Soeur_Germaine_et_le_couvent_hante
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 10
Ghosts busters
Publié le 19/08/13 à 01:10:45 par Pseudo supprimé
Je sortis alors le carton rempli d'armes de destructions dans le couloir des dortoirs (KOM JE REFAI LES MEM RIM DE CHAT PITRE EN CHAT PITRE), avant de réveiller mes compagnons. Fantomes ou pas, ils voulaient la guerre, ils l'auront ! :
Une fois tout le monde debout, je distribuais des armes à tout le monde.
"Maintenant, ça va chiay ", dis-je afin de motiver les troupes.
Nous descendimes les escaliers qui menaient vers la cuisine -j'en profitais pour prendre une pomme (KOM C BON LAY POM ) - avant de nous rendre dans l'entrée du couvent.
A peine avions (KOM JAIM LES ZA VION ) -nous fait un pas dans le grand hall que nous vimes des formes de vie à notre droite.
"Regardez les amis, ce sont eux! On va leur faire bouffer tout plein d'amour, à ces gros durs!"
OMG (Fake, je vous rappelle que je ne crois pas en Dieu )! Les putains de nounours de la dernière fois étaient de retour, armés de battes de baseball ou de crosses pour la plupart. J'avais complètement occulté (KOM MON VOQUE A BULAIRE IL EST TROO D5RK ) de demander à Catherine et aux autres zozos pourquoi ils avaient considéré ces bestioles comme des menaces (Enfin, plutôt Catherine et Gadget, Abraham je crois avoir compris pourquoi il tenait tant à faire plus ample connaissance KOM TOU A LEUR G DIT TROO D5RK O LIEU DE TROO D4RK - KOM JE HAPPE POUR FAIR DU RAN PLI SAGE SPOTTED ).
Je pris l'initiative d'essayer d'ouvrir le dialogue avec eux:
"Les gars (et les garces ), nous ne voulons pas nous battre. J'avoue ne pas avoir compris pourquoi certains de mes collègues vous ont attaqué la dernière fois, mais en tout cas, si vous voulez la fight, il faut voir avec celle-là (je désignais Catherine), c'est elle qui à tout organisé! "
"Mais on ne veux pas lui faire de calins à elle! On ne veut en faire qu'à des garçons, car nous sommes les Gaysounours nous, et non pas ces fêtards orgiesques de Bisounours!" me répondit l'un d'eux (Catherine se signa - bien les homophobes de cathos qui ne reconnaissent pas l'homosexualité? ).
"Mais alors", repris-je, "pourquoi n'avez-vous pas fait à calin à Gadget et à Abraham hier?"
"Mais on l'a fait", me répondirent les nounours en coeur en me montrant tous leurs anus dilatés. Je peux vous assurer que Ouilliamme et Finot n'ont rien subi comparé à eux . Si cela ne m'étonnait pas d'Abe, en revanche, je pense que Gadget a du faire un Go-Go-Gadget-Au-Jean-Luc-Delarue pour être aussi... disons énervé.
"Mais pourtant, quand je suis allée me coucher, vous vous battiez... Oh et puis zut, je me refuse à chercher à comprendre! Au fait, savez-vous que Catherine n'aime pas les gays? No Fake en plus cette fois! "
Les Gaysounous commencèrent à lui jeter un regard noir.
"Et puis, je crois qu'elle n'aime pas les nounours non plus, pourquoi croyez-vous qu'elle vous a attaqué hier? "
Catherine était, je vous le rappelle, toujours défigurée par mon coup de boule et les brulures du lance-flamme, mais je persistais à penser que des coups de crosse pourraient achever son relooking express ... Oh mais attendez, le lance-flamme! Je l'avais complètement occulté (KOM SA KOMMENSE A ME K C LAY KOUILLS SE MO ) celui-là!
"Changement de programme, bande de hippies", dis-je alors qu'ils s'approchaient de Catherine, l'air menaçant, alors que celle-ci commençait à agiter son petit crucifix tout pourri devant elle.
Je leur lançais alors une bonne dose de napalm sur laggle. Ca crâme vite un Gaysounours . Bien évidemment, pour compenser l'absence de coups de crosse sur laggle de Catherine qui découla de mon attaque, je pris bien soin de déraper un peu sur elle -Oups! - même si on ne voyait pas la différence entre avant et après, tellement je l'avais déjà cramée. En revanche, ses hurlements de douleurs étaient beaucoup plus significatifs
Après cette harassante (KOM JE RE KOMENS AVAYC MON VOQUE A BULAIRE AY LA BEAU RAY ) victoire, nous continuâmes vers le fond de l'église. Nous étions dans un couloir (KOM JE RE COMMENS LAY RIMS EN "OIR" ) étroit qui menait aux reliques conservées dans cet endroit (KOM FINALEMEN C D RIMS EN "ROIT" ), lorsque soudain, les torches qui illuminait celui-ci s'éteignirent. L'instant d'après, un rire froid et lointain se fit entendre.
