Une fois sortit du marécage, on se retrouva dans une grande plaine, au calme, et au soleil, nos pantalons sèchent tout en marchant, j'ai filé ma M16 au lieutenant Thomson, il me la redonnée comme neuve, désenrayée...

-On est environ à 2km de notre objectif.. Hurla le capitaine

J'ai oublié de te le dire, notre objectif, c'etait un avant poste vietnamien qu'on devait prendre.

Le Lance-Caporal Jason Vogel tomba au sol, raide, le sang coulait de sa gorge..

-DES VIETS ! CACHEZ VOUS !

Je couru le plus vite possible sous un déluge de balles ennemies je finis par me cacher derrière une butte d'herbe d'ou j'avais une position pour tirer.

Je vis des silhouettes bougeant dans des buisson au fond de la plaine, je tira tira, et tira encore en voyant quelques fois du sang gicler..

-Opérateur radio ! Viens ici ! Gueula le capitaine !
-Je suis la mon capitaine !
-Demande une frappe de napalm, coordonnées 6-6-5-2 !

Je continue de tirer jusqu'a l'enrayage, très fréquent sur cette version


-Harley ! Munitions !

Le Caporal Harley Travers couru jusqu'a moi.
-T'as besoin de quoi ?
-Balles de M16 et désenrayage.
-Ok laisse moi voir ça

Au moment ou il prit le fusil en main sa tête se troua et du sang gicla un peu partout.

-Merde ! Travers !

Je ramassa sa M60 et déploya le bipod, j'arrosa les buisson au fond de la plaine par courte salve, et j'entendis le Capitaine crier.

-LES VOILA ! VOILA LES AVIONS ! CA SENT LE BARBEUC DE VIET !

Deux Vought Corsair II survolent la plaine et larguent le napalm...

-Merde ! DANGER RAPPROCHE ! Hurlais-je

Le Napalm fut largué sur les viet, mais aussi sur nous !

-MEEEERDE ! Hurla un soldat en courant dans tout ls sens entrain de bruler.

Le capitaine se retourna pour parler a l'opérateur radio mais il le vit au sol les yeux répulsés dans un bain de sang, il prit la radio.

-Ici le Capitaine Mitchell MISSION ANNULEE ENVOYEZ DES HUEYS ! COORDONEES 6 6 5 2 !

Les hueys arrivèrent rapidement, je portais un soldat brulé par les chevilles totalement noires carbonisées, un autre le portait par les épaules.
En le soulevant la peau de ses chevilles s'arracha et il tomba. il me regarda en souffrant.

-S'il te plait.. achève moi...

Je le regadais tristement, et me décida a sortir mon M1911, je lui tira une balle entre les deux yeux.