel...
Cette phrase eut sur elle un effet plus que prolifique. Elle me murmura entre ses gémissements :
- Le SMS... que je t'ai....envoyé...le rendez-vous....la preuve....que c'était bien toi....à un jour près....suspect numéro un....
J'accélérai alors mes pénétrations. J'avais eu ce que je voulais. Ses gémissements se furent de plus en plus bruyants. Elle criait mon nom. Je la faisais jouir. Ses jambes se contractèrent autour de mon bassin. Elle essayait de se stimuler le clitoris avec ses doigts pendant que je continuais mes vas et viens. Au bout d'une vingtaine d'allers-retours, je sentis que j'allais éjaculer, me retirai de son V et lâchai mon sperme sur son ventre. Elle gloussa et me lança :
- Wahou c'était trop bon !!! Mais ça m'a bien épuisée toutes ces sensations...
Je la vis sombrer peu à peu dans le sommeil. Ses paupières se refermèrent lentement. Son souffle se fit de plus en plus régulier. Enfin les cachets avaient fait leur effet.
Je décidais de me M+Z avant d'aller la voir. J'espérais que cela rendrait mon Z un peu moins vigoureux à l'idée de la voir nue et de devoir coucher avec elle. Je ne voulais pas succomber à mes désirs et ainsi oublier ce pourquoi j'allais chez elle. Je devais rester maître de mon esprit.
Je fis exprès d'arriver en retard chez Sandra. J'estimais qu'une demi heure était suffisante pour la rendre folle. Je voulais qu'elle soit bien mûre. Je frappais donc à sa porte à 16h30 précise. Elle ouvrit précipitamment et me fit rentrer dans le loft.
Elle m'embrassa fougueusement et commença à déboutonner ma chemise. Elle était déjà en petite tenue. Je n'en attendais pas moins de sa part. Avant de passer à l'acte, je lui dis que j'avais soif. J'apportais deux verres d'eau. Elle but le sien d'une traite. Je souris...
Sa respiration était rapide. Je voyais qu'elle était excitée. Elle avait succombé à sa pulsion. Une fois de plus. Elle me murmura tout en me retirant ma chemise :
- Tu aurais pu venir à l'heure...
Je rigolai puis l'embrassai. Elle posa ses mains sur mon Z et commença à le stimuler à travers mon short. Cela fonctionna moyennement. Le M+Z portait ses fruits. Malgré ses caresses, je ne ressentait pas d'excitation insurmontable. J'étais toujours moi même, contrairement à la dernière fois où je m'étais transformé en bête sauvage à l'idée de la pénétrer.
Elle me conduisit vers la chambre tout en me caressant l'entrejambe. Nous étions maintenant nus tout les deux, et je sentais qu'elle voulait assouvir sa pulsion. Elle voulait que je là pénètre :
- Vas-y Valentin ! Je suis à toi !
Je la mis sur le dos et commençai à l'embrasser tendrement. Mes mains massaient ses seins avec douceur. Mon Z était dressé. Sandra le regardait avec envie. Je pris mon Z à une main, et je le fis caresser les contours de son V.
Je posai maintenant mon sexe sur son V, et tapotait ses lèvres. Sandra n'en pouvait plus, elle était presque en train de me supplier d'entrer en elle. J'écartai alors brusquement ses jambes, ce qui lui arracha quelques gémissements. Je me couchais sur elle, l'embrassai dans le cou, tandis que je caressais toujours son V avec mon Z, sans la pénétrer.
Je jugeais que c'était le bon moment pour passer à l'action :
- Dis moi... Qu'est-ce que tu aurais fait si je n'étais pas revenu vers toi ?
Elle ne me répondis pas tout de suite. Elle était tellement excitée que sa respiration était saccadée :
- J..J..Je sais pas...
Je tapotais un peu plus fort mon Z contre son V. Elle finit par me répondre, succombant à la tentation et au désir :
- J..J...Je t'aurais....b...balancé....à Valérie....
Je pris mon Z et le rentra dans son V. Elle poussa un long gémissement de plaisir. Je repris mon petit interrogatoire tandis que je commençais les vas et viens :
- Ah ouais... J'ai bien fait de revenir alors... Mais... Tu avais... des preuves ?
Mes pénétrations étaient lentes. Je savais qu'elle n'en pouvait plus tellement son excitation était forte. Moi, je prenais tout mon temps. Elle me cria :
- Vas-y ! Accélères chéri !
- Réponds moi d'abord... Et je t'envoie au septième ciel...
Cette phrase eut sur elle un effet plus que prolifique. Elle me murmura entre ses gémissements :
- Le SMS... que je t'ai....envoyé...le rendez-vous....la preuve....que c'était bien toi....à un jour près....suspect numéro un....
J'accélérai alors mes pénétrations. J'avais eu ce que je voulais. Ses gémissements se furent de plus en plus bruyants. Elle criait mon nom. Je la faisais jouir. Ses jambes se contractèrent autour de mon bassin. Elle essayait de se stimuler le clitoris avec ses doigts pendant que je continuais mes vas et viens. Au bout d'une vingtaine d'allers-retours, je sentis que j'allais éjaculer, me retirai de son V et lâchai mon sperme sur son ventre. Elle gloussa et me lança :
- Wahou c'était trop bon !!! Mais ça m'a bien épuisée toutes ces sensations...
Je la vis sombrer peu à peu dans le sommeil. Ses paupières se refermèrent lentement. Son souffle se fit de plus en plus régulier. Enfin les cachets avaient fait leur effet.
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