24 heures avant de mourir
Par : Kom_T_Tristounet
Genre : Réaliste , Sentimental
Status : Terminée
Note :
Chapitre 28
Publié le 24/09/12 à 22:46:28 par Kom_T_Tristounet
21h07
Jean se sentait tout con. Du haut de ses 16 ans, il ne s'était jamais rendu une seule fois à une fête. Par fête, il entendait ces soirées réunissant plus de 15 personnes, avec autant de filles que de garçons, de l'alcool, de la musique... ça lui était inconnu tout ça... M'enfin, il ne mourrait peut être pas sans connaître l'ivresse d'une teuf ? En effet, comme un cadeau envoyé du ciel, la teuf était venue à lui, à son lieu de rendez-vous. Dommage qu'il ne soit pas là pour ça.
Il resta planté comme un con devant le portail en bois, ne sachant que faire. Dans le jardin, des gens se livraient à une bataille de boule neige acharné. Jean Théopolde repensa soudainement à Sandra. C'était par une boule de neige qu'elle l'avait invité à passer un court de moment de la journée ensemble... Ce fut une autre boule de neige qui l'invita à participer à la fête. Sorti de nul part, un mec à l'haleine n'ayant rien à envié à celle de Jean Théopolde - fortement alcoolisé donc - se cacha derrière Jean et s'en servit comme bouclier humain devant les projectiles enneigés. Jean n'essaya même pas de se débattre, sans trop savoir comment, le mec derrière lui ouvrit le portail, le jeta dans le jardin, puis pris part à la bataille dans de grand éclat de rire.
Jean rampa tel un fier soldat dans la neige, plus à cause de la difficulté à se relever que par réelle envie de brouter l'herbe caché sous le manteau hivernale. Arrivé à la porte, avant qu'il n'ait eu le temps de poser un doigt sur la poignée, celle ci s'ouvrit en trombe, et une jeune hystérique déboula sans crier gare des bouteille à la main. Évidemment, elle ne remarqua pas la présence de Jean qui faisait office de paillasson improvisé, et évidemment, elle trébucha sur lui. L'accrochage provoqua l'hilarité générale, dont les conséquences - après avoir soigneusement récupéré les bouteilles - fut de prendre pour unique cible les deux malheureux à terre.
Les grenadiers improvisé arrosèrent d'un feu nourri les 2 compagnons de galère. jean avait du mal à se dégager, tandis que l'autre peinait à se relever sous les tirs... Toujours en rampant, il parvient finalement - au prix de grands efforts - à rentrer dans la maison, et s'empressa de refermer la porte derrière lui, au grand dam de la fille qui tambourinait derrière pour trouver un refuge... Jean se releva, complètement trempé de la tête au pied. Un inconnu vint lui taper l'épaule en riant, et l'invita à boire un verre, que Jean s'empressa d'accepter. Finalement la situation ne lui déplaisait pas tant que ça, il avait toujours rêvé de participer à une pure "fête de yeslife" comme il disait. Il arriva un peu par hasard dans le salon et commença à chercher du regard la fille au milieu de tout plein de monde étalé par terre, alors qu'il était à peine 21heure... La musique résonnait dans la tête de Jean, impossible d'entendre ce que les gens lui disaient, il entendit vaguement un " Hey le cannibal bien joué pour le mec ce matin ! " " il parait que tu t'es tapé sa meuf après !"
Jean bu une gorgé, hocha la tête, et affirma qu'il était prêt à recommencer avec n'importe qui si on lui prenait la tête. Sa déclaration donna lieu à un tonnerre d'applaudissement qui accentua encore plus le mal de crâne de Jean. Ce dernier battit en retraite où il espérait trouver un peu de calme, dans la cuisine. Là, des gens étaient entrain de dévaliser le frigo, y avait l'eau des pâtes entrain de bouillir, mais personne ne s'en souciait. les placards étaient ouvert, leur contenu répandu à même le sol, les gens ,toujours aussi joviale, semblaient être plongé dans une hystérie collective qui effrayait presque Jean Théopolde. Jean s'assit difficilement à une chaise après avoir au préalable éjecté son occupant au sol, et termina son verre, dont la moitié du contenu avait éclaboussé le sol en cours de route.
