La lame Bouddhiste
Par : Aknow
Genre : Action , Science-Fiction
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Chapitre 3-4-5
Publié le 21/04/12 à 12:30:40 par Aknow
(c'est une FIC d'assassin's creed au cas où certain ne l'aurait pas compris)
Qui parle de mon père ? Je dois en savoir plus. Je m’approche un peu plus de la porte, je me plaque contre le mur à gauche. J’arrive à entendre des pas et des respirations, il y a six personnes dans la salle. L’une est sûrement mon père.
« Où est qui ? demanda Takezo. Je crains de ne pas savoir de quoi tu parle.
- Ta femme, Orihime, ainsi que la lame. Répliqua l’homme.
- Ah, elles. Je ne sais pas où elles sont toutes les deux. Puisque la lame est « une légende »
- Les textes en parlent, les borgia sont séduits par tant de pouvoir vois tu, comment pourrai je passer à coter d’une telle offre.
- Quelle offre ? Celle qu’ils t’ont faite quand il t’a libéré ? Tu t’es laissé corrompre La volpe.
- Corrompre ? C’est plutôt une chance je dirai. Une lame contre mon amnistie, et mon retour en Espagne.
- Tu ne sais pas à quel genre de pouvoir tu t’apprête à saisir.
- Oh que si, je sais tout de la lame interdite par les moines. La lame Bouddhiste.
- Tu y as été ? Dans ce cas pourquoi vouloir l’offrir à eux ? Si tu comprends les écrits de ces moines pourquoi n’en saisi tu pas le sens ?
- Justement, il est dit que seul le prophète détient la réponse, or Ezio n’en connait pas l’existence.
- Que lui as-tu fait, traitre !!
- Il séjourne dans une magnifique Geôle du Château Saint Ange. Il a été très difficile de l’attraper, il est parano depuis qu’il a caché la pomme. Il se terrait en France sur une falaise de l’Atlantique. Trop stéréotypés pour le croire hahahaha. Néanmoins il refuse de parler, la torture aura raison de lui.
- Que tu dis ! Il ne parlera pas même si on devait le tuer.
- Ooooh mais on ne le torture pas lui. Mais sa chère sœur.
- Messere !! S’écria un garde qui venait de renter dans la salle Don Machiavelli à retrouvé la trace d’Orihime Mizuchi. Elle fait route vers une ville du nom de Massyaf. Doit-on envoyer une équipe pour le soutenir ?
- -Massyaf dit tu ? C’est pire que ce que l’on imaginait.. Bien, je vais y allez moi-même. Messieurs, nettoyer moi ce bazar. Et occuper vous convenablement de Messere Takezo.
- Ne fais pas ça la Volpe, il est encore temps de nous aidé !! Tu ne comprends pas la vérité sur la lame !!
- DIS LA MOI ALORS !! Hurla-t-il en projetant un vase du bureau contre le mur.
- Un assassin ne dévoile jamais son jeu ! Même devant son co-équipier. Tu devrais le savoir ! Rejoins-nous ! Il n’est pas trop tard !!
- Il est trop tard pour toi ! Tuez-le !! »
Il m’est difficile de ne pas intervenir. Mon cœur se serre à l’écoute de mon père agonisant sur le sol. Qui sont-ils ? Pourquoi veulent-ils cette lame ? Et quelles sont les relations d’Ezio ,le maître assassin, avecc mes parents. Trop de question me bousculent la tête. Je n’ai pas le temps de réfléchir je dois me cacher, ils vont sortir d’une seconde à l’autre. Ils s’approchent de la porte, je suis toujours visible.
L’homme sortit de la pièce et se trouva dans le salon. Fit jaillir la lumière de sa lampe, et continua de marcher jusqu'à la sortie. Cependant, quelque chose l’obligea à s’interroger. Le couloir de l’étage du dessous était éclairé par la lueur de la lune. N’avait t’il pas refermer la porte en rentrant ? Il lui fallu deux secondes pour en venir a cette hypothèse. Il y a quelqu’un d’autre dans le bâtiment. Il sortit sa lame de son fourreau, prêt à s’en servir, en cas d’imprévu. Il regarda le canapé qui était dans le salon, on y distingue clairement une main dans la poussière qui s’étaient accumulé au fil des années. Cette personne a écouté la conversation, il doit mourir.
