Mind Gone Syndrome
Par : Arni
Genre : Action
Status : Terminée
Note :
Chapitre 13
Voyage
Publié le 04/10/15 à 23:39:40 par Arni
Chapitre 12 : Voyage
14 février 2051 – QG de la CIA, Langley
7 heures précises, le réveil laissa résonner son horrible bruit strident dans toute la petite salle d’interrogatoire, Benjamin Anderwoods sursauta et son petit cœur battait allégrement dans sa poitrine musclée. Il reçut un texto de son ex-compagne Stephany pour la St-Valentin, « Connasse », pensa-t-il tout en s’habillant. L’homme aux longs cheveux noirs sortit de sa chambre de fortune et se dirigea vers la piste de décollage de la CIA où l’attendait un Jet de l’armée réquisitionné par l’Agence, celui qui était chargé de les emmener jusqu’en Antarctique. La neige tombait abondamment en ce 14 février, un épais manteau blanc recouvrait le paysage à perte de vue. Ben et ses amis posèrent le pied dans l’appareil et s’installèrent sur les sièges en velours rouge de ce dernier. Des sacs contenant tout l’équipement que leur fournissait la CIA se trouvaient dans une armoire à côté du buffet froid. Le repas était servi dans l’avion afin de permettre à Anderwoods et sa bande de se restaurer pendant ce long voyage qu’ils allaient entreprendre jusqu’à leur destination polaire. Benjamin n’était pas vraiment rassuré à l’idée de voyager dans un appareil sans pilote qui était contrôlé depuis Langley. Ce n’était pourtant pas la première fois qu’il devait voyager dans pareil type d’appareil. Cependant, le fils de Frank ne faisait toujours pas confiance à ces drones, pas plus qu’il leur faisait confiance la première fois qu’il mit un pied à bord de ce type d’appareil. La première fois, il s’en souvenait très bien, c’était lors du voyage jusque Versailles pour aller faire la guerre aux européens. « Un des plus grande connerie de mon existence », pensa-t-il.
14 février 2051 – Avion Militaire Stark 7
L’appareil survolait à présent Washington DC, Benjamin put observer à quel point la ville était détruite. Les vitrines des magasins étaient brisées, les voitures en flammes et les créatures se pavanaient dans la rues à la recherche d’un humain à déguster « Ned est vraiment devenu un monstre comme cela ? Sur le documentaire vidéo le monstre lui ressemblait vachement », pensa-t-il. On pouvait voir la lueur bleue éclatante des yeux de ces créatures démoniaques à plusieurs mètres malgré le brouillard épais et la pénombre qui régnaient sur la ville en ce matin de la Saint Valentin. L’avion militaire prit de plus en plus d’altitude et il était maintenant impossible d’apercevoir les Azaners à travers les hublots de l’appareil dans lequel était installé Ben et ses compagnons. Il était toujours néanmoins possible d’observer le chaos qui s’était emparé de la ville, et même du pays tout entier qui était comme immobilisé depuis trois longues semaines. Anderwoods détacha ses yeux de ce spectacle désagréable et partit à la conquête du buffet froid qui leur servait de petit déjeuner. Il attrapa un pain au chocolat et quatre tartines qu’il dégusta recouvertes d’une fine couche de pâte à tartiner chocolatée qu’il s’empressa de déguster avec plaisir. Après son repas, l’ancien Ranger se commanda un café à la machine afin de faire passer son repas qui était « un peu sec » sans une boisson.
