La lame Bouddhiste
Par : Aknow
Genre : Action , Science-Fiction
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 8
chapitre 18-19-20
Publié le 08/05/12 à 21:07:24 par Aknow
Le jour se lève. J’espérais que tout ça ne soit qu’un rêve. Un mauvais cauchemar dû à mon incroyable imagination. Toujours allonger je regarde le plafond tout en ne le regardant pas. Si Ezio va tuer Cesare et les Borgia. Pourquoi mon père s’est il sacrifier ? Juste pour que la Volpe et Machiavelli ai la confiance des Templiers ? C’est trop gros pour être vrai. Il y a surement une raison autre que celle que l’on m’a donnée. Une raison qui expliquerait pourquoi je suis devenu un assassin après ça. Tout c’est enchainé trop vite. Père. Ma sœur. Esla. Athènes. Un et Deux. Kotka. La Volpe maintenant. Il y a quelque chose qui m’échappe. Je tourne ma tête et m’aperçois que Kotka est à quelque centimètre de moi. Elle est si belle quand elle dort, mais si elle s’aperçoit que je la …
« Arrête de me regarder, dit elle toujours les yeux fermé.
-Mais que vas-tu chercher là, je ne perds pas mon temps avec ça.
-Ca ? Je ne suis que « ça » ?
-Roooh ça va !
-Si j’ai bien compris !! Je ne suis qu’un objet ?! C’est ça ?
-Sinon … Bonjour !
-Ouais ! Parle moi plus.
-Qu’est ce que ça doit être quand tu te réveille du pied gauche…
-C’est quoi que tu as là ? Lui dis-je en lui montrant sa jambe gauche.
-C’est une dague. On n’est jamais trop armé. Tu devrais en prendre une.
-Une lame … Mais bien sûr !!! T’es géniale !! »
Je me lève, et me dirige vers La Volpe. Je savais ce qui me chiffonnait. Ca m’est revenu d’un coup, grâce à la dague de Kotka.
« La Volpe. C’est quoi : La lame Bouddhiste ?
-Ah. Nous y voilà. La lame Bouddhiste est une légende. Il y a trois cents ans. Altaïr Ibn La-Ahad à vaincu son Maitre, Al Mualim et récupéra ce qu’on appelle maintenant la Pomme d’Eden. Ce qu’Ezio a aujourd’hui. Il à vécu longtemps et à émis une prophétie. La pomme lui a envoyé un message qu’il à écrit noir sur blanc dans un livre, et que nos ancêtres nous on fait partager.Cette écrit à été envoyer au mont Doi Inthanon en Thaïlande, en sûreté, protéger par des moins shaolin. Cette prophétie dit : « Celui qui aura connu toute les souffrances du monde, celui qui pardonnera à son prochain, à ses ennemis, celui qui, par promesse, aura juré fidélité à la paix et à l’amour, pourra un jour s’emparer de la lame et expier les démons qui veulent gouverner le monde par la colère, la tristesse, la peur, et le chaos. » Nul n’a jamais su, qui en aurait la capacité. Mais cet homme, ou femme, continua la Volpe en regardant Kotka, devra connaître toutes les souffrances du monde et cela inclut la perte d’un être cher. Cela inclut aussi, de côtoyer la mort et s’en être échapper.
Je n’aimerai pas être cette personne. J’ai déjà perdu énormément de personnes qui étaient tout pour moi. Les conséquences en sont dramatiques. Vengeance, colère, meurtre. Le vide ne se remplit pas.
-Et vous pensez que c’est moi ? Je répondis
-On ne sait pas. Je l’espère sincèrement, mais tout ce qui t’es arrivé, n’est pas dû au hasard. Il y a une raison. Ton père est mort. Cela en fait peut être parti.
-Mon père s’est suicidé. Je ne pense pas que cela soit pris en compte.
-Nul ne le sait. Mais il faut qu’on retrouve le sanctuaire. Et que le prophète prenne la lame.