Fouillant toutes les pièces alentours, il finira forcément par me trouver. Il n’est pas loin il s’approche du placard. Il sait que je suis dedans, je le vois dans ces yeux a travers la porte. Il s’avance lentement jusqu'à être en face de moi, je m’arrête de respirer, peut être essaye t’il d’entendre une respiration. Je n’en peux plus, j’ai la tête qui tourne, il approche sa main de la poignée, c’est fini il va me..
« Vous êtes toujours là, Sir Cesare vous attend en bas. Dit un garde qui sortit du bureau de père. Il porte avec les autres un tissu recouvrant un corps. Celui de père ! Me dis-je.
Sa main est toujours sur la poigner. Je vais lâcher, j’ai besoin d’air, je ne peux plus retenir ma respiration.
-J’arrive. J’ai de sérieuse nouvelles à lui apprendre. ». Il claqua la porte après avoir laissé passer les gardes, me laissant seul dans mes placards les yeux dégoulinant de larmes.
Une heure après l’évènement je me décide enfin à sortir. Je dois retourner chez moi, prendre ma sœur et fuir. Où ? Je ne sais pas, mais je dois le faire. Mon instinct me dit d’éviter les gardes, peut être ont il déjà signaler ma présence dans la ville. Je dois laisser Ryuu ici, je passerai le reprendre plus tard. Dans les rues c’est le chaos total, je ne sais pas d’où cela provient mais je ne dois pas m’en mêler, Otsuru est ma priorité, je dois la protégée. Je m’avance jusqu’au coin de la rue, regardant a la va-vite les autres ruelles. Des gardes arrivent par la grande allée, ils viennent vers moi, je rebrousse chemin. Merda, d’autres arrives. Que faire ? Ils approchent, je ne dois pas me faire voir. Là ! Une maison avec la porte ouverte. Je me précipite à l’intérieur, et referme la porte aussitôt.
« Il ne doit pas être loin, dit un garde qui devait être le chef. Les gardes à l’entrer de la ville l’ont vu arrivé il y a deux heures. Inspecter toutes les ruelles, les toits aussi. On ne sait pas de quoi il est capable, vu qu’il est son fils, autant être prudent.
- Bien Don Motelsh, répondirent en chœur les gardes, s’en fut presque marrant. »
C’est vu. Je suis la cible numéro un ce soir, c’est de mieux en mieux. Les toits doivent être la solution, je dois pouvoir y accéder depuis cette maison. Minute. Je reconnais cette maison. J’y suis venu il y a 10 ans avec père, c’était pour son travail. Il doit forcément y avoir des armes dans cette maison si mon père est un combattant où je ne sais quoi. Je fouille les moindres recoins de la maison. Suis-je bête, si c’est quelqu’un de rusé, il a forcément conçu une cachète secrète. C’est le moment d’utiliser mon don. Concentration, je dois me concentrer. C’est bon, ma vision est plus clair, les lampes scintillent alors qu’elles sont éteintes. Que… ? J’ai un mal de crâne, que m’arrive t’il ?! Cela ne me l’avait jamais fait jusqu'à maintenant. Il faut que je me ressaisisse, je vais réessayer. Nom d’une crypte en bois, quelle douleur. J’en ai le souffle coupé, je tombe par terre, je…je m’évanouis.
J’ouvre les yeux. Il fait jour. Oh non, combien d’heure suis-je rester à terre me dis je. Il faut m’enfuir de suite. Je monte à l’étage histoire de sortir par la fenêtre du toit. Elle est beaucoup trop haute. Une chaise il me faut une chaise, il doit y en avoir une dans la pièce à coter. Oui, il y en a une. Une image? Une sorte de peinture. Sur une chaise, étrange. Je la regarde et remarque qu’il y a mon père et l’homme à qui appartient cette maison, et le troisième homme.. Mais c’est Ezio Auditore. Que fait mon père dans cette photo ? Encore une question. Mes réponses je les aurai en retrouvant Ezio, et l’homme de la maison. Je décide de prendre la peinture, on ne sait jamais. Il y a une adresse au dos. Massyaf ? Ils en ont parlé durant qu’il… enfin. C’est là bas que je dois me rendre. C’est décidé. Il y a aussi mère. OTSURU !! Je l’ai complètement oubliée. Je positionne la chaise de façon à ce que je puisse accéder à la fenêtre. Soudain la porte d’entré s’ouvrit et un garde rentra, il ne tarda pas a me voir traverser la fenêtre et hurler
« IL EST LA !!!! SUR LES TOITS !!! »
Plus le temps de réfléchir je cour sur les toits, c’est incroyable, j’y arrive avec une habilité déconcertante. La réjouissance s’arrête là. Des archers surgissent de nulle part, tirant des flèches aussi précises que de gifler quelqu’un à bout portant. Je suis presque hors d’atteinte, il me suffit de sauter par-dessus la maison là bas et d’atterrir dans l’eau il me faudra nager au moins un kilomètre. Je l’ai déjà fait, mais pas avec des archers. Quelqu’un m’attrape le pied !! Saleté un garde Papal. Que fiche t’il ici, cet anniversaire prend vraiment une sale tournure, merci pour le cadeau. Il me hurle de m’arrêter sinon il tire, je ne l’écoute pas jusqu'à ce que j’entende :
« TAKA !!! »
C’est.. je me retourne. Non c’est Otsuru.
