Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Yes-Life Time !


Par : [AceNewWeed]
Genre : Sentimental
Statut : Terminée



Chapitre 36


Publié le 24/03/2014 à 19:56:39 par [AceNewWeed]



Jules : Merde.. Je crois qu'il s'est vraiment cassé.
Nicolas : Hein.. T'es sûr ? Dis-je en m'essuyant les larmes qui coulent sur mon visage.
Jules : Bah.. Ouais, il a fermé la porte à clef en plus je crois. Putain on fait quoi ?
Nicolas : Je sais pas, on devrait pas l'attendre ?
Jules : Bon, suis-moi on va bien réussir à trouver une autre sortie que la fenêtre.
Nicolas : Euh.. ok..

D'après Jules on est censés ''se mettre en position latérale de sécurité pour faire le moins de bruit'' mais bordel laisse-moi me remettre de mes émotions :( On marche comme des canards tout autour de la maison, évitant bien sur la chambre de ses parents jusqu'à ce que son ventre gargouille tel le Vésuve lorsqu'il ravagea la ville de Pompéi. Je ferme les yeux comme reflex en pensant que personne me verra.. Ouf personne s'est réveillé.

Jules : Putain j'ai la dalle ! Dit-il en chuchotant ça tout en gueulant.
Nicolas : Bah je sais pas.. Ca serait du vol de piquer à manger, fais pas le con !
Jules : Roh t'sais quoi je vais piquer un cornichon ou deux hein..
Puis il se lève comme si de rien n'était, oubliant carrément sa ''position latérale de sécurité'' pour partir à la recherche de deux trois cornichons qui se courent après. Il ouvre le frigo et se sert comme chez lui, mais qu'est-ce que tu fous bordel ?

Jules : Bon, on suit le plan hein ? Dit-il à voix haute, mais ta gueule putain !
Nicolas : Chuuuuuuttttttt !
Jules : Ouais oh ça va ! Bon aller hop on se remet en position. Vous avez repéré un acte suspect Isaac Briggs ?
Nicolas : Euh.. Nah.. ?
Jules : Cool alors on se casse.
Nicolas : Mais repose-moi ce putain de pot de cornichons dans le frigo d'abord !
Jules : Ah oui merde :rire:

Rahlala quel idiot ce Jules des fois.. Bon après avoir fait le tour de la maison on trouve aucune issue.. Mise à part la fenêtre. Alors on repart dans la chambre de Nathan qui donne sur une petite ruelle, bon on va s'éclater les jambes mais c'est pas grave !
Jules : Eh attends, et si on allait regarder son historique d'internet ? :hap:
Nicolas : Putain mais t'es con ? On est venus pour lui dire que sa meuf va mourir dans 6 mois et toi tout ce que tu veux faire c'est aller regarder son historique ?! Et bah vingt dieux..
Jules : Hm.. Ouais, pas con.

Je le regarde de haut en bas comme si il n'avait pas de coeur. Puis là il me regarde en rigolant ? Bah quoi ? Il prend un caleçon par terre et me le jette à la figure.
Jules : Tiens mets-toi ça sur la tête avec ta tête de cul !
Nicolas : Putain mais t'es même pas drôle en plus !
Jules : Roh ça va.. J'essaie de te faire oublier les évènements, c'est tout. Je l'adorais cette meuf, franchement.
Nicolas : Moi aussi.. Puis j'étais content pour Nathan tu vois.. Il avait arrêter de se renfermer sur lui-même grâce à elle quoi..
Jules : Ouais ça c'est clair.. J'espère vraiment de tout mon coeur qu'on lui trouvera un remède à temps. Enfin bref, il faut qu'on y aille !

Je le vois se diriger vers la fenêtre jusqu'à ce que je remarque la petite rallonge mesquine à peine visible sur le sol, et là, on est passés dans un ralenti comme dans les films comics :
Nicolas : Noooooooon Juuulllleeeeees !
Jules : Quu.. Ah putain !
Et boom par terre. On entend des bruits venus de l'autre pièce, je crois que c'est ses parents qui viennent nous chercher ! :peur:

Putain on fait quoi ? Le placard ! J'attrape Jules et le tire vers moi dans le placard de Nathan, bien sur comme on est des mongoles on arrive pas à fermer la porte. On essaie en vain tandis que les bruits de pas se rapprochent de la chambre, puis au moment où on bourine la porte du placard et qu'elle se ferme, le père de Nathan ouvre sa chambre. J'entends son pas qui s'approche et sa respiration en continue.. Puis soudain, il tira la porte comme un malade en gueulant ''Je te tiens sale rat !''

Jules : Ok ok je me rends monsieur ! :snif2:
Finalement il nous a reconnu et on est rentrés chez nous comme si de rien n'était.


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