-Il va falloir qu’on s’entraîne assidument alors, lança Kotka. Je suppose que le fait de grimper là haut ne sera pas le seul danger. Je suppose que les moines nous empêcheront de s’approcher.
-Oui. Mais j’y suis déjà allez. Je pense pouvoir éviter toute confrontation. Je l’espère.
- En route, dit Un. Il ne faut pas faire plus attendre Esla et son équipage.
Nous partons enfin de la cachette. La fête n’est pas terminée, elle dure trois jours et trois nuits. Une aubaine pour nous, puisque la pluparts des gardes sont là.
« Je dois rester à Rome, me dit La Volpe. Antonio aussi. Nous ne devons pas nous faire repérer avec vous. Cela compromettrai ce que pour quoi ton père est mort. Je vous souhaite bonne chance à tous et faites bonne… »
Une flèche me frôla la tête. La Volpe cria « COURREZ !! » Ce qu’on fit immédiatement. UN, DEUX, La Volpe et Antonio se ruèrent sur les archers. Je veux combattre, je fais demi-tour mais Kotka m’attrape et me dit : « Ils ont dit de courir, Tu es trop important pour être sacrifier au combat ». Elle a raison … sûrement. J’entendis encore de nombreuses flèches décochées de leur arbalète, et l’une d’elle me touche le lobe de l’oreille. Qu’est ce que ça fait mal. Je saigne trop, je me mis à couvert et pris un morceau de tissu que j’avais mis dans mes bagages et, tant bien que mal, je fais un pansement. Nous courrons à la recherche d’un endroit pour sauter et en regardant en bas je vis un enclos de type médiéval qui sert à faire des joutes. Et là plusieurs tas de foin. Je fis signe à Kotka de sauter, avec l’élan ça devrai le faire. On sauta tout les deux en même temps. Elle, les bras en saut de l’ange et moi les bas gigotant dans tout les sens. L’atterrissage n’est pas sans problèmes, bien que le foin fût dur quand même. Nous passons devant une troupe de gardes et nous prenons la ruelle sur la gauche. « ATTRAPPEZ LES !! » Mince, ils nous ont repérer !! Kotka se mit derrière moi, et lança une bombe fumigène dans l’allé. La ruelle est étroite, la fumée prend tout l’espace. En courant je décide de renverser des chaises, tonneaux un peu partout à mesure que la fumée approchait. De nombreux cris de douleur, d’injures sont émis juste après cette action. Je suis plutôt fière. Kotka me dit : « Là une échelle monte !! ». Une fois en haut, la vison de Rome et de notre orientation n’en fut que meilleur, on est dans la bonne direction. Mais les toits n’est pas l’endroit le mieux pour s’échapper, ce que je confirmai aussitôt que je vis des archers sortir un peu partout. On est à découvert. On court le plus vite possible. Ne réfléchissant plus je m’arrête pour prend un très long bout de bois, au moins 5 mètres, sûrement pour fabriquer une échelle, Bref. Il est lourd mais ça va. Kotka me regarde avec des yeux étonnés tout en continuant sa course et elle compris pourquoi. Le toit s’arrête nettement dans quelque mètre. Une ruelle d’environ cinq ou six mètre puis un nouveau un toit. « Accroche-toi à moi !! Lui dis-je. C’était trop fou. Je décide de lancer la perche dans la ruelle, je pris Kotka dans mes bras, style « on est marié» et je saute dans le vide. La perche heurte le bas et commence à se mettre droite comme un i. Mes deux pieds atterrissent sur le bout de la perche. La perche continue sa lancer, et une fois à hauteur, je resaute avec Kotka. Trop court. Je la jette. Elle s’accroche au toit. Je m’accroche à sa jambe. Je heurte de plein fouet le mur, je titube mais tien bon. On remonte tant bien que mal. Et on continue la course. Je dis : « Ne me demande pas de le refaire s’il te plaît !! » Elle rigole. Nous arrivons enfin à la fin de la ville, nous courrons encore et encore. Arrivé à la lisière de la forêt je m’arrête.