Le jet de l’Agence contrôlé à distance par un de ses plus brillant pilote de drones Eline Redalk, se trouvait à présent au-dessus de l’Amérique du Sud et il était facile d’observer que cette partie du continent était rongée par le même mal qui frappait sa partie nordique. Le virus s’était propagé petit à petit vers le bas du continent, telles les espèces chimiques lors d’un phénomène de diffusion non perturbée par l’agitation. Les pays sud-américains n’ayant pas le même budget que les USA, peu de de centres de quarantaines furent mis en place et de ce fait peu monde fut sauvé. La plus grosse majorité de la population fut emportée par le mal et commença à leur tour par rôder dans les rues à la recherche des pauvres derniers hommes, femmes ou enfants qui n’avaient pas encore lâchés prise. Ben adressa une pensée émue pour tous ces pauvres gens qui n’avaient pas eu l’occasion de se défendre face à cette menace et s’endormit dans un des lits aux matelas bleu roi qui avaient été disposés dans l’appareil pour le voyage « Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit, le voyage va encore être long, c’est maintenant ou jamais », pensa-t-il.
Benjamin se réveilla plusieurs heures plus tard et était maintenant pris par une sensation de faim intense. L’ancien Ranger s’approcha du buffet et s’aperçut avec surprise que ce dernier avait été changé pour correspondre à un repas de midi, bien que cette heure avait été largement dépassée. Après avoir saisi plusieurs tranches de fromage jeune et un morceau de baguette, il s’approcha de ses compagnons qui étaient en train de discuter afin de passer le temps. Ben s’assit et s’incrusta dans la conversation tout en dévorant son morceau de baguette.
« Salut les mecs. Cette sieste m’a fait beaucoup de bien ! Vous parlez de quoi ?
- On était en train de discuter de tout et de rien, de ce qu’on avait fait entre notre verre et l’arrivée de ce foutu virus. D’ailleurs, toi, tu ne nous as jamais dit ce que tu avais fait ensuite.
- Rien de bien passionnant j’en ai bien peur, Robert. Je me suis définitivement séparé de Stephany par téléphone depuis ma cellule au centre, je commençais à trouver cette situation de plus en plus ridicule. Elle m’a d’ailleurs envoyé un texto ce matin en me demandant si je comptais revenir et qu’elle avait encore des sentiments pour moi blablabla. Je ne lui ai même pas répondu à vrai dire. Je regrette juste de ne pas avoir pu voir encore le p’tit Ben une dernière fois, ciel qu’il est mignon ce gosse ! Pour ce qui est du travail … »
La conversation fut interrompue par la douce voix de la pilote : « Nous sommes arrivés au-dessus de l’Antarctique, nous allons vous lâcher dans les airs au niveau de cette association de bases scientifiques qui orne ce continent. Nous sommes pratiquement convaincus que vous ne trouverez pas celle que vous cherchez en plein milieu. Vous cherchez donc une base qui appartient à Science Recon Biotechnology. Je vous souhaite bonne chance, je poserai l’appareil en mode camouflage optique un peu plus loin, à un endroit où personne ne pourra le voir. Prévenez-moi lorsque vous voudrez repartir et je vous ramènerai à la maison. En attendant vous pouvez revenir à l’avion quand vous voulez pour vous reposer. La position du jet sera transférée sur vos tablettes. ». Les gars se levèrent et enfilèrent leur combinaison bloquant la chaleur et la recouvrirent par le wingsuit fourni par la CIA. Après avoir placé leur sac sur le dos, ils s’approchèrent de la queue de l’appareil qui s’ouvrit délicatement. Le vent glacial s’engouffra à l’intérieur et vint frapper le visage cagoulé de Ben qui tirait profit de sa combinaison rétentrice de chaleur pour ne pas succomber au froid intense environnant. L’escouade courut en direction de l’ouverture et se jeta dans le vide.
