Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Streets of Paris


Par : Saguaro
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1


Publié le 15/07/2012 à 20:45:41 par Saguaro

Il est 5 heures du matin, je viens d'ouvrir les yeux, et j'ai la vue du ciel parisien englobé de son nuage de pollution. Je me lève et marche vers la salle de bain, enlève mon caleçon et rentre dans ma douche. Je met de l'eau froide et me lave, je sors de la douche et je me regarde dans le miroir, un homme Chatain foncé aux yeux bleus et cernés s'y reflète ensuite je vais m'habiller et je sors dans la rue, ou je détache mon scooter et monte dessus, je me dirige vers la porte de Versailles ou je me gare a coté du restaurant « Autour De.. »

Je marche dans la rue Vaugirard et rentre dans le Cocci Market, ou j'achete une canette de Monster Energy, histoire de tenir la route. Je sonne a l'interphone du HLM ou habite mon ami, Chris Miller, d'origine américaine, il a été dans les Rangers, il me répond et m'ouvre la porte. Je monte les 4 étages car l'ascenseur est en panne et frappe a sa porte. Un homme d'environ 1m75 m'ouvre et me serre la main, il est brun et a les yeux noirs.

-T'as tout ce qu'il faut ? Lui dis-je
-T'inquiete Vito j'ai reçu la marchandise hier.


Vito c'est mon surnom, je m'appelle Vitorrio Brunetti.

-Montre moi ça ! Dis-je d'un air enthousiaste.

Il marche dans son salon et ouvre un sac de sport noir, il en sors un AKS-74u et retire le chargeur qui est plein.

-J'ai pris ce modèle car c'est plus pratique a transporter..

En effet le 74u est plus petit que l'AK74 et donc plus adapté au combat urbain.

-Bon en route, la cible devrait passer par l'ile de la Cité, et on l'intercepte sur le Boulevard du palais, dis-je d'un ton ferme.

Il met la mitraillette dans le sac et le ferme. Je sors et il ferme la porte en sortant aussi. Nous redescendons les escaliers et je monte sur mon scooter il se met derrière moi. Nous enfilons nos casques aux visières teintées. Je démarre le bolide et c'est parti. Le fait qu'il soit débridé me permet d'aller beaucoup plus vite, Il est 6h30 et je suis sur le pont saint-michel, je vois la mercedes noire a la plaque verte et jaune, un corps diplomatique, le drapeau Suisse flotte sur le coté de la voiture, nous nous sommes rapprochés et arrivé au boulevard saint michel je lève le pouce au ciel pour indiquer a Chris qu'il doit sortir l'arme. Nous doublons un Scénic et arrivons juste derriere la merco. Je me met a son niveau et je klaxonne.


Chris vide le chargeur dans les vitres teintées de la voiture et les automobilistes freinent ou klaxonnent et Miller tape sur mon épaule, j?accélère comme un fou et zigzague entre les voitures, les sirènes des flics se font entendre au loin, j'arrive porte de versailles et Chris descends, il enlève son casque. Je lui dit :

-Bien joué Yankee !
Yankee c'est son surnom.
-C'etait un plaisir ! Dit-il en rigolant. On se revoit a 16h pour le paiment !

Je le laisse la et rentre chez moi en conduisant plus doucement. Il est 8h30 ça bouchonnait dans paris, le cycle Métro Boulot Dodo est cours, et les trottoirs de la capitale s'usent.

Je mange un plat de pates réchauffées, il est 13h le journal se lance sur France 2 Laurent Delahousse fait son apparition

«
-Triste nouvelle aujourd'hui Peter Maurer, le président international du comité de la Croix Rouge a été assassiné sauvagement ce matin, ainsi que Carl Markis son chauffeur, l'heure de la mort est estimée a 6h34. »

Le boulevard du palais et la voiture pleine d'impact passent a la télé, une voix féminine se fait entendre

« C'est a 6h30 que Peter Maurer a été tué, par 6 balles dans le torse et 3 dans la tête et son chauffeur de 4 balles dans le cou, un témoignage a été recueilli par notre équipe... »

Un homme moustachu apparaît et parle au micro de France 2

« Un scooter noir m'a doublé deux hommes casqués étaient dessus, l'un avait un sac de sport, et en a sorti une arme le conducteur a klaxonné et le passager a tiré dans la mercedes devant moi ! »

Dit-il avec un air apeuré. Je saisis la télécommande et éteint la télé, je me rends dans ma chambre ou j'attends l'heure de paye.


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