« Stop !! On se reprend !! Je n’en…peux Pluuuus !!
-Moi… aussi.. répondit elle, haletante.
- On attend les autres maintenant. »
Une heure plus tard.
« Je crois que quelqu’un arrive, dit Kotka. Cachons nous.
-C’est Deux.
- Vous êtes là… Je vous cherchais partout.
Il était épuisé, blessé au bras, au visage, ces vêtements déchirer par une épée.
-Ou est Un ?
-Mort.
-Coo..Comment ?
-On nous a tendu un piège. Dit il
« Comment ça un piège ? Je dis, étonné. C’est La Volpe c’est ça ?
-Je ne sais pas, mais toujours est-il que les archers qui nous tiraient dessus, n’étaient que des premières lignes à sacrifier. Nous avons combattu tous vaillamment, et La Volpe m’a sauvé une fois. Ensuite, d’autre archer sont sortis de partout.
-On les a vu ouais, répondit Kotka. Ils nous on tirés dessus.
-Des Brutes sont monté sur les toits et malgré tout nos effort nous avons du battre en retraite, et c’est là qu’un garde un peu spécial est sorti et à sauter dans le vide sur Un et la transpercer avec sa lance. Un garde avec un casque facial du genre, renégat ou mercenaire. Ses derniers mots on été pour moi. Je devais fuir.
-ME**** !! Je cris. Je veux trouver le gars qui nous a balancé !!
-Trop tard ! M’interromps Deux. Il faut partir ! Maintenant que je suis seul. Je ne m’appellerai plus deux. Sachez qu’a partir d’aujourd’hui mon nom est...
-Un ? Demanda Kotka.
-Non… soupira Deux, mon vrai prénom. Kyo. Ne m’appelez que par ce nom s’il vous plaît.
-Kyo ?!! Dis-je en chœur avec Kotka.
-Oui. N’attendons plus, allons jusqu’au bateau. Il faut partir pour Masyaf.
Nous reprenons la route. Triste et désemparé je ne pu me résoudre à ce que Un soit mort. Il était si fort. Comment cela a-t-il pu arriver. Nous traversons la forêt à grand pas, guettant moindre bruits et ombres suspectes. Les rayons du soleil nous tapaient dessus tel un marteau qu’on abattrait sur nous. Intenable, nous faisons une pause. Courte mais reposante.
1 heure plus tard.
Nous sortons enfin de la forêt. Le bateau n’est plus qu’a 30 minutes de marche rapide. Un décor majestueux nous attendait. Un bel étendu de verdure. Un vent frais venait essuyer nos sueurs. Nous n’avons pas échangé un mot depuis qu’on est parti dans la forêt. Le silence est pesant, et je ne pu le rompre. Je ne trouve pas les mots pour dire combien je suis triste qu’un compagnon d’arme, qu’un ami soit tombé, pour nous.
Nous arrivons enfin au bateau. Une bataille avait eu lieu, mais aucune perte à déclarer dans l’équipage. Esla nous raconta que plusieurs mercenaires étaient venus abuser de sa beauté et de son bateau. Les morts parlent d’eux-mêmes. Ils ont essuyé une cuisante défaites et seul un homme est repartie en vie.
« Que vous est il arrivé, dit elle. Ou sont les autres.
-La Volpe est resté. Répondit Kyo. Ce n’est pas un traitre. Je t’expliquerai tout les détails à l’intérieur.
-Bien. Montez à bords, nous allons partir. François !!
-Oui ?
-Demandez au capitaine de bien vouloir prendre la barre. Nous partons.
-Je lui transmets. »
Et c’est ainsi que nous entamons à nouveau la route vers Masyaf. J’espère que rien ne viendra à nouveau perturber notre périple. La nuit tombe et je ne tarde pas à me coucher. Kotka fit de même et me demanda si elle pouvait me parler.
-Je n’ai encore jamais pris de bateau. Dit-elle, angoissée. C’est fiable ?