14 février 2051 – Antarctique
La visibilité était très mauvaise tant le vent soufflait fort, ce qui était une caractéristique bien connue de ce continent. Après de longues secondes de chute libre, nos 4 amis touchèrent le sol à quelques dizaines de mètres de l’association de bases scientifiques décrites par Eline. Ils s’approchèrent doucement afin de chercher celle qui les intéressait. Ben et ses compagnons se baladèrent au milieu des bases mais ne trouvèrent que des bases connues de tous telle que la base Princesse Elisabeth, première base de l’Antarctique dite « écologique » mise en place par la Belgique au début des années 2000. Les amis avaient du mal à se mouvoir tant les rafales de vent glacé étaient de haute intensité et jusqu’ici aucunes traces de cette foutue base scientifique suspecte qu’ils devaient fouiller. Cela commençait à énerver Ben qui ne rêvait que de trouver endroit au chaud. Après avoir relevé le nom de toutes les bases, ils avancèrent plus loin à la recherche d’une base isolée comme devait sûrement l’être SR Biotech. Après 10 minutes de marches dans des conditions dantesques, ils tombèrent sur une grande et haute base dont la porte d’entrée montrait les lettres SRB écrites en oranges sur un fond noir. « C’est bon, on a trouvé » déclara James.
Les camarades décidèrent de faire le tour du bâtiment avant d’y entrer afin de voir si certaines informations pourraient être récupérées à l’extérieur de la base scientifique. Il s’agissait d’une grande construction qui semblait être en matériau composite sombre que Ben n’avait jamais vu auparavant. Les murs étaient recouverts d’une couche de glace qui s’était formée sur les parois qui donnaient l’impression qu’il s’agissait d’un palais de glace, ce qui n’était guère le cas, bien évidemment. Cette petite promenade autour de SRB n’apporta strictement aucune information à Anderwoods et compagnie. La seule chose qu’ils pouvaient en tirer c’était que cette base semblait effectivement désertée car aucune lumière ne s’échappait de l’intérieur du bâtiment. Jack McBride ouvrait la marche et se dirigea vers la porte d’entrée, une fois qu’ils furent arrivés celui-ci lâcha :
« Les gars, il est temps d’entrer »
Ses compagnons acquiescèrent d’un mouvement de tête vertical. Benjamin surveillait de près l’ancien compagnon de mission de Ned. Depuis toutes les péripéties qu’il avait traversées, s’il y avait bien une chose que le fils de Frank avait retenu c’était bien de ne plus faire confiance à personne.
14 février 2051 – QG de la CIA, Langley
7 heures précises, le réveil laissa résonner son horrible bruit strident dans toute la petite salle d’interrogatoire, Benjamin Anderwoods sursauta et son petit cœur battait allégrement dans sa poitrine musclée. Il reçut un texto de son ex-compagne Stephany pour la St-Valentin, « Connasse », pensa-t-il tout en s’habillant. L’homme aux longs cheveux noirs sortit de sa chambre de fortune et se dirigea vers la piste de décollage de la CIA où l’attendait un Jet de l’armée réquisitionné par l’Agence, celui qui était chargé de les emmener jusqu’en Antarctique. La neige tombait abondamment en ce 14 février, un épais manteau blanc recouvrait le paysage à perte de vue. Ben et ses amis posèrent le pied dans l’appareil et s’installèrent sur les sièges en velours rouge de ce dernier. Des sacs contenant tout l’équipement que leur fournissait la CIA se trouvaient dans une armoire à côté du buffet froid. Le repas était servi dans l’avion afin de permettre à Anderwoods et sa bande de se restaurer pendant ce long voyage qu’ils allaient entreprendre jusqu’à leur destination polaire. Benjamin n’était pas vraiment rassuré à l’idée de voyager dans un appareil sans pilote qui était contrôlé depuis Langley. Ce n’était pourtant pas la première fois qu’il devait voyager dans pareil type d’appareil. Cependant, le fils de Frank ne faisait toujours pas confiance à ces drones, pas plus qu’il leur faisait confiance la première fois qu’il mit un pied à bord de ce type d’appareil. La première fois, il s’en souvenait très bien, c’était lors du voyage jusque Versailles pour aller faire la guerre aux européens. « Un des plus grande connerie de mon existence », pensa-t-il.
