<h1>Noelfic</h1>

La lame Bouddhiste


Par : Aknow

Genre : Action , Science-Fiction

Status : C'est compliqué

Note :


Chapitre 11

chapitre 24-25-26

Publié le 24/05/12 à 20:58:49 par Aknow

Le lendemain. 18h30.

Nous partons de notre cachette. On se sépare pour ne pas éveiller les soupçons. Et ainsi nous nous retrouvons en bas de la tour à 18h45 environ. Moi et Kotka nous commençons l’ascension tandis que les 3 autres veillent à ce que personne ne nous voient. Nous grimpons tant bien que mal et nous arrivons enfin au sommet. Je laisse tomber une pierre. Cette pierre atterrit juste à côté de Kyo. C’est un signal. Ils grimpent à leur tour. Kotka fit signe aux assassins de s’arrêter. Deux gardes arrivent par le toit pour inspecter. Je décide de lancer une flèche normale sur l’un des deux gardes. Le deuxième prit un couteau en provenance de Yusuf. Ils continuent. Une fois en haut nous attendu le moment propice. Le vent se lève. Trop fort me dis-je. Il y a trop de vent. C’est alors que Yusuf Kyo et Migliore tirent les flèches cordées. Puis les fixent à la tour. Migliore Kyo et Yusuf sont monté avec un sac chacun de 5kilos de pierre. Ils sont forts quand même. Bref :
« Comment ça marche ta lame ? Je demande.
-Comme ça !! Dit Yusuf en s’élançant sur la corde, et il sort sa lame au dernier moment et hop la corde l’emmène jusqu’au bâtiment.
-Bon… Quand faut y allez. » Dit Kotka en regardant le vide.
On se lance tous. On s’accroche et nous voilà au dessus de la ville. On jurait qu’on vole. C’est super comme invention. C’est comme si on se faisait tirer par un lien. On va appeler ça un…un… une Tyrolienne. Ouaaais ça en jette. Nous arrivons un peu vite sur le mur. Kotka et Kyo se réceptionnent parfaitement, mais moi j’arrive beaucoup trop vite. Le mur s’approche. Je prends ma cape avec l’autre main, une sorte de frein avec ma cape. Je me surprends moi-même à l’avoir utiliser. Bref nous voilà contre le mur, toujours accrocher avec la lame crochet. Des gardes passent au dessus de nous mais ils repartent vu qu’ils prennent trop de vent. Nous grimpons au sommet le plus discrètement possible. Yusuf avait installés dans les flèches, une sorte de mécanisme qui, après l’impact de la flèche, sort des lames pour faire comme un grappin dans le mur. Malheureusement c’est manuelle et il du donc les actionner un à un lui-même. Il grimpe et nous rejoint en haut. Le plus facile est fait. Nous infiltrons les lieux. Il y a beaucoup de lumière. Si nous les éteignons cela va attirer l’attention. Nous prenons tous un miroir pour regarder dans les angles. Nous avançons doucement mais sûrement le dernier étage. Plusieurs gardes arrivent vers nous. On fait la courte échelle à Kyo et Kotka pour qu’il se hisse le plus haut possible. Les couloirs font au moins 3 mètre de larges pour 6 mètres de haut. Ca c’est du couloir ! Kotka et Kyo se stabilisent sur un lustre et attendant la venue des 6 gardes. Yusuf balancent une nouvelle bombe. C’est un gaz qui piquent les yeux me chuchote t’il. Kyo et Kotka mettent des lunettes pour se protéger du gaz. Ils sautent sur les gardes et les tuent un à un. Et les poses délicatement au sol. Une fois annihilé, nous les transportons à l’abri des regardes. Nous continuons notre infiltration. Nous arrivons à une porte au bout du couloir. Kyo jette un œil par-dessus et pu voir un garde. Combien de gardes sont dans cette salle ? On grimpe tous au dessus de la porte. Seul Kyo reste derrière la porte et toqua à la porte. Le garde ouvre la porte. Kyo la referme ensuite doucement et l’attrape et lui met un couteau sous la gorge.
« Si tu coopère tu aura la vie sauve. Combien de garde y a-t-il dans la pièce à côté, la réunion se déroule à quel étage ?
-Pitié !! Dit le garde, Il y à 5 gardes à côté en plus de moi. La réunion se déroule deux étages étages plus bas.
-Mince, je dis. C’est deux étages au dessus de nos flèches.
-Il faudra qu’on descende. Il n’y a aucune ouverture à cet étage, ni à celle du dessous. »
Kyo assome le garde et on le transporte au même endroit que les autres. Kyo entre-ouvre la porte et jette un œil. La salle est grande et les gardes font une ronde dans plusieurs couloirs se dit il. On entre tous, le plus silencieusement possible. Un garde approche, on est tous caché. Il passe à côté de Yusuf qui l’assomme par la suite. L’escalier est juste là, derrière cette porte. C’est une cage d’escalier. On peut descendre rapidement plusieurs étages. Nous descendons et nous arrivons enfin devant la salle de réunion. D’après le miroir de Kyo, il y a d’abords un mur, et on accède soit par la droite soit par la gauche la grande partie de la salle. Deux gardes se dressent juste derrière la porte. J’ouvre légèrement la porte. Ce qui fait sortir l’un des deux gardes que nous attrapons une fois hors de vision de l’autre. Le deuxième garde trouve suspect que son partenaire ne revient pas et part à son tour. On l’assomme à son tour et nous voilà enfin dans la salle. Kotka referme les portes. Il est 20h, la réunion commence. Il y a Leandros, et trois hommes. Le premier s’appel Adamar, un marchand d’arme. Ensuite il y a Namikaze, une ninja japonaise, célèbre pour ses assassinats. Et le dernier, nous ne connaissons pas son nom. Il a l’air d’être de Constantinople d’après l’écusson qu’il a sur le dos. Kyo fait signe de balancer les fumigènes et c’est ce que nous faisons. C’est parti. On se lance dans la fumée, foulard au visage. Kyo assassine Adamar avec sa lame secrète. Namikaze, en ayant vu les fumées, s’était protéger le visage et amorça une descente de sa lame sur Kyo mais Yusuf s’interpose et pare la lame. Kotka la transperce. Leandros et l’inconnu s’échappe.
« TAKA !! Crie Kyo. ATTRAPE LEANDROS !! Kotka tu prends l’autre !! »
Je cours après Leandros et l’inconnu Kotka me suit de prêt. Ils prennent un escalier et descende à l’étage inférieur. Je le savais qu’ils allaient fuir et je n’ai rien fait. Nous continuons. Leandros et l’inconnu se séparent. Je le rattrape enfin. Mais il a plus d’un tour dans sa manche et me lance plusieurs couteaux que j’esquive en me mettant à couvert. Il descend encore. C’est l’étage où il y a nos flèches. Mince, ça vas exploser. Nous sommes dans le couloir de l’aile ouest. Je le rattrape enfin, je le touche du doigt…BOUUUUM !!! Le souffle de l’explosion du mur nous projette tout les deux à travers le mur en face. L’explosion a complètement ouvert le mur. Migliore l’avait prévu. Mais ils avaient quand même prévu des sacs de pierre au cas où le mur n’aurait pas cédé.