"Ok les gars (et la garce - KOM JE RE FAI LA MEM BLAG POURI ), sortez vos armes!"
Tandis que je tint fermement mon lance-flamme devant moi (j'avais tellement envie de me farcir cette voix que je refusais d'éclairer le couloir avec mon arme, de peur qu'il refuse de venir ), Chuck sorti son AK-47, Abe son couteau de cuisine, Pedobear son fusil à pompe, Gadget son Gadget-Au-Marteau (ah ok ), et Catherine sortit son petit crucifix de merde
BAM - AAAAAAAARGH!
"Par tous mes gadgets! J'ai eu le fantome! J'ai eu le fantome! Vu comme il était moche, ça ne pouvait être qu'un agent de Mad!"
Je rallumais alors une torche pour voir le résultat. Catherine était maintenant à terre, et elle saignait de la seule partie de son front qui n'était pas encore carbonisée.
"Bordel de merde de nom d'un Gadget! J'étais pourtant sur que c'était un fantome!"
"Ce n'est pas grave, monsieur" reprit Catherine, un peu sonnée, "c'est juste le Tout-Puissant qui voulait tester ma résistance aux épreuves de la vie! Et je ne me laisse pas abattre! Gloire au Seigneur! Prions pour lui, c'est un miracle! "
Malgré toutes les années qu'on avait passées ensembles à St-Barnabé, je fus absolument incapable de savoir si c'est le coup sur la tête qui lui faisait dire ces conneries, ou bien si c'était tout simplement naturel.
"Catherine, taaaaaaaa..."
Elle se signa d'avance.
"... pas mal j'espayre? "
Surprise, on pouvait deviner qu'elle souriait sous son visage déformé.
"Oh non ma soeur, mais merci de vous en soucier! "
"Alors prends-toi ça dans laggle! " dis-je en lui donnant un bon coup, du canon du lance-flamme, au même endroit que tout à l'heure.
"Et maintenant? "
"Toujours pas, mais merci de vous en soucier, ma Soeur "
Je réitérais l'opération. Cette fois-ci, j'entendis le bruit agréable d'une machoire qui se brise mélangé à des dents qui volent
"Et maintenant?"
"Foui, là, f'ai mal " me répondit-elle.
Alors que nous repartions vers l'avant, ma torche s'éteignit à nouveau brusquement.
"Dites, si j'ai tout éteint tout à l'heure, c'est pas pour que vous rallumiez", repris la voix froide dont le rire avait glacé l'atmosphère quelques minutes auparavant.
Dans le noir complet, je sentis alors une ombre se rapprocher de moi...
TROTTOIR! (Non, ça n'a aucun rapport, c'est juste pour terminer le chapitre avec une rime en "oir" )
Une fois tout le monde debout, je distribuais des armes à tout le monde.
"Maintenant, ça va chiay ", dis-je afin de motiver les troupes.
Nous descendimes les escaliers qui menaient vers la cuisine -j'en profitais pour prendre une pomme (KOM C BON LAY POM ) - avant de nous rendre dans l'entrée du couvent.
A peine avions (KOM JAIM LES ZA VION ) -nous fait un pas dans le grand hall que nous vimes des formes de vie à notre droite.
"Regardez les amis, ce sont eux! On va leur faire bouffer tout plein d'amour, à ces gros durs!"
OMG (Fake, je vous rappelle que je ne crois pas en Dieu )! Les putains de nounours de la dernière fois étaient de retour, armés de battes de baseball ou de crosses pour la plupart. J'avais complètement occulté (KOM MON VOQUE A BULAIRE IL EST TROO D5RK ) de demander à Catherine et aux autres zozos pourquoi ils avaient considéré ces bestioles comme des menaces (Enfin, plutôt Catherine et Gadget, Abraham je crois avoir compris pourquoi il tenait tant à faire plus ample connaissance KOM TOU A LEUR G DIT TROO D5RK O LIEU DE TROO D4RK - KOM JE HAPPE POUR FAIR DU RAN PLI SAGE SPOTTED ).
Je pris l'initiative d'essayer d'ouvrir le dialogue avec eux:
"Les gars (et les garces ), nous ne voulons pas nous battre. J'avoue ne pas avoir compris pourquoi certains de mes collègues vous ont attaqué la dernière fois, mais en tout cas, si vous voulez la fight, il faut voir avec celle-là (je désignais Catherine), c'est elle qui à tout organisé! "
"Mais on ne veux pas lui faire de calins à elle! On ne veut en faire qu'à des garçons, car nous sommes les Gaysounours nous, et non pas ces fêtards orgiesques de Bisounours!" me répondit l'un d'eux (Catherine se signa - bien les homophobes de cathos qui ne reconnaissent pas l'homosexualité? ).
"Mais alors", repris-je, "pourquoi n'avez-vous pas fait à calin à Gadget et à Abraham hier?"
