-~ The Return of Evil ~-
Par : Misaki-Senpai
Genre : Action , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 30
Désavantage certain...
Publié le 25/10/13 à 22:44:21 par Misaki-Senpai
Nous entrâmes dans le bâtiment ancestral douée d'une architecture quasi-parfaite à mes yeux, non : à nos yeux. Le sol était parsemé de dalles brunes éclatantes, ce qui m'étonnait agréablement vu l'âge du temple. Deux sculptures en forme d'animaux mythiques prenaient place, de chaque côté de l'escalier, tout de pierres et de terre cuite constitué. Je remarquai un quatuor de flambeaux bordant la rampe de celui-ci, et de magnifiques colonnes gravées resplendissaient la salle. Nous montâmes les marches et vîmes deux Armos – sortes de statues rocailleuses s'animant lorsqu'on les frappe où que l'on s'en approche trop –, apparemment endormis.
Nous passâmes loin de ces créatures, et deux chemins nous faisaient solidement face. En voyant cela, je compris qu'un passage était destiné à être franchis en deuxième, et donc l'autre en priorité. Une Triforce se dessinait sur un bloc de roc d'une immensité peu commune. Je voulus apposer ma main dessus, mais elle ne bougeait pas du moindre... Saria posa donc ma main sur le signe, retira mon anneau empêchant toute tentative de pouvoir, puis je relâchai un minimum de pouvoir pour ne pas en user inutilement. Le cube brilla vivement, se réduisit quelques peu, et éclata... Encore une fois, la magie de Saria nous avait été utile : elle avait érigé un mur de ronce impénétrable, pour éviter que l'explosion rocailleuse ne nous atteigne.
Nous observâmes avec simultanéité la profondeur du passage, puis je pris la parole.
«- À partir de maintenant, il nous faudra former notre stratégie. Je m'explique : nous mettrons en place l'ordre dans lequel je nous ai préparés, puis nous avancerons comme ça.
- Oui, mais... tu es blessé !
- Ça ne change en rien la formation que j'ai élaborée. Je suis au milieu, et les combattants, vous, êtes devant et derrière moi. Je ne risque donc rien. Mais, ce qui est sûr, c'est que ma mobilité à tout intérêt à revenir avant que nous arrivions aux trois sorcières, parce que sinon, on est mal partis, dis-je, le sourire aux lèvres.
- On laisse comme ça, alors, dit Pryscia. Bon, nous y allons.
- Exactement, c'est parti. »
Nous nous mîmes donc en route, dans l'obscurité la plus totale. Je voulus déclencher une infime boule de feu, mais mon immobilité m'en empêchait... Cela commençait à m'horripiler : étant privé de tout mouvement de bras, je devenais inutile. Nous terminâmes le couloir, puis sortîmes dans une énorme salle. Au centre du mur de fond se trouvait une statue représentant une femme, comme sur la façade extérieure du temple où nous nous trouvions. Son visage semblait quelques peu fissuré, et un joyau écarlate prenait place au-dessus de sa poitrine de roc. Cette pièce ne renfermait rien de particulier, nous voulions donc partir au plus vite d'ici.
Malheureusement, la porte se bloqua et nous fûmes enfermés. Essayant de trouver un quelconque mécanisme, mes amis fouillèrent la pièce de fond en comble, mais rien, absolument rien ne semblait ouvrir la porte rocailleuse.
«- Heu... Comment on ouvre ? dis-je, intrigué.
- Alors là, si seulement je le savais...
- Saria, ne sois pas si défaitiste, il y a toujours un moyen de sortir d'une pièce.