Je me relève. On est dans la salle de bain. Il y a plein de personnes dans cette salle qui partent en courant a la vue de la situation.
Nous sommes trempés et meurtris par l’explosion. Le vent violent s’engouffre dans la salle.
« Allez, dit Leandros. Qu’on en finisse toi et moi !! »
Il s’élance sur moi avec son épée.

Migliore se rend compte que le plan ne s’est pas déroulé comme prévu et se dirige vers le trou béant qu’il venait de faire dans l’aile ouest L’explosion à détruit le mur sur plusieurs étages et le bâtiment commence à s’écrouler.

Leandros est un grand guerrier, ses coups de lame sont précis et rapide. Je les pare, mais cela me prend toute mon énergie. Au fur et à mesure qu’il frappe je recule. Il est puissant, il va me falloir une alternative pour reprendre le dessus. Il Saute et abat sa lame sur moi mais j’esquive, je sors ma dague et lui entaille le bras. Je me remets en position au milieu de salle. Cette fois, c’est moi qui attaque, je suis plus rapide que lui, j’attends le moment propice à son assassinat. Il esquive, esquive, là c’est le moment, je lance ma dague vers sa tête.
Comment ?! Il esquive. Il m’attrape le bras et me lève au dessus de lui. Il me lance Sur le mur, que je traverse. Je me réceptionne à temps. Je suis au bord du trou. Le vent me renvoi du bon côté. Leandros me charge, et donne plusieurs coups d’épée que je pare facilement. Je me baisse et lui fou un coup de pied dans son genou.
Il tombe sous la douleur. Je sors ma lame secrète. Au moment où je vais lui transpercer la tête, il agrippe mon bras pour m’empêcher de le tuer. Il est incroyablement fort. Il détourne la lame. Mais je lui plante dans l’épaule. C’est alors qu’il se tourne, moi avec, m’attrape, se relève et me met dans le trou. La seule façon de ne pas tomber maintenant, c’est de m’agripper à son bras.