« Relâche là !! je cri. Vient te battre si t’es un homme.
- Je n’aurai pas besoin de lever le petit doigt pour te voir ramper, répliqua t’il en riant. Rend toi ou je tue ta sœur.
- Lâche, c’est ainsi que se batte les mauviettes de Rome ? Cela ne m’étonne même pas vu comment ton armure scintille a la lumière, tu la lustre parce que t’es coquet ou simplement parce que tu ne combat jamais ? Vien essuyer la poussière.
- Comment oses-tu, chien galeux ! Tu vas tâter de ma lame.
- Approche. Finissons-en.
- Laissez le moi, dit-il aux autres gardes. J’en fais une affaire personnelle. »
Je suis foutu, je n’ai encore jamais combattu, et je n’ai rien pour me défendre. Désolé Otsuru, il ne faut pas m’en vouloir, je reviendrai te libérer.
Je saute du toit et plongea suffisamment profond pour qu’il ne puisse pas m’avoir. Mes habits sont trop lourd, il faut que je m’en débarrasse sinon je ne pourrai remonter, de plus ils me ralentissent. Je nage sous l’eau environ 30 mètres, je n’ai plus d’air, je remonte, je suis encore trop prêt des tirs. Je nage aussi vite que je le peux, la rive est encore trop loin mais une fois dans la forêt il ne faut plus compter me retrouver. AÏE !! Quelle douleur. Une balle dans ma cuisse. Il ne manquait plus que ça. Ça fait trop mal, et dans l’eau il me sera impossible de cautériser. Je vais mourir vider de mon sang dans l’eau. C’est trop bête, je commence à perdre conscience, c’est la fin. Pardon………. Otsuru ……
« Il est encore vivant ?
…….
…
Qui parle de mon père ? Je dois en savoir plus. Je m’approche un peu plus de la porte, je me plaque contre le mur à gauche. J’arrive à entendre des pas et des respirations, il y a six personnes dans la salle. L’une est sûrement mon père.
« Où est qui ? demanda Takezo. Je crains de ne pas savoir de quoi tu parle.
- Ta femme, Orihime, ainsi que la lame. Répliqua l’homme.
- Ah, elles. Je ne sais pas où elles sont toutes les deux. Puisque la lame est « une légende »
- Les textes en parlent, les borgia sont séduits par tant de pouvoir vois tu, comment pourrai je passer à coter d’une telle offre.
- Quelle offre ? Celle qu’ils t’ont faite quand il t’a libéré ? Tu t’es laissé corrompre La volpe.
- Corrompre ? C’est plutôt une chance je dirai. Une lame contre mon amnistie, et mon retour en Espagne.
- Tu ne sais pas à quel genre de pouvoir tu t’apprête à saisir.
- Oh que si, je sais tout de la lame interdite par les moines. La lame Bouddhiste.
- Tu y as été ? Dans ce cas pourquoi vouloir l’offrir à eux ? Si tu comprends les écrits de ces moines pourquoi n’en saisi tu pas le sens ?
- Justement, il est dit que seul le prophète détient la réponse, or Ezio n’en connait pas l’existence.
- Que lui as-tu fait, traitre !!
- Il séjourne dans une magnifique Geôle du Château Saint Ange. Il a été très difficile de l’attraper, il est parano depuis qu’il a caché la pomme. Il se terrait en France sur une falaise de l’Atlantique. Trop stéréotypés pour le croire hahahaha. Néanmoins il refuse de parler, la torture aura raison de lui.
- Que tu dis ! Il ne parlera pas même si on devait le tuer.
- Ooooh mais on ne le torture pas lui. Mais sa chère sœur.
- Messere !! S’écria un garde qui venait de renter dans la salle Don Machiavelli à retrouvé la trace d’Orihime Mizuchi. Elle fait route vers une ville du nom de Massyaf. Doit-on envoyer une équipe pour le soutenir ?
