Des vacances torrides
Par : Magikz
Genre : Sayks , Polar
Status : Terminée
Note :
Chapitre 16
Publié le 19/08/13 à 14:54:04 par Magikz
Cette phrase déclencha en moi une pulsion sexuelle que j'eus immédiatement besoin d'assouvir. Je rentrai mon Z dans son V, et commençai les vas et viens. J'attrapais ses chevilles tout en continuant de la pénétrer. Mes mouvements se firent de plus en plus rapides. Elle et moi gémissions de plus en plus. Mes muscles se raidirent alors. Je me sortis de son V, me masturbais quelques secondes, et lâchais mon sperme sur son ventre et sur ses seins, dans un râlement de plaisir.
Elle me lança un regard amusé :
- Encore plus rapide que la dernière fois dis donc.
Je n'avais pas encore repris mon souffle :
- Pas...ma faute....si tu m'excites....autant...
Elle se releva et m'embrassa.
- Bon, je vais me doucher...
Je lui répondis dans un souffle :
- Vas-y sans moi, je suis mort... Faut que je récupère...
- Ok, à tout de suite !
Elle disparu dans la salle de bain. J'entendis l'eau commencer à couler. Je m'allongeais sur le canapé. L'excitation dissipée, je revins brutalement à la réalité. Je priais pour que la belle-mère de Sandra n'ait aucun moyen de remonter jusqu'à moi. Après tout, elle ne connaissait ni mon visage, ni ma voix. A moins d'un prélèvement ADN de ma salive dans sa bouche, ce qui serait digne des "Expert Miami", elle ne pouvait pas me retrouver.
Un quart d'heure plus tard, Sandra me rejoignit sur le canapé. Elle avait juste remis son maillot de bain. Moi, j'étais torse nu, il faisait extrêmement chaud. Elle me tendit une bière, et me lança :
- Je vais faire mon possible pour surveiller les avancements de l'enquête de ma belle-mère te concernant.
- Merci. Mais de toute façon, elle n'a quasiment aucune chance de me retrouver. Elle ne m'a pas vu, ni entendu. Et puis je l'emmerde. Je l'ai pas agressé.
Sandra me signifia qu'elle me tiendrait quand même au courant. On est jamais trop prudents. Je l'embrassai dans le cou pour la remercier. Elle me souris. J'adorais quand elle me souriait de cette façon. Notre relation évoluait implicitement. J'avais envie de passer plus de temps à ses côtés, mais de peur de l'effrayer et de la perdre, je n'avais pas encore abordé le sujet. J'attendais le moment opportun. J'imaginais qu'elle avait des sentiments envers moi. Mais jusqu'où ?
Tout allait basculer quelques jours après...
Elle me lança un regard amusé :
- Encore plus rapide que la dernière fois dis donc.
Je n'avais pas encore repris mon souffle :
- Pas...ma faute....si tu m'excites....autant...
Elle se releva et m'embrassa.
- Bon, je vais me doucher...
Je lui répondis dans un souffle :
- Vas-y sans moi, je suis mort... Faut que je récupère...
- Ok, à tout de suite !
Elle disparu dans la salle de bain. J'entendis l'eau commencer à couler. Je m'allongeais sur le canapé. L'excitation dissipée, je revins brutalement à la réalité. Je priais pour que la belle-mère de Sandra n'ait aucun moyen de remonter jusqu'à moi. Après tout, elle ne connaissait ni mon visage, ni ma voix. A moins d'un prélèvement ADN de ma salive dans sa bouche, ce qui serait digne des "Expert Miami", elle ne pouvait pas me retrouver.
Un quart d'heure plus tard, Sandra me rejoignit sur le canapé. Elle avait juste remis son maillot de bain. Moi, j'étais torse nu, il faisait extrêmement chaud. Elle me tendit une bière, et me lança :
- Je vais faire mon possible pour surveiller les avancements de l'enquête de ma belle-mère te concernant.
- Merci. Mais de toute façon, elle n'a quasiment aucune chance de me retrouver. Elle ne m'a pas vu, ni entendu. Et puis je l'emmerde. Je l'ai pas agressé.
Sandra me signifia qu'elle me tiendrait quand même au courant. On est jamais trop prudents. Je l'embrassai dans le cou pour la remercier. Elle me souris. J'adorais quand elle me souriait de cette façon. Notre relation évoluait implicitement. J'avais envie de passer plus de temps à ses côtés, mais de peur de l'effrayer et de la perdre, je n'avais pas encore abordé le sujet. J'attendais le moment opportun. J'imaginais qu'elle avait des sentiments envers moi. Mais jusqu'où ?
Tout allait basculer quelques jours après...
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