« Tu es fort, me dit il. Mais pas assez. Tu ne me tueras pas. Car C’est moi qui vais te balancer. Regarde bien. Tu vois ? Il doit bien y avoir au moins dix mètres. Tu penses pouvoir t’en sortir ?

-Je l’espère bien !!

-Hahaha… Hmmm qu’est ce que ? »

Je tourne la tête, et je peux apercevoir Migliore qui arrive à grand pas, volant de toit en toit. Mais Leandros n’attend pas, Il me frappe au visage. Etourdi je tombe. Ca…Ca fait mal. Migliore lance deux-trois couteaux sur Leandros qu’il s’empresse d’esquiver en se mettant à couvert. Migliore saute dans le vide. Au bout de quelques mètres de descente il m’attrape le bras et lance son grappin qui s’agrippe au toit sur lequel il venait de se lancer. Il y a encore plusieurs mètres avant de toucher le sol. Leandros lance un couteau sur la corde du grappin. C’est foutu, je suis encore sonné et Migliore ne pourra pas nous réceptionné. Plan B, Migliore sort son parachute. Cela ralenti notre chute mais pas assez. On atterrit brutalement par terre.
« Ressaisit toi Taka. Ce n’est pas fini. Il faut partir le bâtiment s’écroule !!
-Où sont les autres ?
-On est là !!
Yusuf et Kyo arrivent en courant sur nous.

-Fuyons !! crie Kyo »


Je reprends mes esprits et nous nous mettons à courir. Je me retourne après une minute de course. Je pus voir Leandros s’échapper du bâtiment et partir à l’opposé de nous. C’est alors qu’on voit passé, dans la ruelle, l’inconnu de Constantinople sur un cheval suivit de Kotka, aussi sur un cheval.

Aussitôt je me mets à en chercher un. Une écurie se trouve à quelques pas. Kyo et moi nous mettons en route. Ils sont trop loin. Mais en suivant les débris qu’ils ont mis sur leurs routes on arrive à les suivre. Plusieurs gardes nous poursuivaient à leur tour. Il nous tirait dessus. Pourquoi je n’ai pas un pistolet !! Merde !! Le cheval de Kyo se prend une balle et tombe. Il me fait signe de continuer. Ma dernière image fut celle de Kyo lancer plusieurs couteaux sur les ennemis, puis je passe un angle de rue. Je continue la poursuite. Je sors de la ville, les traces de pas sont bien visibles dans la terre. Plusieurs minutes plus tard je me retrouve sur une route qui longe une falaise au bord de la mer. C’est alors que je les aperçus se battant à cheval.

Kotka saute finalement sur l’inconnu et il tombe tout les deux sur la route. Il s’ensuit des échanges de coups de lame.
Vite je m’approche, je suis encore trop loin.
C’est alors que l’inconnu désarme Kotka, lui saisis le bras, et lui frappe le visage avec la paume de son épée.
Complètement sonné, elle tombe par terre. Elle rampe. Jusqu’à son épée mais l’homme donne un coup de pied dans l’épée qui tombe de la falaise. Il frappe Kotka au ventre avec ses pieds. Il l’a prend par les cheveux et la traine jusqu’au bord.
« Jeune inconsciente, tu est née 10 ans trop tard pour espérer me vaincre ! »
Il l’a pousse de la falaise.
« NOOOOOON !!!! Je crie. ESPECE D’ENFOIRER !! »
J’arrive trop tard. L’homme est partit et Kotka est dans l’eau. Je ne dois pas hésiter. Je plonge. Il n’y a pas de rocher. Super. J’enlève tout ce qui est trop lourd. Je regarde en bas. Ca fait peur. Mais je saute. Le vent siffle dans mes oreilles. La chute est longue. PLOUF !! Me voilà dans l’eau. Je plonge. Où est-elle ?


