Des vacances torrides
Par : Magikz
Genre : Sayks , Polar
Status : Terminée
Note :
Chapitre 14
Publié le 19/08/13 à 14:53:04 par Magikz
Arrivé à l'appartement, je me jetai sur mon lit, exténué. Je ne réalisai pas vraiment ce qui venait de se passer. C'est après quelques minutes que je rassemblai mon esprit pour analyser la situation. J'avais embrassé une étrangère par erreur. Rien de grave en apparence. Mais ce qu'elle avait crié lors de ma fuite résonnait toujours dans ma tête...Agression. Porter plainte.
J'étais tombé sur la mauvaise personne visiblement, car elle n'allait pas en rester là. Mon téléphone vibra au fond de ma poche. Ce que je découvris sur l'écran me fit comprendre à quel point j'avais été stupide. J'avais reçu la fin du message de Sandra : « RDV sur la plage, en face de mon hôtel à minuit demain soir. Je te laisse te reposer. Je veux que tu sois en forme et chaud comme la braise. »
A cause de ma connerie et de mon impatience, j'étais maintenant dans une situation plutôt tendue. J'essayais toutefois de me rassurer comme je pouvais : elle n'avais pas vu mon visage, ni entendu ma voix. Je ne risquai rien au fond. Le nombre de plaintes qui ne débouchent sur aucun fait est plus important qu'on ne le croit de nos jours.
Je me couchai et parvins à m'endormir...
Le GIGN enfonça la porte de mon appartement. Plusieurs bombes lacrymogènes furent jetées à mon encontre. Ils me menottèrent en quelques secondes. Mission accomplie. Le dangereux fugitif avait été appréhendé.
Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur. Putain de cauchemar. Mon téléphone vibra, c'était Sandra. J'avais besoin d'entendre sa voix pour me sentir mieux.
- Allô Sandra ?
- Espèce d'abruti. J'ai appris ce qui c'est passé hier soir.
- Merde... Comment t'es au courant ?
- La femme que tu as agressé n'est autre que ma belle mère. Comment tu as pu me confondre avec cette vache ?
- Ben... Il faisait noir... Et puis je l'ai pas agressé ! C'était qu'un petit baiser...
- Mouais. Toujours est-il que tu t'es fourré dans un beau pétrin. Ma belle-mère n'a pas l'intention de lâcher l'affaire. C'est une vraie plaie. Pour info, elle travaille au bureau du procureur de Montréal.
- Putain...Mais qu'est-ce qu'elle foutait sur la plage à une heure pareille ta daronne ?
- J'en sais rien. Mais on s'en fout, c'est pas le plus important. J'ai tout fait pour la dissuader de porter plainte, mais rien n'y a fait.
- Super. Je fais quoi maintenant ?
- Je te l'ai dit, elle ne lâche jamais le morceau. Déjà, on va se voir pour oublier un peu toute cette histoire. Ça fait presque un an qu'on s'est pas vu...
Elle avait décidé de passer à mon appart. Sa présence était la bienvenue, j'avais besoin de réconfort. Elle débarqua quelques minutes plus tard.
J'étais tombé sur la mauvaise personne visiblement, car elle n'allait pas en rester là. Mon téléphone vibra au fond de ma poche. Ce que je découvris sur l'écran me fit comprendre à quel point j'avais été stupide. J'avais reçu la fin du message de Sandra : « RDV sur la plage, en face de mon hôtel à minuit demain soir. Je te laisse te reposer. Je veux que tu sois en forme et chaud comme la braise. »
A cause de ma connerie et de mon impatience, j'étais maintenant dans une situation plutôt tendue. J'essayais toutefois de me rassurer comme je pouvais : elle n'avais pas vu mon visage, ni entendu ma voix. Je ne risquai rien au fond. Le nombre de plaintes qui ne débouchent sur aucun fait est plus important qu'on ne le croit de nos jours.
Je me couchai et parvins à m'endormir...
Le GIGN enfonça la porte de mon appartement. Plusieurs bombes lacrymogènes furent jetées à mon encontre. Ils me menottèrent en quelques secondes. Mission accomplie. Le dangereux fugitif avait été appréhendé.
Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur. Putain de cauchemar. Mon téléphone vibra, c'était Sandra. J'avais besoin d'entendre sa voix pour me sentir mieux.
- Allô Sandra ?
- Espèce d'abruti. J'ai appris ce qui c'est passé hier soir.
- Merde... Comment t'es au courant ?
- La femme que tu as agressé n'est autre que ma belle mère. Comment tu as pu me confondre avec cette vache ?
- Ben... Il faisait noir... Et puis je l'ai pas agressé ! C'était qu'un petit baiser...
- Mouais. Toujours est-il que tu t'es fourré dans un beau pétrin. Ma belle-mère n'a pas l'intention de lâcher l'affaire. C'est une vraie plaie. Pour info, elle travaille au bureau du procureur de Montréal.
- Putain...Mais qu'est-ce qu'elle foutait sur la plage à une heure pareille ta daronne ?
- J'en sais rien. Mais on s'en fout, c'est pas le plus important. J'ai tout fait pour la dissuader de porter plainte, mais rien n'y a fait.
- Super. Je fais quoi maintenant ?
- Je te l'ai dit, elle ne lâche jamais le morceau. Déjà, on va se voir pour oublier un peu toute cette histoire. Ça fait presque un an qu'on s'est pas vu...
Elle avait décidé de passer à mon appart. Sa présence était la bienvenue, j'avais besoin de réconfort. Elle débarqua quelques minutes plus tard.
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