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La lame Bouddhiste


Par : Aknow
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : C'est compliqué



Chapitre 5 : Chapitre 9-10-11


Publié le 27/04/2012 à 12:02:27 par Aknow

En ce moment, à Athènes, dans la caserne romaine. Don Motelsh, qui avait finalement reçu l’ordre de partir pour la Grèce, réunissaient ses troupes. Pas moins de mille hommes.
« Bonjour messieurs, dit il du haut de son estrade. J’ai l’honneur de vous dire, que la menace assassin sera bientôt terminée. En effet, le maître assassin Ezio Auditore est emprisonné au Château Saint Ange. Ses complices sont devenu les nôtres, pas tous mais ceux qui ont refusé et qui semblait trop malin, trop dangereux, ont été éliminés !!
-Qu’ils aillent au diable !! Génial !! Les Borgia vaincront !! s’écria la petite armée.
-Laissé moi finir !! Hurla-t-il. Cependant, dit-il en descendant de l’estrade. Il s’avère qu’il y a un bateau qui devrait faire escale ici. Un bateau … rempli d’assassin !! Je ne sais pas pourquoi ils vont s’arrêter, mais j’ai bien l’intention de le découvrir. C’est pour cela, que nous allons les laissé rentré, hahahaha. Nous les suivrons en douce, et quand viendra le moment, nous abattrons, flèches et épées !! »
De l’eau à perte de vue, nous arriverons dans deux jours. Esla est increvable au combat, je ne sais pas comment elle fait. Je suis là, allongé sur le pont, elle vient de me mettre « ma branlé » comme elle dit si bien. J’ai cinq minute pour me reposer, c’est court mais je n’en perds pas une seconde. Il ne reste plus que trente seconde. Ma main me fait encore mal, à force de tenir l’épée, je n’ai toujours pas réussi à contrer plus de trois coups à la suite. Je ne suis pas fort… « Debout » dit-elle d’un air enjoué. Et c’est reparti me dis je.

Pendant ce temps à Athènes. Les gardes ont encerclés une maison, qui à première vu, semble inhabité. Mais si on regarde de plus près et de l’intérieur, cela ressemble plus à un repère. D’ailleurs deux hommes attendent à l’intérieur. Ils savent pour les gardes extérieurs.

« Que faisons nous numéro un?
-On les attend, ils ne devraient plus tarder à forcer l’entrée principal, à ce moment là le piège se refermera, si on peut en éliminer au moins cinq avec ça, il montra une machine sur laquelle était fixé des fusils, on aurait moins de boulot.
-Ils sont au moins une cinquantaine, cela ne sera pas aisé de les abattre, nous devons emmener le prisonnier, et un maximum d’information que nous détenons.
- Cela parait évident, j’ai volé des explosifs récemment, on aura qu’a faire exploser le repère une fois qu’on sera loin. D’ailleurs je les entends. Vas prendre le prisonnier je te couvre. »
Les gardes prirent un bélier pour enfoncer la porte. Elle est résistante, mais elle cèdera bientôt. CRAC, une dizaine rentrèrent dans le repère aussi vite qu’une balle mais le mécanisme se mis en route, et une salve d’une vingtaine de coups s’abattit sur les assaillants. Gagner ! se dit le numéro un, il y en à huit qui succombèrent aux tirs. Les deux qui restent, foncèrent dans les escaliers bientôt suivit par une autre dizaine qui pénétrèrent à leur tour. Deux coups de feu retentirent, et les deux hommes de l’escalier virent leurs jours s’arrêter. « Il faut sortir maintenant, dit le numéro un ».Le numéro deux prit le prisonnier qui avait un sac sur la tête. L’autre homme alluma une mèche. Ils sortirent par une fenêtre de toit, sautèrent de toit en toit, puis une fois hors de porté, se mirent à couvert. L’explosion raisonna dans tout le port.

Deux jours plus tard. Nous arrivons enfin à destination, mais a la place de la gaité, il régnait sur le port une franche déprime des habitants. Que s’est il passé .
« Regarde, dit Esla. Un grand nombre de bâtiment ont explosé.
-Hmm, ça serait eux que cela ne m’étonnerai pas.
-Tes « cousins » ? T’es sûr ?
-On a qu’à demander. Monsieur !! Est-ce que vous me comprenez ? Personne ne comprend l’italien ?
-Sisi. Venez par là !
- Bien le bonjour messere. Que ce passe t’il ici ?
- Un garde papal est arrivé avec son armée pour attraper des fugitifs, des assassins d’après ce que j’ai cru comprendre. Et j’ai vu deux personne courir de toit en toit avec un gros sac à dos juste avant qu’une énorme explosion retentissent et tout un quartier à été rasé !!
-Merci bien de l’information.
-Vous feriez bien de repartir, les gardes inspectent tous les bateaux.
- Bien, nous ne resteront pas longtemps. Au revoir et merci.
-Ils sembleraient que ça soit eux Taka, chuchota Esla à mon oreille. Comment allons-nous les retrouver s’ils sont partis.
- Ils faut allez sur leur lieu, leur repère. Ils ont sûrement laissé un indice au cas où mon père viendrai les retrouvé. Enfin. Maintenant c’est moi.