Là !! Elle s’enfonçait dans plus profondément. Je nage jusqu’à elle. Il fait noir dans cette eau. Une fois atteinte je lui enlève tout ce qui peut la faire remonter. Je la remonte. Je n’ai presque plus d’air. Vite !! Réveille toi je t’en prie. Je sors la tête de l’eau. Je prends une grande inspiration. Je ne vois rien sur lequel je pourrais me hisser. Il y a bien une étendu de sable mais c’est trop loin ! Là !! Un rocher. Je nage, en la tirant. Arriver au rocher. Je grimpe dessus et je fais monter Kotka. Mon dieu qu’elle est lourde !!
Je prends son pouls.
« Elle…
….
Elle est morte … ! »


« N…on….NONONONONONON !! Réveille-toi !! J’t’en prie !! »
Je saisis un couteau et lui ouvre sa tunique. On nous a appris à faire des massages cardiaques durant notre formation. Ca serait Altaïr qui aurait découvert, via la pomme d’éden, qu’on pouvait ranimer des morts récents en exerçant des pressions rythmiques sur le thorax. Et c’est ce que je commence à faire. Un, deux, trois, quatre, cinq, six…… dix.
« Allez respire !!! J’t’en supplie !! »
Les larmes commencent à venir, je ne veux pas qu’elle meurt me dis je. Un, deux, trois …. Dix. Elle ne réagit toujours pas. J’entends des bruits de pas. Ce sont des chevaux. J’aperçois Kyo, Yusuf et Migliore. En voyant le cheval que j’avais pris, et qu’il y avait des traces de luttes Kyo crie :
« TAKA ?!!
-TAKAAAAA ?!! Crie Yusuf à son tour.
-JE SUIS LA !! Je réponds. »
En regardant en bas, ils comprennent la situation. Il se dépêche d’accrocher des cordes pour pouvoir descendre. Un, deux….dix.
« BORDEL REVEILLE TOI !!! KOTKA !!
Les minutes passèrent, elle ne se réveille pas. Je suis épuisé mais je n’abandonne pas. Ce n’est plus une pression que j’exerce je fini par frapper son torse du poing !!
« PU***, TU NE PEUX PAS CREVER !!! REVEILLE TOI !! ALLEZ !!
-Taka… me dis Kyo en mettant sa main sur mon épaule trempé. C’est fini
-NON CE N’EST PAS FINI, J’hurle en repoussant Kyo. BORDEL DE ME*** J’T’EN PRIE !!! ALLEZ KOTKA, REVIEN.
Je me tourne vers le ciel.
-REND LA MOI, DIEU DE ME*** !!!! »
Je reprends le massage. Sous la pression de mes mains je sens soudain une côte se briser. Je suis allé trop fort. Mais je continue, ils me disaient tous que ça pouvais arriver.





Ses yeux s’ouvrent.
-Blurp, blurp, AAAAAAA, fit elle en reprenant se respiration. AAAAAAAAh.
-Mon dieu, dit Kyo qui n’en revient pas. Elle.. Elle est vivante.
-Respire doucement Kotka. Doucement, dit Yusuf.
-Qui c’est …. l’empaffé qui …. m’a cassé une côté? dit elle.
-C’est lui !!
Le fait qu’on l’a tous dit en même temps et que malheureusement a l’unanimité, ils me montrent tous du doigt, je me reçois un coup de pied de Kotka.
-Taka ? Demande-t-elle.
-Oui ?
-Merci. Dit-elle en se rendormant.
-Hey ! Ne re-meurs pas hein !!
-T’inquiète. »
Elle est sauve. Je l’avais sauvé. Ramené du monde des morts. Taka 1 - Cimetière 0.Haha.
Nous devons fabriquer un brancard de luxe pour remonter Kotka.

1 heures plus tard.