En effet, son hypothèse s'avéra juste, peut-être un peu trop : deux Dinolfos nous fîmes face, accompagné par un grand Stalfos, bien plus armé que tout ceux que j'avais pus observer auparavant. Etrangement, il ne portait pas de bouclier, mais deux lames, deux lames identiques et destructrices. Sans mes bras, je ne pourrais être utile ici... Je pris un bref élan et me positionnai devant les jambes croisées de la statue. Je me souvenais qu'une fois, j'avais utilisé mon pouvoir pour me guérir de ma blessure au tibia. Je tentai la même chose, mais sans bouger mes deux membres, cela serait quelques peu difficile... J'insufflai à mes mains un bref flux de magie, que je fis remonter dans mes bras. Une fois ceci fait, le plus compliqué restait à venir : il fallait que je garde constamment en action mon parcourt de magie jaune or.
Mon corps maintenait ce rythme, ainsi que mon esprit. Mon bras droit se rétablissait, jusqu'à guérir de moitié. Ensuite vint le tour de mon bras gauche. Je n'eus le temps de finir mon bras gauche qu'un Dinolfos vint perturber ma guérison. En réponse à la sienne, et de toute la puissance restée endormie, je lui assénai un de mes plus violent coup, aidé de ma lame. Le monstre voltigea au sol, puis je le finis grâce à une botte, que Saria m'avait enseignée un peu plus tôt : je m'élançai en l'air, épée en avant, puis la plantai en le corps du monstre qui agonisa puis mourut...
Je remarquai ensuite quelque chose : mon bras gauche, quant à lui, n'était pas revitalisé, il ne mouvait pas... C'était sûrement dû à l'attaque du monstre lors de ma guérison. Bref, je me détournai de mes pensées frivoles en cette situation, puis analysai les monstres de la pièce en laquelle nous nous trouvions. Seul mon bras droit bougeait, mais c'était amplement suffisant. Je m'approchai de l'autre Dinolfos, et vis que Saria combattait face à lui. Elle l'immobilisa grâce à ses lierres, puis je l'achevai en passant par-dessus ses épaules, blessant son crâne de manière féroce... Seul le Stalfos restait, mais je doutais fort que l'on puisse le battre aussi facilement que ses deux congénères écaillés.
Mes amis se positionnèrent sur la défensive, tandis que je cherchais une faille dans la défense quasi-parfaite du monstre à la puissante ossature, tenant sur deux grandes et puissantes larmes en avant. Nabooru s'élança sur lui qui n'eut aucun mal à la renvoyer près de nous, néanmoins douloureusement. Saria utilisa ses racines qui furent rapidement coupées en plusieurs parties. Nous tentâmes de le frapper, mais sans grand résultat... Je passai entre mes coéquipiers, puis assénai un coup, ayant analysé la moindre partie de son corps à l'action.
Ma frappe passa aisément sa défense, et vint choquer plusieurs de ses côtes, qui furent brisées sur le champ. Cela provoqua une rage incommensurable en l'ennemi qui me regardait, avec le plus grand et effrayant regard haineux que je n'avais jamais vu auparavant. Je préférai reculer, laissant une distance entre notre ennemi commun et moi... Malheureusement, le squelette n'était pas de cet avis. Il fit un geste circulaire avec ses lames, en s'élançant sur moi à toute vitesse. Son crâne tout entier me paraissait si loin, et si proche en même temps. Les deux guerrières Gerudos se mirent devant moi, et chacune d'elles parèrent une épée...
Sous le poids de leurs puissances, le monstre décharné se stoppa et recula, déséquilibré. Je profitai de cet instant pour lui asséner un violent coup d'épée enduite d'un minimum de pouvoir ardent, de minuscules flammes. Je lui brisai deux côtes encore. Le monstre hurla et me fis une balayette, puis je subis un violent coup d'écu. Sous le coup de l'équipement ferreux, ma vue se troublait, ainsi je préférai m'éloigner en rampant. Je sentis quelque chose m'attraper le pied, et me tirer en arrière. Je voulus le trancher d'un coup net, mais je vis une des lierres de Saria te tirer vers leur maîtresse.
«- Merci, j'ai vraiment cru que j'allai y passer...
- Oui, mais la prochaine fois n'essaye pas de trancher la plante, me dit-elle. Allez, je vais te soigner.
Elle apposa sur mon visage ses mains brillant d'une lumière verte, qui fit disparaître mes égratignures, bien que superficielles.