"Mais on l'a fait", me répondirent les nounours en coeur en me montrant tous leurs anus dilatés. Je peux vous assurer que Ouilliamme et Finot n'ont rien subi comparé à eux . Si cela ne m'étonnait pas d'Abe, en revanche, je pense que Gadget a du faire un Go-Go-Gadget-Au-Jean-Luc-Delarue pour être aussi... disons énervé.
"Mais pourtant, quand je suis allée me coucher, vous vous battiez... Oh et puis zut, je me refuse à chercher à comprendre! Au fait, savez-vous que Catherine n'aime pas les gays? No Fake en plus cette fois! "
Les Gaysounous commencèrent à lui jeter un regard noir.
"Et puis, je crois qu'elle n'aime pas les nounours non plus, pourquoi croyez-vous qu'elle vous a attaqué hier? "
Catherine était, je vous le rappelle, toujours défigurée par mon coup de boule et les brulures du lance-flamme, mais je persistais à penser que des coups de crosse pourraient achever son relooking express ... Oh mais attendez, le lance-flamme! Je l'avais complètement occulté (KOM SA KOMMENSE A ME K C LAY KOUILLS SE MO ) celui-là!
"Changement de programme, bande de hippies", dis-je alors qu'ils s'approchaient de Catherine, l'air menaçant, alors que celle-ci commençait à agiter son petit crucifix tout pourri devant elle.
Je leur lançais alors une bonne dose de napalm sur laggle. Ca crâme vite un Gaysounours . Bien évidemment, pour compenser l'absence de coups de crosse sur laggle de Catherine qui découla de mon attaque, je pris bien soin de déraper un peu sur elle -Oups! - même si on ne voyait pas la différence entre avant et après, tellement je l'avais déjà cramée. En revanche, ses hurlements de douleurs étaient beaucoup plus significatifs
Après cette harassante (KOM JE RE KOMENS AVAYC MON VOQUE A BULAIRE AY LA BEAU RAY ) victoire, nous continuâmes vers le fond de l'église. Nous étions dans un couloir (KOM JE RE COMMENS LAY RIMS EN "OIR" ) étroit qui menait aux reliques conservées dans cet endroit (KOM FINALEMEN C D RIMS EN "ROIT" ), lorsque soudain, les torches qui illuminait celui-ci s'éteignirent. L'instant d'après, un rire froid et lointain se fit entendre.
"Ok les gars (et la garce - KOM JE RE FAI LA MEM BLAG POURI ), sortez vos armes!"
Tandis que je tint fermement mon lance-flamme devant moi (j'avais tellement envie de me farcir cette voix que je refusais d'éclairer le couloir avec mon arme, de peur qu'il refuse de venir ), Chuck sorti son AK-47, Abe son couteau de cuisine, Pedobear son fusil à pompe, Gadget son Gadget-Au-Marteau (ah ok ), et Catherine sortit son petit crucifix de merde
BAM - AAAAAAAARGH!
"Par tous mes gadgets! J'ai eu le fantome! J'ai eu le fantome! Vu comme il était moche, ça ne pouvait être qu'un agent de Mad!"
Je rallumais alors une torche pour voir le résultat. Catherine était maintenant à terre, et elle saignait de la seule partie de son front qui n'était pas encore carbonisée.
"Bordel de merde de nom d'un Gadget! J'étais pourtant sur que c'était un fantome!"
"Ce n'est pas grave, monsieur" reprit Catherine, un peu sonnée, "c'est juste le Tout-Puissant qui voulait tester ma résistance aux épreuves de la vie! Et je ne me laisse pas abattre! Gloire au Seigneur! Prions pour lui, c'est un miracle! "
Malgré toutes les années qu'on avait passées ensembles à St-Barnabé, je fus absolument incapable de savoir si c'est le coup sur la tête qui lui faisait dire ces conneries, ou bien si c'était tout simplement naturel.
"Catherine, taaaaaaaa..."
Elle se signa d'avance.
"... pas mal j'espayre? "
Surprise, on pouvait deviner qu'elle souriait sous son visage déformé.
"Oh non ma soeur, mais merci de vous en soucier! "
"Alors prends-toi ça dans laggle! " dis-je en lui donnant un bon coup, du canon du lance-flamme, au même endroit que tout à l'heure.
"Et maintenant? "
"Toujours pas, mais merci de vous en soucier, ma Soeur "
Je réitérais l'opération. Cette fois-ci, j'entendis le bruit agréable d'une machoire qui se brise mélangé à des dents qui volent
"Et maintenant?"
"Foui, là, f'ai mal " me répondit-elle.
Alors que nous repartions vers l'avant, ma torche s'éteignit à nouveau brusquement.
"Dites, si j'ai tout éteint tout à l'heure, c'est pas pour que vous rallumiez", repris la voix froide dont le rire avait glacé l'atmosphère quelques minutes auparavant.
Dans le noir complet, je sentis alors une ombre se rapprocher de moi...
TROTTOIR! (Non, ça n'a aucun rapport, c'est juste pour terminer le chapitre avec une rime en "oir" )
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