Nous revoilà enfin sur la route, nous partons en direction de Masyaf. Nous aurons finalement tué deux maitres templiers, et en prime un bâtiment détruit. Ces bombes sont très efficaces. Qui sait ? Avec le progrès on n’arrivera peut être à faire des explosions encore plus importantes. Des bombes massives et dissuasives. Je ne l’espère pas. Entre de mauvaises mains, cela pourrait conduire à l’extinction de l’espèce humaine. Il nous fallu deux jours avant de pouvoir atteindre la citadelle de Masyaf. Kotka s’était réveiller et avait du mal à respirer, heureusement les médecins assassins l’attendaient.
Une fois arrivé, ma mère me convoque avec Kyo dans son bureau.
« Au rapport, Madame, dit Kyo.
-Au rapport Mama… Madame.
-Voyons mon choupinou, dit elle. Tu peux m’appeler maman tu sais.
-M’man, je chuchote. C’est gênant.
-Vien faire un gros câlin à ta mamounette !!
-Ahemm ! Toussota Kyo. De quoi vouliez vous nous parlez, maître ?
-Oui, bref. Racontez-moi la mission. »
On lui raconte et elle écoute attentivement les faits. A la fin elle baisse les yeux et soupire. Elle se lève, et se met devant la grande fenêtre, dos à nous. Mais elle reprend le sourire et conclue :
« Deux maitres templiers abattus, un bâtiment détruit, et aucune victime à déplorer de notre côté. C’est une chance je dois dire. Kotka à beaucoup de chance.
-Cela ne relève plus de la chance, Maman. C’est limite le miracle.
-En effet. Bien joué mon garçon. Quand à Leandros. Je pense qu’il va rester discret un moment. J’enverrai Yusuf, Migliore et quelques assassins à Constantinople. Il nous faut renforcer nos armées là bas, et trouver cet inconnu. Qui est-il ? Et que manigance-t-il ? J’aurai du vous demander d’écoutez leurs conversation. Mais infiltré un bâtiment templier et déjà difficile en soit. Vous pouvez disposez. Reposez vous et attendez vos prochains ordres. Kyo, envoie-moi Yusuf et Migliore. »
On s’exécute. Ma mère est déçue. Je l’ai vu dans son regard. Je ferais mieux la prochaine fois M’man. C’est promis.

Plusieurs jours passent. Kotka se remet tant bien que mal. Je lui rends visite aujourd’hui. La première visite qu’elle reçoit depuis qu’elle est en convalescence.
« Hey, dit-elle en me voyant.
-Comment ça va ? Je demande. Tu ne souffre pas trop ?
Je m’assois sur sont lit à côté d’elle
-Non, ça va. Ils m’ont donné une espèce de mélange à base d’herbe qui fait office d’antidouleur. C’est marrant hein ?
-Oui, comme tu dit. Je réponds sans pour autant l’écouter. Je voulais te poser une question. Deux pour dire vrai.
-Oui ? Lesquelles ?
-Quand tu étais ….
-Morte ?
-Oui. Qu’est ce que tu as vu ?
-Ah.. dit-elle en perdant le sourire. C’était… flou.
-Flou ?
-Oui comme si j’étais dans de l’eau tu vois mais, je marchais. Il y avait plein de gens. Qui d’ailleurs ne parlaient pas. Il n’y en a qu’un seul qui a levé les yeux vers moi. J’ai sursauté, il faisait trop peur hahaha.
-Il t’a regardé ? Je dis, interloqué.
-Oui, et il m’a dit. Ce n’est pas la fin !! » Dit elle en prenant une fois rauque, et elle se met à tousser. Cette expression lui à demandé une grande force physique et ça douleur lui était revenu.
-Sérieux ? Ahlala. C’est costaud comme truc.
-Ouais. Et après je me suis réveillée. Et là je te vois en larme.
-Euuh justement. Ma deuxième question c’est : tu nous entendais ?
-Oui. Parfaitement. Et d’ailleurs il faut que j’en foute une à Kyo. Il m’aurait laissé crever !!
- Cela faisait 10 minutes que t’était morte. C’est normal.
-Mais… tu as continué à vouloir me sauver toi. Pourquoi ? »
Je me mets à rougir. Cela fait maintenant 2 ans que j’éprouve plus que de l’amitié pour elle mais je ne pouvais pas lui dire. On ne devait pas s’écarter de notre objectif. Et si je l’avais dit, cela nous aurait perturbés. Mais je pense qu’en me regardant elle comprend. Elle me regarde avec un regard si insistant que je ne peux m’en défaire. Elle se met en position assise, prend ma tête et finalement elle m’embrasse.

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