Les chroniques de Karlfand
Par : Sipro
Genre : Fantastique
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 6
Publié le 12/05/11 à 19:15:06 par Sipro
Avant qu’Anthèlme ne se décide à prendre la parole, il avait barré la route à la femme, qui la regardait maintenant courroucée. Elle n’appréciait sûrement pas d’être retenue par un jeune impertinent, sous la pluie, à attendre un quelconque geste, une quelconque parole. Anhèlme retira alors son chapeau, et le tint au dessus de la tête de la jeune femme, afin de l’abriter de la pluie.
-Excusez moi mademoiselle, je cherche les mines de Garlach’, savez vous…
-Où elles pourraient se trouver ? Hélàs, non, je viens d’arriver dans la région. Je me rendais à Garlach’ pour y découvrir ses cultures…
-Ah… Mais n’auriez-vous point idée de là où elles pourraient se trouver ?
-Quel intérêt aurais-je à connaître la position de mine ?
-Vous ne savez donc pas ?
-Non, je suis désolée. Pourquoi les cherchez vous donc ?
-Le seigneur m’envoi pour éradiquer la menace gobeline dans ces mines. Tenez, voyez par vous-même. Les indications sont notées sur ce papier, mais étant donné que je ne sais pas lire, elles ne me servent à rien.
-Montrez donc voir. Je pourrais peut être vous indiquer votre chemin.
Anthèlme tendit le papier à la femme, puis il resserra ses pans de manteau. Pendant que cette femme lisait la lettre, il regarda sur le côté, tout en se tenant le col, à l’affût du moindre bruit suspect. Mais la nuit était calme, et les forêts aux alentours aussi, hormis le fait que la pluie tombait à verse, tout semblait pour le plus calme. En regardant mieux la femme, il la vu portant des flèches sur son côté droit. En relevant la tête, il pu voir l’arc, sortant de derrière la tête de la femme, juste un petit bout, mais l’arc en lui-même était long, environ un mètre trente. Il était étonné de voir une femme porter un arc, mais ne connaissant pas la culture elfe, il préféra se taire, plutôt que de passer pour un idiot.
Une fois qu’elle eût fini de lire, la jeune elfe releva la tête vers Anthèlme, et lui sourit.
-Les mines ne sont pas très loin, Anthèlme, je peux vous y mener assez facilement. Si toutes fois, vous me laissez chevaucher votre monture. Malgré le fait que j’aime découvrir des endroits, je suis las de la marche, et un peu de repos ne me ferait pas de mal. J’ai aussi lu que vous pouviez vous faire aider, je ne suis jamais allé dans des mines, me permettriez vous de venir avec vous ? On m’en a parlé dans certaines histoires, mais je n’ai jamais eu l’occasion d’y entrer. De plus, je sais me défendre, je ne serais donc pas un boulet pour le chevalier que vous semblez être, dit-elle en regardant l’armure sur le cheval et en citant les mots de la lettre.
-Je serais fort enchanté de vous avoir à mes côtés, mais…
-Moi de même, puisqu’il est écrit que vous avez tué des trolls, des vasquesh, araignées géantes et autres monstres qui arpentent ce monde. Vous n’en avait pas l’air, mais vous devez être un excellent combattant. Comme on le dit, l’habit ne fait pas le moine…
-Mais il tient chaud.
-Pardon ?
-L’habit ne fait pas le moine, mais il tient chaud. C’est une petite drôlerie que j’ai entendu pendant mon voyage jusqu'à Garlach’. Je la trouvais amusante, voilà tout.
-C’est cela, oui… Mettons nous en route si vous le voulez bien messire Anthèlme, plus tôt nous y serons, plus tôt nous réglerons cette menace, et plus tôt nous rentrerons au château, où nous sommes conviés.
Penaud, Anthèlme aida l’elfe à monter sur son cheval. L’elfe était sur le cheval, et Anthèlme tenait son canasson par la bride, afin de le guider dans la pénombre, et vers les mines, grâce aux indications de l’elfe, et de la lettre.
-Excusez moi mademoiselle, je cherche les mines de Garlach’, savez vous…
-Où elles pourraient se trouver ? Hélàs, non, je viens d’arriver dans la région. Je me rendais à Garlach’ pour y découvrir ses cultures…
-Ah… Mais n’auriez-vous point idée de là où elles pourraient se trouver ?
-Quel intérêt aurais-je à connaître la position de mine ?
-Vous ne savez donc pas ?
-Non, je suis désolée. Pourquoi les cherchez vous donc ?
-Le seigneur m’envoi pour éradiquer la menace gobeline dans ces mines. Tenez, voyez par vous-même. Les indications sont notées sur ce papier, mais étant donné que je ne sais pas lire, elles ne me servent à rien.
-Montrez donc voir. Je pourrais peut être vous indiquer votre chemin.
Anthèlme tendit le papier à la femme, puis il resserra ses pans de manteau. Pendant que cette femme lisait la lettre, il regarda sur le côté, tout en se tenant le col, à l’affût du moindre bruit suspect. Mais la nuit était calme, et les forêts aux alentours aussi, hormis le fait que la pluie tombait à verse, tout semblait pour le plus calme. En regardant mieux la femme, il la vu portant des flèches sur son côté droit. En relevant la tête, il pu voir l’arc, sortant de derrière la tête de la femme, juste un petit bout, mais l’arc en lui-même était long, environ un mètre trente. Il était étonné de voir une femme porter un arc, mais ne connaissant pas la culture elfe, il préféra se taire, plutôt que de passer pour un idiot.
Une fois qu’elle eût fini de lire, la jeune elfe releva la tête vers Anthèlme, et lui sourit.
-Les mines ne sont pas très loin, Anthèlme, je peux vous y mener assez facilement. Si toutes fois, vous me laissez chevaucher votre monture. Malgré le fait que j’aime découvrir des endroits, je suis las de la marche, et un peu de repos ne me ferait pas de mal. J’ai aussi lu que vous pouviez vous faire aider, je ne suis jamais allé dans des mines, me permettriez vous de venir avec vous ? On m’en a parlé dans certaines histoires, mais je n’ai jamais eu l’occasion d’y entrer. De plus, je sais me défendre, je ne serais donc pas un boulet pour le chevalier que vous semblez être, dit-elle en regardant l’armure sur le cheval et en citant les mots de la lettre.
-Je serais fort enchanté de vous avoir à mes côtés, mais…
-Moi de même, puisqu’il est écrit que vous avez tué des trolls, des vasquesh, araignées géantes et autres monstres qui arpentent ce monde. Vous n’en avait pas l’air, mais vous devez être un excellent combattant. Comme on le dit, l’habit ne fait pas le moine…
-Mais il tient chaud.
-Pardon ?
-L’habit ne fait pas le moine, mais il tient chaud. C’est une petite drôlerie que j’ai entendu pendant mon voyage jusqu'à Garlach’. Je la trouvais amusante, voilà tout.
-C’est cela, oui… Mettons nous en route si vous le voulez bien messire Anthèlme, plus tôt nous y serons, plus tôt nous réglerons cette menace, et plus tôt nous rentrerons au château, où nous sommes conviés.
Penaud, Anthèlme aida l’elfe à monter sur son cheval. L’elfe était sur le cheval, et Anthèlme tenait son canasson par la bride, afin de le guider dans la pénombre, et vers les mines, grâce aux indications de l’elfe, et de la lettre.
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