14 février 2051 – Avion Militaire Stark 7
L’appareil survolait à présent Washington DC, Benjamin put observer à quel point la ville était détruite. Les vitrines des magasins étaient brisées, les voitures en flammes et les créatures se pavanaient dans la rues à la recherche d’un humain à déguster « Ned est vraiment devenu un monstre comme cela ? Sur le documentaire vidéo le monstre lui ressemblait vachement », pensa-t-il. On pouvait voir la lueur bleue éclatante des yeux de ces créatures démoniaques à plusieurs mètres malgré le brouillard épais et la pénombre qui régnaient sur la ville en ce matin de la Saint Valentin. L’avion militaire prit de plus en plus d’altitude et il était maintenant impossible d’apercevoir les Azaners à travers les hublots de l’appareil dans lequel était installé Ben et ses compagnons. Il était toujours néanmoins possible d’observer le chaos qui s’était emparé de la ville, et même du pays tout entier qui était comme immobilisé depuis trois longues semaines. Anderwoods détacha ses yeux de ce spectacle désagréable et partit à la conquête du buffet froid qui leur servait de petit déjeuner. Il attrapa un pain au chocolat et quatre tartines qu’il dégusta recouvertes d’une fine couche de pâte à tartiner chocolatée qu’il s’empressa de déguster avec plaisir. Après son repas, l’ancien Ranger se commanda un café à la machine afin de faire passer son repas qui était « un peu sec » sans une boisson.
Le jet de l’Agence contrôlé à distance par un de ses plus brillant pilote de drones Eline Redalk, se trouvait à présent au-dessus de l’Amérique du Sud et il était facile d’observer que cette partie du continent était rongée par le même mal qui frappait sa partie nordique. Le virus s’était propagé petit à petit vers le bas du continent, telles les espèces chimiques lors d’un phénomène de diffusion non perturbée par l’agitation. Les pays sud-américains n’ayant pas le même budget que les USA, peu de de centres de quarantaines furent mis en place et de ce fait peu monde fut sauvé. La plus grosse majorité de la population fut emportée par le mal et commença à leur tour par rôder dans les rues à la recherche des pauvres derniers hommes, femmes ou enfants qui n’avaient pas encore lâchés prise. Ben adressa une pensée émue pour tous ces pauvres gens qui n’avaient pas eu l’occasion de se défendre face à cette menace et s’endormit dans un des lits aux matelas bleu roi qui avaient été disposés dans l’appareil pour le voyage « Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit, le voyage va encore être long, c’est maintenant ou jamais », pensa-t-il.
Benjamin se réveilla plusieurs heures plus tard et était maintenant pris par une sensation de faim intense. L’ancien Ranger s’approcha du buffet et s’aperçut avec surprise que ce dernier avait été changé pour correspondre à un repas de midi, bien que cette heure avait été largement dépassée. Après avoir saisi plusieurs tranches de fromage jeune et un morceau de baguette, il s’approcha de ses compagnons qui étaient en train de discuter afin de passer le temps. Ben s’assit et s’incrusta dans la conversation tout en dévorant son morceau de baguette.
« Salut les mecs. Cette sieste m’a fait beaucoup de bien ! Vous parlez de quoi ?
- On était en train de discuter de tout et de rien, de ce qu’on avait fait entre notre verre et l’arrivée de ce foutu virus. D’ailleurs, toi, tu ne nous as jamais dit ce que tu avais fait ensuite.