Il se prit la tête dans ses mains... Que faire ?
Jean se sentait tout con. Du haut de ses 16 ans, il ne s'était jamais rendu une seule fois à une fête. Par fête, il entendait ces soirées réunissant plus de 15 personnes, avec autant de filles que de garçons, de l'alcool, de la musique... ça lui était inconnu tout ça... M'enfin, il ne mourrait peut être pas sans connaître l'ivresse d'une teuf ? En effet, comme un cadeau envoyé du ciel, la teuf était venue à lui, à son lieu de rendez-vous. Dommage qu'il ne soit pas là pour ça.
Il resta planté comme un con devant le portail en bois, ne sachant que faire. Dans le jardin, des gens se livraient à une bataille de boule neige acharné. Jean Théopolde repensa soudainement à Sandra. C'était par une boule de neige qu'elle l'avait invité à passer un court de moment de la journée ensemble... Ce fut une autre boule de neige qui l'invita à participer à la fête. Sorti de nul part, un mec à l'haleine n'ayant rien à envié à celle de Jean Théopolde - fortement alcoolisé donc - se cacha derrière Jean et s'en servit comme bouclier humain devant les projectiles enneigés. Jean n'essaya même pas de se débattre, sans trop savoir comment, le mec derrière lui ouvrit le portail, le jeta dans le jardin, puis pris part à la bataille dans de grand éclat de rire.
Jean rampa tel un fier soldat dans la neige, plus à cause de la difficulté à se relever que par réelle envie de brouter l'herbe caché sous le manteau hivernale. Arrivé à la porte, avant qu'il n'ait eu le temps de poser un doigt sur la poignée, celle ci s'ouvrit en trombe, et une jeune hystérique déboula sans crier gare des bouteille à la main. Évidemment, elle ne remarqua pas la présence de Jean qui faisait office de paillasson improvisé, et évidemment, elle trébucha sur lui. L'accrochage provoqua l'hilarité générale, dont les conséquences - après avoir soigneusement récupéré les bouteilles - fut de prendre pour unique cible les deux malheureux à terre.
Les grenadiers improvisé arrosèrent d'un feu nourri les 2 compagnons de galère. jean avait du mal à se dégager, tandis que l'autre peinait à se relever sous les tirs... Toujours en rampant, il parvient finalement - au prix de grands efforts - à rentrer dans la maison, et s'empressa de refermer la porte derrière lui, au grand dam de la fille qui tambourinait derrière pour trouver un refuge... Jean se releva, complètement trempé de la tête au pied. Un inconnu vint lui taper l'épaule en riant, et l'invita à boire un verre, que Jean s'empressa d'accepter. Finalement la situation ne lui déplaisait pas tant que ça, il avait toujours rêvé de participer à une pure "fête de yeslife" comme il disait. Il arriva un peu par hasard dans le salon et commença à chercher du regard la fille au milieu de tout plein de monde étalé par terre, alors qu'il était à peine 21heure... La musique résonnait dans la tête de Jean, impossible d'entendre ce que les gens lui disaient, il entendit vaguement un " Hey le cannibal bien joué pour le mec ce matin ! " " il parait que tu t'es tapé sa meuf après !"
Jean bu une gorgé, hocha la tête, et affirma qu'il était prêt à recommencer avec n'importe qui si on lui prenait la tête. Sa déclaration donna lieu à un tonnerre d'applaudissement qui accentua encore plus le mal de crâne de Jean. Ce dernier battit en retraite où il espérait trouver un peu de calme, dans la cuisine. Là, des gens étaient entrain de dévaliser le frigo, y avait l'eau des pâtes entrain de bouillir, mais personne ne s'en souciait. les placards étaient ouvert, leur contenu répandu à même le sol, les gens ,toujours aussi joviale, semblaient être plongé dans une hystérie collective qui effrayait presque Jean Théopolde. Jean s'assit difficilement à une chaise après avoir au préalable éjecté son occupant au sol, et termina son verre, dont la moitié du contenu avait éclaboussé le sol en cours de route.
Il se prit la tête dans ses mains... Que faire ?
Vous devez être connecté pour poster un commentaire