- Merci, mais ce n'était pas la peine, tu sais. Le but maintenant, c'est d'économiser un maximum de magie.
- Oui, je le comp...
- On ne vous dérange pas trop ? crièrent les deux guerrières, dans une mauvaise situation.
- Merde... J'arrive. Saria, reste-là pour soigner, ou pour bloquer le monstre, s'il-te-plaît.
- Bien. »
Ma lame encore en flammes, j'allai aider les deux guerrières, qui tentaient plus ou moins de garder leurs parades actives. Peu après, Pryscia riposta lourdement, ce qui eu pour effet de lui briser ses dernières côtes. Il tomba alors en morceaux, de par le sol. Maintenant, nous devions l'exterminer à l'aide d'une bombe, ou d'un objet hautement explosif. Mais comment faire ?!
«- Je vous demande : qui a pensé à rapporter quelques bombes ?
- Hé bien...
- Je ne sais pas...
- Mais merde, ce monstre va se relever si on ne fait rien ! cria Link.
- Attendez, répondit Saria.
Elle empoigna deux puissants lierres qui immobilisèrent les membres au sol. Puis j'eus une idée avisée.
- Je vais tenter de lancer un projectile de glace, puis un de feu.
- Pas mal, fit Link, ça devrait marcher, essaie donc ! »
Je formai une masse de glace suffisante, bien qu'un peu volumineuse, puis l'envoyai sur les reste osseux. Ils gelèrent et solidifièrent rapidement. Je créai ensuite une boule de feu de taille parfaitement équilibrée, et la balançai de toute ma puissance sur le corps inerte du squelette. Il explosa en d'innombrables petites particules. Après avoir fait ça, je me rappelais de ma propre consigne, maintenant enfreigne :
« Le but maintenant, c'est d'économiser un maximum de magie. »
Je tombai sur mes genoux au sol. Mes membres à peine – ou loin d'être rétablis comme il le fallait – guéris, j'avais déjà utilisé une masse de magie supérieur à mes attentes. Il nous fallait maintenant avancer dans le temple.
Mais je me souvins brièvement de la porte close. Comment faire pour la franchir ?
«- Hé, regardez ça, fit Saria, la porte se déverrouille !
- Ouf..., fis-je, calmé par cette remarque.
- Allons-y, finit Link. »
Je me levai, puis nous passâmes l'arche de pierre, soutenue par la porte rocailleuse.
Nous passâmes loin de ces créatures, et deux chemins nous faisaient solidement face. En voyant cela, je compris qu'un passage était destiné à être franchis en deuxième, et donc l'autre en priorité. Une Triforce se dessinait sur un bloc de roc d'une immensité peu commune. Je voulus apposer ma main dessus, mais elle ne bougeait pas du moindre... Saria posa donc ma main sur le signe, retira mon anneau empêchant toute tentative de pouvoir, puis je relâchai un minimum de pouvoir pour ne pas en user inutilement. Le cube brilla vivement, se réduisit quelques peu, et éclata... Encore une fois, la magie de Saria nous avait été utile : elle avait érigé un mur de ronce impénétrable, pour éviter que l'explosion rocailleuse ne nous atteigne.
Nous observâmes avec simultanéité la profondeur du passage, puis je pris la parole.
«- À partir de maintenant, il nous faudra former notre stratégie. Je m'explique : nous mettrons en place l'ordre dans lequel je nous ai préparés, puis nous avancerons comme ça.
- Oui, mais... tu es blessé !
- Ça ne change en rien la formation que j'ai élaborée. Je suis au milieu, et les combattants, vous, êtes devant et derrière moi. Je ne risque donc rien. Mais, ce qui est sûr, c'est que ma mobilité à tout intérêt à revenir avant que nous arrivions aux trois sorcières, parce que sinon, on est mal partis, dis-je, le sourire aux lèvres.
- On laisse comme ça, alors, dit Pryscia. Bon, nous y allons.