- -Massyaf dit tu ? C’est pire que ce que l’on imaginait.. Bien, je vais y allez moi-même. Messieurs, nettoyer moi ce bazar. Et occuper vous convenablement de Messere Takezo.
- Ne fais pas ça la Volpe, il est encore temps de nous aidé !! Tu ne comprends pas la vérité sur la lame !!
- DIS LA MOI ALORS !! Hurla-t-il en projetant un vase du bureau contre le mur.
- Un assassin ne dévoile jamais son jeu ! Même devant son co-équipier. Tu devrais le savoir ! Rejoins-nous ! Il n’est pas trop tard !!
- Il est trop tard pour toi ! Tuez-le !! »
Il m’est difficile de ne pas intervenir. Mon cœur se serre à l’écoute de mon père agonisant sur le sol. Qui sont-ils ? Pourquoi veulent-ils cette lame ? Et quelles sont les relations d’Ezio ,le maître assassin, avecc mes parents. Trop de question me bousculent la tête. Je n’ai pas le temps de réfléchir je dois me cacher, ils vont sortir d’une seconde à l’autre. Ils s’approchent de la porte, je suis toujours visible.
L’homme sortit de la pièce et se trouva dans le salon. Fit jaillir la lumière de sa lampe, et continua de marcher jusqu'à la sortie. Cependant, quelque chose l’obligea à s’interroger. Le couloir de l’étage du dessous était éclairé par la lueur de la lune. N’avait t’il pas refermer la porte en rentrant ? Il lui fallu deux secondes pour en venir a cette hypothèse. Il y a quelqu’un d’autre dans le bâtiment. Il sortit sa lame de son fourreau, prêt à s’en servir, en cas d’imprévu. Il regarda le canapé qui était dans le salon, on y distingue clairement une main dans la poussière qui s’étaient accumulé au fil des années. Cette personne a écouté la conversation, il doit mourir.
Fouillant toutes les pièces alentours, il finira forcément par me trouver. Il n’est pas loin il s’approche du placard. Il sait que je suis dedans, je le vois dans ces yeux a travers la porte. Il s’avance lentement jusqu'à être en face de moi, je m’arrête de respirer, peut être essaye t’il d’entendre une respiration. Je n’en peux plus, j’ai la tête qui tourne, il approche sa main de la poignée, c’est fini il va me..
« Vous êtes toujours là, Sir Cesare vous attend en bas. Dit un garde qui sortit du bureau de père. Il porte avec les autres un tissu recouvrant un corps. Celui de père ! Me dis-je.
Sa main est toujours sur la poigner. Je vais lâcher, j’ai besoin d’air, je ne peux plus retenir ma respiration.
-J’arrive. J’ai de sérieuse nouvelles à lui apprendre. ». Il claqua la porte après avoir laissé passer les gardes, me laissant seul dans mes placards les yeux dégoulinant de larmes.
Une heure après l’évènement je me décide enfin à sortir. Je dois retourner chez moi, prendre ma sœur et fuir. Où ? Je ne sais pas, mais je dois le faire. Mon instinct me dit d’éviter les gardes, peut être ont il déjà signaler ma présence dans la ville. Je dois laisser Ryuu ici, je passerai le reprendre plus tard. Dans les rues c’est le chaos total, je ne sais pas d’où cela provient mais je ne dois pas m’en mêler, Otsuru est ma priorité, je dois la protégée. Je m’avance jusqu’au coin de la rue, regardant a la va-vite les autres ruelles. Des gardes arrivent par la grande allée, ils viennent vers moi, je rebrousse chemin. Merda, d’autres arrives. Que faire ? Ils approchent, je ne dois pas me faire voir. Là ! Une maison avec la porte ouverte. Je me précipite à l’intérieur, et referme la porte aussitôt.
« Il ne doit pas être loin, dit un garde qui devait être le chef. Les gardes à l’entrer de la ville l’ont vu arrivé il y a deux heures. Inspecter toutes les ruelles, les toits aussi. On ne sait pas de quoi il est capable, vu qu’il est son fils, autant être prudent.