- Rien de bien passionnant j’en ai bien peur, Robert. Je me suis définitivement séparé de Stephany par téléphone depuis ma cellule au centre, je commençais à trouver cette situation de plus en plus ridicule. Elle m’a d’ailleurs envoyé un texto ce matin en me demandant si je comptais revenir et qu’elle avait encore des sentiments pour moi blablabla. Je ne lui ai même pas répondu à vrai dire. Je regrette juste de ne pas avoir pu voir encore le p’tit Ben une dernière fois, ciel qu’il est mignon ce gosse ! Pour ce qui est du travail … »
La conversation fut interrompue par la douce voix de la pilote : « Nous sommes arrivés au-dessus de l’Antarctique, nous allons vous lâcher dans les airs au niveau de cette association de bases scientifiques qui orne ce continent. Nous sommes pratiquement convaincus que vous ne trouverez pas celle que vous cherchez en plein milieu. Vous cherchez donc une base qui appartient à Science Recon Biotechnology. Je vous souhaite bonne chance, je poserai l’appareil en mode camouflage optique un peu plus loin, à un endroit où personne ne pourra le voir. Prévenez-moi lorsque vous voudrez repartir et je vous ramènerai à la maison. En attendant vous pouvez revenir à l’avion quand vous voulez pour vous reposer. La position du jet sera transférée sur vos tablettes. ». Les gars se levèrent et enfilèrent leur combinaison bloquant la chaleur et la recouvrirent par le wingsuit fourni par la CIA. Après avoir placé leur sac sur le dos, ils s’approchèrent de la queue de l’appareil qui s’ouvrit délicatement. Le vent glacial s’engouffra à l’intérieur et vint frapper le visage cagoulé de Ben qui tirait profit de sa combinaison rétentrice de chaleur pour ne pas succomber au froid intense environnant. L’escouade courut en direction de l’ouverture et se jeta dans le vide.
14 février 2051 – Antarctique
La visibilité était très mauvaise tant le vent soufflait fort, ce qui était une caractéristique bien connue de ce continent. Après de longues secondes de chute libre, nos 4 amis touchèrent le sol à quelques dizaines de mètres de l’association de bases scientifiques décrites par Eline. Ils s’approchèrent doucement afin de chercher celle qui les intéressait. Ben et ses compagnons se baladèrent au milieu des bases mais ne trouvèrent que des bases connues de tous telle que la base Princesse Elisabeth, première base de l’Antarctique dite « écologique » mise en place par la Belgique au début des années 2000. Les amis avaient du mal à se mouvoir tant les rafales de vent glacé étaient de haute intensité et jusqu’ici aucunes traces de cette foutue base scientifique suspecte qu’ils devaient fouiller. Cela commençait à énerver Ben qui ne rêvait que de trouver endroit au chaud. Après avoir relevé le nom de toutes les bases, ils avancèrent plus loin à la recherche d’une base isolée comme devait sûrement l’être SR Biotech. Après 10 minutes de marches dans des conditions dantesques, ils tombèrent sur une grande et haute base dont la porte d’entrée montrait les lettres SRB écrites en oranges sur un fond noir. « C’est bon, on a trouvé » déclara James.
Les camarades décidèrent de faire le tour du bâtiment avant d’y entrer afin de voir si certaines informations pourraient être récupérées à l’extérieur de la base scientifique. Il s’agissait d’une grande construction qui semblait être en matériau composite sombre que Ben n’avait jamais vu auparavant. Les murs étaient recouverts d’une couche de glace qui s’était formée sur les parois qui donnaient l’impression qu’il s’agissait d’un palais de glace, ce qui n’était guère le cas, bien évidemment. Cette petite promenade autour de SRB n’apporta strictement aucune information à Anderwoods et compagnie. La seule chose qu’ils pouvaient en tirer c’était que cette base semblait effectivement désertée car aucune lumière ne s’échappait de l’intérieur du bâtiment. Jack McBride ouvrait la marche et se dirigea vers la porte d’entrée, une fois qu’ils furent arrivés celui-ci lâcha :
« Les gars, il est temps d’entrer »
Ses compagnons acquiescèrent d’un mouvement de tête vertical. Benjamin surveillait de près l’ancien compagnon de mission de Ned. Depuis toutes les péripéties qu’il avait traversées, s’il y avait bien une chose que le fils de Frank avait retenu c’était bien de ne plus faire confiance à personne.
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