- Exactement, c'est parti. »
Nous nous mîmes donc en route, dans l'obscurité la plus totale. Je voulus déclencher une infime boule de feu, mais mon immobilité m'en empêchait... Cela commençait à m'horripiler : étant privé de tout mouvement de bras, je devenais inutile. Nous terminâmes le couloir, puis sortîmes dans une énorme salle. Au centre du mur de fond se trouvait une statue représentant une femme, comme sur la façade extérieure du temple où nous nous trouvions. Son visage semblait quelques peu fissuré, et un joyau écarlate prenait place au-dessus de sa poitrine de roc. Cette pièce ne renfermait rien de particulier, nous voulions donc partir au plus vite d'ici.
Malheureusement, la porte se bloqua et nous fûmes enfermés. Essayant de trouver un quelconque mécanisme, mes amis fouillèrent la pièce de fond en comble, mais rien, absolument rien ne semblait ouvrir la porte rocailleuse.
«- Heu... Comment on ouvre ? dis-je, intrigué.
- Alors là, si seulement je le savais...
- Saria, ne sois pas si défaitiste, il y a toujours un moyen de sortir d'une pièce.
En effet, son hypothèse s'avéra juste, peut-être un peu trop : deux Dinolfos nous fîmes face, accompagné par un grand Stalfos, bien plus armé que tout ceux que j'avais pus observer auparavant. Etrangement, il ne portait pas de bouclier, mais deux lames, deux lames identiques et destructrices. Sans mes bras, je ne pourrais être utile ici... Je pris un bref élan et me positionnai devant les jambes croisées de la statue. Je me souvenais qu'une fois, j'avais utilisé mon pouvoir pour me guérir de ma blessure au tibia. Je tentai la même chose, mais sans bouger mes deux membres, cela serait quelques peu difficile... J'insufflai à mes mains un bref flux de magie, que je fis remonter dans mes bras. Une fois ceci fait, le plus compliqué restait à venir : il fallait que je garde constamment en action mon parcourt de magie jaune or.
Mon corps maintenait ce rythme, ainsi que mon esprit. Mon bras droit se rétablissait, jusqu'à guérir de moitié. Ensuite vint le tour de mon bras gauche. Je n'eus le temps de finir mon bras gauche qu'un Dinolfos vint perturber ma guérison. En réponse à la sienne, et de toute la puissance restée endormie, je lui assénai un de mes plus violent coup, aidé de ma lame. Le monstre voltigea au sol, puis je le finis grâce à une botte, que Saria m'avait enseignée un peu plus tôt : je m'élançai en l'air, épée en avant, puis la plantai en le corps du monstre qui agonisa puis mourut...
Je remarquai ensuite quelque chose : mon bras gauche, quant à lui, n'était pas revitalisé, il ne mouvait pas... C'était sûrement dû à l'attaque du monstre lors de ma guérison. Bref, je me détournai de mes pensées frivoles en cette situation, puis analysai les monstres de la pièce en laquelle nous nous trouvions. Seul mon bras droit bougeait, mais c'était amplement suffisant. Je m'approchai de l'autre Dinolfos, et vis que Saria combattait face à lui. Elle l'immobilisa grâce à ses lierres, puis je l'achevai en passant par-dessus ses épaules, blessant son crâne de manière féroce... Seul le Stalfos restait, mais je doutais fort que l'on puisse le battre aussi facilement que ses deux congénères écaillés.
Mes amis se positionnèrent sur la défensive, tandis que je cherchais une faille dans la défense quasi-parfaite du monstre à la puissante ossature, tenant sur deux grandes et puissantes larmes en avant. Nabooru s'élança sur lui qui n'eut aucun mal à la renvoyer près de nous, néanmoins douloureusement. Saria utilisa ses racines qui furent rapidement coupées en plusieurs parties. Nous tentâmes de le frapper, mais sans grand résultat... Je passai entre mes coéquipiers, puis assénai un coup, ayant analysé la moindre partie de son corps à l'action.