- Bien Don Motelsh, répondirent en chœur les gardes, s’en fut presque marrant. »
C’est vu. Je suis la cible numéro un ce soir, c’est de mieux en mieux. Les toits doivent être la solution, je dois pouvoir y accéder depuis cette maison. Minute. Je reconnais cette maison. J’y suis venu il y a 10 ans avec père, c’était pour son travail. Il doit forcément y avoir des armes dans cette maison si mon père est un combattant où je ne sais quoi. Je fouille les moindres recoins de la maison. Suis-je bête, si c’est quelqu’un de rusé, il a forcément conçu une cachète secrète. C’est le moment d’utiliser mon don. Concentration, je dois me concentrer. C’est bon, ma vision est plus clair, les lampes scintillent alors qu’elles sont éteintes. Que… ? J’ai un mal de crâne, que m’arrive t’il ?! Cela ne me l’avait jamais fait jusqu'à maintenant. Il faut que je me ressaisisse, je vais réessayer. Nom d’une crypte en bois, quelle douleur. J’en ai le souffle coupé, je tombe par terre, je…je m’évanouis.
J’ouvre les yeux. Il fait jour. Oh non, combien d’heure suis-je rester à terre me dis je. Il faut m’enfuir de suite. Je monte à l’étage histoire de sortir par la fenêtre du toit. Elle est beaucoup trop haute. Une chaise il me faut une chaise, il doit y en avoir une dans la pièce à coter. Oui, il y en a une. Une image? Une sorte de peinture. Sur une chaise, étrange. Je la regarde et remarque qu’il y a mon père et l’homme à qui appartient cette maison, et le troisième homme.. Mais c’est Ezio Auditore. Que fait mon père dans cette photo ? Encore une question. Mes réponses je les aurai en retrouvant Ezio, et l’homme de la maison. Je décide de prendre la peinture, on ne sait jamais. Il y a une adresse au dos. Massyaf ? Ils en ont parlé durant qu’il… enfin. C’est là bas que je dois me rendre. C’est décidé. Il y a aussi mère. OTSURU !! Je l’ai complètement oubliée. Je positionne la chaise de façon à ce que je puisse accéder à la fenêtre. Soudain la porte d’entré s’ouvrit et un garde rentra, il ne tarda pas a me voir traverser la fenêtre et hurler
« IL EST LA !!!! SUR LES TOITS !!! »
Plus le temps de réfléchir je cour sur les toits, c’est incroyable, j’y arrive avec une habilité déconcertante. La réjouissance s’arrête là. Des archers surgissent de nulle part, tirant des flèches aussi précises que de gifler quelqu’un à bout portant. Je suis presque hors d’atteinte, il me suffit de sauter par-dessus la maison là bas et d’atterrir dans l’eau il me faudra nager au moins un kilomètre. Je l’ai déjà fait, mais pas avec des archers. Quelqu’un m’attrape le pied !! Saleté un garde Papal. Que fiche t’il ici, cet anniversaire prend vraiment une sale tournure, merci pour le cadeau. Il me hurle de m’arrêter sinon il tire, je ne l’écoute pas jusqu'à ce que j’entende :
« TAKA !!! »
C’est.. je me retourne. Non c’est Otsuru.
« Relâche là !! je cri. Vient te battre si t’es un homme.
- Je n’aurai pas besoin de lever le petit doigt pour te voir ramper, répliqua t’il en riant. Rend toi ou je tue ta sœur.
- Lâche, c’est ainsi que se batte les mauviettes de Rome ? Cela ne m’étonne même pas vu comment ton armure scintille a la lumière, tu la lustre parce que t’es coquet ou simplement parce que tu ne combat jamais ? Vien essuyer la poussière.
- Comment oses-tu, chien galeux ! Tu vas tâter de ma lame.
- Approche. Finissons-en.
- Laissez le moi, dit-il aux autres gardes. J’en fais une affaire personnelle. »
Je suis foutu, je n’ai encore jamais combattu, et je n’ai rien pour me défendre. Désolé Otsuru, il ne faut pas m’en vouloir, je reviendrai te libérer.
Je saute du toit et plongea suffisamment profond pour qu’il ne puisse pas m’avoir. Mes habits sont trop lourd, il faut que je m’en débarrasse sinon je ne pourrai remonter, de plus ils me ralentissent. Je nage sous l’eau environ 30 mètres, je n’ai plus d’air, je remonte, je suis encore trop prêt des tirs. Je nage aussi vite que je le peux, la rive est encore trop loin mais une fois dans la forêt il ne faut plus compter me retrouver. AÏE !! Quelle douleur. Une balle dans ma cuisse. Il ne manquait plus que ça. Ça fait trop mal, et dans l’eau il me sera impossible de cautériser. Je vais mourir vider de mon sang dans l’eau. C’est trop bête, je commence à perdre conscience, c’est la fin. Pardon………. Otsuru ……
« Il est encore vivant ?
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