C'était quelqu'un que j'avais déjà rencontré lors d'une de mes aventures, et dont j'avais apprécié la compagnie. Je lui avais dit qu'il pouvait venir pour celle-ci, et vraisemblablement il avait accepté. Je vint à sa rencontre...

"Par tous mes gadgets, mais c'est joli ici!"

L'inspecteur gadget venait tout juste de découvrir la cour du couvent, et semblait enthousiasmé. La dernière fois que je l'avais vu, il poursuivait Catherine dans une vieille auberge ayant la réputation d'être hantée, persuadé qu'il s'agissait en fait "d'un agent de Mad" déguisé. "Une telle mocheté ne peut que porter un masque, et les criminels portent tous des masques", avait-il rajouté

"Oncle Gadget, j'espère que le monsieur qui ressemblait à un ours n'est pas ici cette fois!"

L'inspecteur était accompagné par sa nièce Sophie, ainsi que son chien, Finot (ah ok le nom en mousse ). Je ne sais que peu de choses à propos d'eux, tout du moins que Sophie a tendance à "parler" avec son chien (pauvre gamine ). Celui-ci est connu de toute l'équipe comme étant un fervent adepte du masochisme, il aurait déjà été aperçu dans les plus grandes boites du pays regroupants ces personnes au style de vie si particulier

"OH NON, PAS LUI! "
"WOUF WOUF ONCHE ONCHE WOUF "
( http://www.manga-distribution.fr/md/images/captures/208/2.jpg )

Sophie et Finot paniquèrent et se roulèrent par terre en hurlant. Ils venaient juste de voir apparaitre derrière moi les silhouettes de Frère Pedobear et Frère Abraham, qui avaient eu l'occasion, lors de leur dernière rencontre, de faire plus amplement connaissance ( ) avec, respectivement, Sophie et Finot (re- ).

"Finot!" se réjouit Abraham en déboutonnant son pantalon ( ).

"Mais c'est la charmante petite Sophie!
Tu en as un joli toutou!
Viens, je vais t'en montrer un vrai! Et ne t'inquiètes pas, il ne mord pas... Par contre, il bave un peu ", dit Pedobear en faisant la même action qu'Abe.

"Onc' Gadget, s'il te plait, je préfère rester avec toi!" implora Sophie.

Après m'avoir salué, Gadget répondit.
"Et bien, je ne sais pas... Tu as besoin de moi immédiatement, Germaine?"

Sophie me supplia du regard. Cette jeune fille savait ce qui l'attendait si je monopolisais l'attention de son oncle, et que celui-ci lui disait de rejoindre Pedobear à l'intérieur, qui était d'ailleurs déjà en calebarre
Allais-je laisser une enfant innocente aux mains d'un dangereux prédateur sexuel multirécidiviste?

"Eh bien Gad', puisque tu en parles, j'aimerais que tu ailles voir Catherine... Elle est un peu bouleversée pour le moment, il faudrait que tu ailles la rassurer immédiatement..."

Et quel ne fut pas mon plaisir de voir le visage de la jeune fille se décomposer tandis que son tonton lui intimait l'ordre de suivre Pedobear le temps qu'il revienne! Allez, ça vaut bien un p'tit coup de gnole pour fêter ça!

Tandis que Gadget allait voir Catherine et que Pedobear et Abe accompagnaient respectivement Sophie et Finot dans leur chambre, j'en profita pour aller "conclure" avec Chuck. Celui-ci venait juste de nettoyer tout le bordel laissé par Julien Lepers et venait de regagner sa chambre.

Je rentrais sans toquer et arracha instantanément ma toge de bonne soeur. Chuck était assis sur le lit et me contempla avec des yeux ronds. J'étais déjà complètement nue (ah ok le strip tease abrégé ), et je donnais mon corps, mûr de 78 ans je vous le rappelle, au plaisir de ses yeux (je sais pas si cette phrase veut dire grand chose mais ça fait classe, alors on garde ).
Complètement ébahi, je ne lui laissa pas le temps de souffler en commencant immédiatement à me carresser les seins, que l'âge avait fait descendre au niveau de mon nombril. Je passais mes vieux doigts arthrosés le long des rides qui étaient visible sur la poitrine, avant de finir par une claque magistrale sur mon popotin, qui fit des ondes le long de mes rides (décidément ) pendants plusieurs secondes.

So charming. Irrésistible.

Je n'avais plus qu'à en finir:
"Prends moi, beau barbu poilu!"

"Mais putain de merde ma soeur, mais c'est absolument ign... "

"GO GO GADGET AU VIAGRAAAAAAA!"

Chuck s'était fait couper par Gadget, qui nous épiait depuis l'entrée de la chambre. Il avait sa tête de habituelle en nous fixant ( http://static.programme-tv.net/var/p/l/14/143811.jpg ), mais une petite bosse commença à faire son apparition au niveau de l'entrejambe.

"PAR LES COUILLES DU P'TIT JESUS, QUAND C'EST PAS CATHERINE..."

La tête de Catherine apparut juste au coin de la porte, à côté de Gadget.

"On m'appell... OH!"

Comme vous l'aurez deviné, elle se signa...

"Bon, j'ai compris!"

Mon plan cul étant foutu, je regagnais ma chambre, toujours à poil, et non sans avoir auparavant vidé une bouteille de bourbon, devant l'incrédulité de Chuck, le choc de Catherine et la gaule de Gadget ( ). En passant dans les couloirs, j'entendis des gémissements provenant de la chambre de Pedobear ( ), et des aboyemments venant de la chambre d'Abe ( )

Bref, le soir arriva vite, et nous dinâmes tous ensemble. Catherine nous raconta encore sa vie en nous disant que Sophie, qui pour l'anecdote se tint les fesses toute la soirée en ayant la larme à l'oeil, lui rappellait ses 14 enfants (Noé, Marie, Joshua, Marie-Madeleine, Jean, Théophile [étymologiquement "qui aime dieu" [et oui, "étymologie" ne prend pas de "h" ]], Barnabé [à priori pas de rapport direct avec la bible ici, mais c'est juste pour le délire ], Paul, etc... ).

En rentrant à nos chambres après le diner, Pedobear me posa une question interessante:
"Dis-donc, je ne me suis jamais posé la question, mais maintenant que j'y pense... Qui a été assez aveugle pour pouvoir faire crac-crac au moins 14 fois avec Catherine?"

Comme pour chaque question demandant réflexion, je vidais d'abord une bouteille de rouge:

"Eh bien, immaculée conception, mon Frayre! "

avant de me reprendre:

"Ou alors, peut-être est-ce Frère Abraham le père... Il serait assez timbré pour se l'être..."
"...Vous n'y pensez pas, ma soeur! Vous savez bien que Frère Abraham préfère les, heu, créatures non humaines que le Seigneur a confectionné!"

Et juste avant de fermer la porte de ma chambre pour passer une nuit qui allait s'annoncer difficile, je concluais:

"Justement, mon Frère, justement... Rien ne l'empèche de copuler avec un thon! "