-Tu me fais rire, je lui répondis. A moins qu’on nous attaque je ne vois pas pourquoi on sombrerait.
-Je ne suis pas rassuré.
-Ne t’inquiète pas. Au pire on nagera.
Elle fit une grimace.
-Je ne le crois pas !! Tu ne sais pas nager ?
- Vas-y moque toi !! Cria-t-elle. Je n’ai jamais eu le temps d’apprendre.
-Je serais là, si jamais un jour tu dois apprendre.
-Ouais. Rattrape-toi. Bon maintenant dors.
« Arrête de me regarder, dit elle toujours les yeux fermé.
-Mais que vas-tu chercher là, je ne perds pas mon temps avec ça.
-Ca ? Je ne suis que « ça » ?
-Roooh ça va !
-Si j’ai bien compris !! Je ne suis qu’un objet ?! C’est ça ?
-Sinon … Bonjour !
-Ouais ! Parle moi plus.
-Qu’est ce que ça doit être quand tu te réveille du pied gauche…
-C’est quoi que tu as là ? Lui dis-je en lui montrant sa jambe gauche.
-C’est une dague. On n’est jamais trop armé. Tu devrais en prendre une.
-Une lame … Mais bien sûr !!! T’es géniale !! »
Je me lève, et me dirige vers La Volpe. Je savais ce qui me chiffonnait. Ca m’est revenu d’un coup, grâce à la dague de Kotka.
« La Volpe. C’est quoi : La lame Bouddhiste ?
-Ah. Nous y voilà. La lame Bouddhiste est une légende. Il y a trois cents ans. Altaïr Ibn La-Ahad à vaincu son Maitre, Al Mualim et récupéra ce qu’on appelle maintenant la Pomme d’Eden. Ce qu’Ezio a aujourd’hui. Il à vécu longtemps et à émis une prophétie. La pomme lui a envoyé un message qu’il à écrit noir sur blanc dans un livre, et que nos ancêtres nous on fait partager.Cette écrit à été envoyer au mont Doi Inthanon en Thaïlande, en sûreté, protéger par des moins shaolin. Cette prophétie dit : « Celui qui aura connu toute les souffrances du monde, celui qui pardonnera à son prochain, à ses ennemis, celui qui, par promesse, aura juré fidélité à la paix et à l’amour, pourra un jour s’emparer de la lame et expier les démons qui veulent gouverner le monde par la colère, la tristesse, la peur, et le chaos. » Nul n’a jamais su, qui en aurait la capacité. Mais cet homme, ou femme, continua la Volpe en regardant Kotka, devra connaître toutes les souffrances du monde et cela inclut la perte d’un être cher. Cela inclut aussi, de côtoyer la mort et s’en être échapper.
Je n’aimerai pas être cette personne. J’ai déjà perdu énormément de personnes qui étaient tout pour moi. Les conséquences en sont dramatiques. Vengeance, colère, meurtre. Le vide ne se remplit pas.
-Et vous pensez que c’est moi ? Je répondis
-On ne sait pas. Je l’espère sincèrement, mais tout ce qui t’es arrivé, n’est pas dû au hasard. Il y a une raison. Ton père est mort. Cela en fait peut être parti.
-Mon père s’est suicidé. Je ne pense pas que cela soit pris en compte.
-Nul ne le sait. Mais il faut qu’on retrouve le sanctuaire. Et que le prophète prenne la lame.
-Il va falloir qu’on s’entraîne assidument alors, lança Kotka. Je suppose que le fait de grimper là haut ne sera pas le seul danger. Je suppose que les moines nous empêcheront de s’approcher.
-Oui. Mais j’y suis déjà allez. Je pense pouvoir éviter toute confrontation. Je l’espère.
- En route, dit Un. Il ne faut pas faire plus attendre Esla et son équipage.
Nous partons enfin de la cachette. La fête n’est pas terminée, elle dure trois jours et trois nuits. Une aubaine pour nous, puisque la pluparts des gardes sont là.
