Note de la fic : :noel: :noel:

Assassin


Par : Xylophage
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 7


Publié le 03/06/2009 à 15:04:03 par Xylophage

---
Assassin - Chapitre 7 : Renégat
---


Je m'éveille. Je ne suis pas mort. Je dois être dans un hôpital, distingué par ses murs blanc cassé. Un homme entre. Je ne saurais dire sa taille, étant allongé, mais il me semble plutôt grand et imposant. Il se place à mes cotés. Il devait attendre mon réveil. Avant de prononcer le moindre mot, il tend sa main, comme pour m'indiquer tout de suite qu'il était de l'Ordre, le signe des djinns sur sa paume. Les djinns sont les Assassins accomplis, possesseurs de ce signe qui leur est réservé car ils ont terminé leur apprentissage.

<<-Nous t'avons récupérer à moitié mort dans la rivière. Tu nous dois la vie.
-M... merci, mais je crois que j'ai quelques questions à vous poser.
-Moi d'abord. Quand as-tu vu pour la dernière fois ton père ?
-Avant ma blessure, il s'est enfui en hélicoptère, me laissant seul avec ce Shinau.
-Shinau ?! Tu as croisi Shinau ? Que faisait-il là-bas ?
-Qui est-ce ?
-Hmpf ! Il vaut mieux que tu l'ignores.
-Vous ne pouvez pas me laisser comme ça ?! Je me suis fait agresser par un gars dont j'ignore tout sauf le nom, qui aurait un lien avec mon père, qui d'ailleurs m'a laissé crever comme un clebs !
-Il ne s'est rien passé de particulier à part ça ?
-Pourquoi toutes ces questions sur mon père ?
-Il est arrivé quelque chose à ton père. je ne devrais pas te le dire, mais tu l'apprendras de toute façon. Il a tué quelqu'un.
-Quoi de plus normal pour un assassin ?
-Il a tué le chef de l'Ordre.
-Que ?! Pourquoi aurait-il fait ça ?!
-Il a fuit suite à son assassinat. Toutes les troupes sont à sa recherche. Les Malikas sont déjà partis. Mais je vais devoir y aller. N'hésite pas à nous rappeler si tu te rappelles d'un détail.>>

Il partit rapidement, me laissant seul sans vraiment d'explication. Pourquoi mon père aurait-il tué le chef ? Avait-il une réelle chance contre les Malaikas ? Je dois m'en aller d'ici. La fenêtre était bêtement ouverte, donnant sur un toit peu élevé. Il ne me fallut que quelques minutes pour m'enfuir. Je ne ressentais même plus ma blessure.

Je ne connait qu'une personne capable de m'en dire plus sur mon père et qu'il se passait. L'Ordre ne me dirait jamais dit toute la vérité. Alors je partis. Direction le Département européen de l'Ordre.


Commentaires