Ma frappe passa aisément sa défense, et vint choquer plusieurs de ses côtes, qui furent brisées sur le champ. Cela provoqua une rage incommensurable en l'ennemi qui me regardait, avec le plus grand et effrayant regard haineux que je n'avais jamais vu auparavant. Je préférai reculer, laissant une distance entre notre ennemi commun et moi... Malheureusement, le squelette n'était pas de cet avis. Il fit un geste circulaire avec ses lames, en s'élançant sur moi à toute vitesse. Son crâne tout entier me paraissait si loin, et si proche en même temps. Les deux guerrières Gerudos se mirent devant moi, et chacune d'elles parèrent une épée...
Sous le poids de leurs puissances, le monstre décharné se stoppa et recula, déséquilibré. Je profitai de cet instant pour lui asséner un violent coup d'épée enduite d'un minimum de pouvoir ardent, de minuscules flammes. Je lui brisai deux côtes encore. Le monstre hurla et me fis une balayette, puis je subis un violent coup d'écu. Sous le coup de l'équipement ferreux, ma vue se troublait, ainsi je préférai m'éloigner en rampant. Je sentis quelque chose m'attraper le pied, et me tirer en arrière. Je voulus le trancher d'un coup net, mais je vis une des lierres de Saria te tirer vers leur maîtresse.
«- Merci, j'ai vraiment cru que j'allai y passer...
- Oui, mais la prochaine fois n'essaye pas de trancher la plante, me dit-elle. Allez, je vais te soigner.
Elle apposa sur mon visage ses mains brillant d'une lumière verte, qui fit disparaître mes égratignures, bien que superficielles.
- Merci, mais ce n'était pas la peine, tu sais. Le but maintenant, c'est d'économiser un maximum de magie.
- Oui, je le comp...
- On ne vous dérange pas trop ? crièrent les deux guerrières, dans une mauvaise situation.
- Merde... J'arrive. Saria, reste-là pour soigner, ou pour bloquer le monstre, s'il-te-plaît.
- Bien. »
Ma lame encore en flammes, j'allai aider les deux guerrières, qui tentaient plus ou moins de garder leurs parades actives. Peu après, Pryscia riposta lourdement, ce qui eu pour effet de lui briser ses dernières côtes. Il tomba alors en morceaux, de par le sol. Maintenant, nous devions l'exterminer à l'aide d'une bombe, ou d'un objet hautement explosif. Mais comment faire ?!
«- Je vous demande : qui a pensé à rapporter quelques bombes ?
- Hé bien...
- Je ne sais pas...
- Mais merde, ce monstre va se relever si on ne fait rien ! cria Link.
- Attendez, répondit Saria.
Elle empoigna deux puissants lierres qui immobilisèrent les membres au sol. Puis j'eus une idée avisée.
- Je vais tenter de lancer un projectile de glace, puis un de feu.
- Pas mal, fit Link, ça devrait marcher, essaie donc ! »
Je formai une masse de glace suffisante, bien qu'un peu volumineuse, puis l'envoyai sur les reste osseux. Ils gelèrent et solidifièrent rapidement. Je créai ensuite une boule de feu de taille parfaitement équilibrée, et la balançai de toute ma puissance sur le corps inerte du squelette. Il explosa en d'innombrables petites particules. Après avoir fait ça, je me rappelais de ma propre consigne, maintenant enfreigne :
« Le but maintenant, c'est d'économiser un maximum de magie. »
Je tombai sur mes genoux au sol. Mes membres à peine – ou loin d'être rétablis comme il le fallait – guéris, j'avais déjà utilisé une masse de magie supérieur à mes attentes. Il nous fallait maintenant avancer dans le temple.
Mais je me souvins brièvement de la porte close. Comment faire pour la franchir ?
«- Hé, regardez ça, fit Saria, la porte se déverrouille !
- Ouf..., fis-je, calmé par cette remarque.
- Allons-y, finit Link. »
Je me levai, puis nous passâmes l'arche de pierre, soutenue par la porte rocailleuse.
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