« Je dois rester à Rome, me dit La Volpe. Antonio aussi. Nous ne devons pas nous faire repérer avec vous. Cela compromettrai ce que pour quoi ton père est mort. Je vous souhaite bonne chance à tous et faites bonne… »
Une flèche me frôla la tête. La Volpe cria « COURREZ !! » Ce qu’on fit immédiatement. UN, DEUX, La Volpe et Antonio se ruèrent sur les archers. Je veux combattre, je fais demi-tour mais Kotka m’attrape et me dit : « Ils ont dit de courir, Tu es trop important pour être sacrifier au combat ». Elle a raison … sûrement. J’entendis encore de nombreuses flèches décochées de leur arbalète, et l’une d’elle me touche le lobe de l’oreille. Qu’est ce que ça fait mal. Je saigne trop, je me mis à couvert et pris un morceau de tissu que j’avais mis dans mes bagages et, tant bien que mal, je fais un pansement. Nous courrons à la recherche d’un endroit pour sauter et en regardant en bas je vis un enclos de type médiéval qui sert à faire des joutes. Et là plusieurs tas de foin. Je fis signe à Kotka de sauter, avec l’élan ça devrai le faire. On sauta tout les deux en même temps. Elle, les bras en saut de l’ange et moi les bas gigotant dans tout les sens. L’atterrissage n’est pas sans problèmes, bien que le foin fût dur quand même. Nous passons devant une troupe de gardes et nous prenons la ruelle sur la gauche. « ATTRAPPEZ LES !! » Mince, ils nous ont repérer !! Kotka se mit derrière moi, et lança une bombe fumigène dans l’allé. La ruelle est étroite, la fumée prend tout l’espace. En courant je décide de renverser des chaises, tonneaux un peu partout à mesure que la fumée approchait. De nombreux cris de douleur, d’injures sont émis juste après cette action. Je suis plutôt fière. Kotka me dit : « Là une échelle monte !! ». Une fois en haut, la vison de Rome et de notre orientation n’en fut que meilleur, on est dans la bonne direction. Mais les toits n’est pas l’endroit le mieux pour s’échapper, ce que je confirmai aussitôt que je vis des archers sortir un peu partout. On est à découvert. On court le plus vite possible. Ne réfléchissant plus je m’arrête pour prend un très long bout de bois, au moins 5 mètres, sûrement pour fabriquer une échelle, Bref. Il est lourd mais ça va. Kotka me regarde avec des yeux étonnés tout en continuant sa course et elle compris pourquoi. Le toit s’arrête nettement dans quelque mètre. Une ruelle d’environ cinq ou six mètre puis un nouveau un toit. « Accroche-toi à moi !! Lui dis-je. C’était trop fou. Je décide de lancer la perche dans la ruelle, je pris Kotka dans mes bras, style « on est marié» et je saute dans le vide. La perche heurte le bas et commence à se mettre droite comme un i. Mes deux pieds atterrissent sur le bout de la perche. La perche continue sa lancer, et une fois à hauteur, je resaute avec Kotka. Trop court. Je la jette. Elle s’accroche au toit. Je m’accroche à sa jambe. Je heurte de plein fouet le mur, je titube mais tien bon. On remonte tant bien que mal. Et on continue la course. Je dis : « Ne me demande pas de le refaire s’il te plaît !! » Elle rigole. Nous arrivons enfin à la fin de la ville, nous courrons encore et encore. Arrivé à la lisière de la forêt je m’arrête.
« Stop !! On se reprend !! Je n’en…peux Pluuuus !!
-Moi… aussi.. répondit elle, haletante.
- On attend les autres maintenant. »
Une heure plus tard.
« Je crois que quelqu’un arrive, dit Kotka. Cachons nous.
-C’est Deux.
- Vous êtes là… Je vous cherchais partout.
Il était épuisé, blessé au bras, au visage, ces vêtements déchirer par une épée.
-Ou est Un ?
-Mort.
-Coo..Comment ?