La nuit tomba et on toujours aucun indice trouvé. Rien qu’il laissera entrevoir une destination. Mais quelque chose d’autre me chiffonne. Si les gardes inspectent les bateaux pourquoi aucun n’était présent sur les quais ! Ce fût presque trop facile jusqu'à maintenant. Je dois prévenir Esla. Que... ? Ma tête !! Que ça fait mal !! Je …je... vais encore m’évanouir… Où suis-je ? C’est un rêve ? C’est… ma chambre !! Hé !! Mais c’est moi là !! Je devais avoir 7ans je crois. SI je me souviens bien mon père va me rendre visite.
« Bonjour mon fils. Comment vas-tu ?
-Bien papa, répondit l’enfant. Qui a-t-il ?
-Vien avec moi, il faut que je présente à des cousins de la famille.
Après avoir descendu quelques marches, on se retrouva dans le salon, où deux hommes nous attendaient.
-Alors c’est lui ton rejeton, il est mignon hahaha.
-Il te ressemble beaucoup, pas vrai numéro un.
-Assez oui.
-Taka je te présente, un et deux.dit mon père à moi, enfin l’enfant.
-Hihihih un et deux, c’est marrant !! Pourquoi vous vous appelez comme ça, c’est un code ?!
-Oh oui pour sur que c’est un code, petit. Dit le numéro un. Si un jour tu viens nous rendre visite et qu’on n’est pas chez nous, il suffira d’y penser. Regarde un code c’est comme un trait fait a la main par terre ou sur un mur et j’en passe, faut avoir le coup d’œil.
- Le coup d’œil ?
Mais oui je m’en souviens, c’était donc ça !! Il me suffit juste de… enfin la dernière fois j’ai eu tellement mal. Mais il le faut !!



e me concentre. Il faut allez au delà de la douleur. Je me concentre. J’ouvre les yeux. Je crois que ça marche. C’est sombre, les couleurs sont monochromes. Du bleu de partout.
« Bon je crois qu’on a plus rien à faire ici, s’exclama Esla.
-Attendez, répondit Taka, je crois avoir trouvé quelque chose.
Esla s’approcha de moi et scruta le sol.
- Que doit-on voir ? dit-elle. Il n’y a qu’une planche.
-C’est là toute la magnificence des assassins, je crois que certains assassins avaient des pouvoirs de vision. Je crois que c’est ce qui m’arrive. Je vois un message codé.
-Et qu’est ce dont ? Demanda une Esla toute excité de voir une vision se produire.
- Donnez-moi du papier et une plume.
8-1611420851514 8-615142018145 -1
Esla fit de grands yeux. Que voulais bien dire ce code. A sa grande surprise Esla vit un sourire sur le visage de Taka. Avait-il la solution ?
-C’est un code facile, j’en ai fait à tour de bras durant mon adolescence. Le premier chiffre c’est le nombre de lettre dans le mot, donc on le divise en 8 sachant qu’il n’y a que 26 lettres dans l’alphabet, cela donne 16-1-14-20-8-5-15-14 et le deuxième 6-15-14-20-1-8-14-5. Il n’y a plus qu’à faire coordonné les lettres et les chiffres et cela donne… … … Panthéon, fontaine et le -1 je ne sais pas du tout. On verra sur place, il faut allez au panthéon.
- EH bien, s’étonna Esla, combien d’autre facette nous cache tu ?
- Je m’étonne moi-même de plus en plus. »

Nous faisons route, ou plutôt voile, vers l’Italie, à nouveau.Le panthéon de Rome, ce n’est absolument pas le chemin pour Masyaf mais nous devons trouver un et deux. J’ai besoin de réponse et seuls eux peuvent me les dires.

« C’est dangereux de revenir Taka, tu le sais. Devons nous obligatoirement y allez ? Demanda une Esla inquiète.
-Ezio est à Rome aussi non ?
-Il n’y est plus, j’ai reçu un aigle qui détenait un message. Il est en route pour Viana, pour arrêter Cesare.
- Un et Deux doivent être récupérés. J’irai seul, il ne faut pas nous faire repérer. Plus on est et plus la discrétion sera difficile.


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