-On nous a tendu un piège. Dit il
« Comment ça un piège ? Je dis, étonné. C’est La Volpe c’est ça ?
-Je ne sais pas, mais toujours est-il que les archers qui nous tiraient dessus, n’étaient que des premières lignes à sacrifier. Nous avons combattu tous vaillamment, et La Volpe m’a sauvé une fois. Ensuite, d’autre archer sont sortis de partout.
-On les a vu ouais, répondit Kotka. Ils nous on tirés dessus.
-Des Brutes sont monté sur les toits et malgré tout nos effort nous avons du battre en retraite, et c’est là qu’un garde un peu spécial est sorti et à sauter dans le vide sur Un et la transpercer avec sa lance. Un garde avec un casque facial du genre, renégat ou mercenaire. Ses derniers mots on été pour moi. Je devais fuir.
-ME**** !! Je cris. Je veux trouver le gars qui nous a balancé !!
-Trop tard ! M’interromps Deux. Il faut partir ! Maintenant que je suis seul. Je ne m’appellerai plus deux. Sachez qu’a partir d’aujourd’hui mon nom est...
-Un ? Demanda Kotka.
-Non… soupira Deux, mon vrai prénom. Kyo. Ne m’appelez que par ce nom s’il vous plaît.
-Kyo ?!! Dis-je en chœur avec Kotka.
-Oui. N’attendons plus, allons jusqu’au bateau. Il faut partir pour Masyaf.
Nous reprenons la route. Triste et désemparé je ne pu me résoudre à ce que Un soit mort. Il était si fort. Comment cela a-t-il pu arriver. Nous traversons la forêt à grand pas, guettant moindre bruits et ombres suspectes. Les rayons du soleil nous tapaient dessus tel un marteau qu’on abattrait sur nous. Intenable, nous faisons une pause. Courte mais reposante.
1 heure plus tard.
Nous sortons enfin de la forêt. Le bateau n’est plus qu’a 30 minutes de marche rapide. Un décor majestueux nous attendait. Un bel étendu de verdure. Un vent frais venait essuyer nos sueurs. Nous n’avons pas échangé un mot depuis qu’on est parti dans la forêt. Le silence est pesant, et je ne pu le rompre. Je ne trouve pas les mots pour dire combien je suis triste qu’un compagnon d’arme, qu’un ami soit tombé, pour nous.
Nous arrivons enfin au bateau. Une bataille avait eu lieu, mais aucune perte à déclarer dans l’équipage. Esla nous raconta que plusieurs mercenaires étaient venus abuser de sa beauté et de son bateau. Les morts parlent d’eux-mêmes. Ils ont essuyé une cuisante défaites et seul un homme est repartie en vie.
« Que vous est il arrivé, dit elle. Ou sont les autres.
-La Volpe est resté. Répondit Kyo. Ce n’est pas un traitre. Je t’expliquerai tout les détails à l’intérieur.
-Bien. Montez à bords, nous allons partir. François !!
-Oui ?
-Demandez au capitaine de bien vouloir prendre la barre. Nous partons.
-Je lui transmets. »
Et c’est ainsi que nous entamons à nouveau la route vers Masyaf. J’espère que rien ne viendra à nouveau perturber notre périple. La nuit tombe et je ne tarde pas à me coucher. Kotka fit de même et me demanda si elle pouvait me parler.
-Je n’ai encore jamais pris de bateau. Dit-elle, angoissée. C’est fiable ?
-Tu me fais rire, je lui répondis. A moins qu’on nous attaque je ne vois pas pourquoi on sombrerait.
-Je ne suis pas rassuré.
-Ne t’inquiète pas. Au pire on nagera.
Elle fit une grimace.
-Je ne le crois pas !! Tu ne sais pas nager ?
- Vas-y moque toi !! Cria-t-elle. Je n’ai jamais eu le temps d’apprendre.
-Je serais là, si jamais un jour tu dois apprendre.
-Ouais. Rattrape-toi. Bon maintenant dors.
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