Vers deux heures, je me réveille, j’ai envie de pisser, je me lève prend ma lampe de poche et je me dirige vers les chiottes.
Une fois revenu, je ferme la tente et je me rendors, puis, une heure plus tard Julien me réveille, il a entendu un bruit.
Je vais voir dehors et je vois un gars qui se bar en courant, demain je vais dire sa aux organisateurs.

Je me réveille à 10h00, personne n’est debout, même pas les organisateurs, je prends ma douche et je m’installe sur une chaise sous un arbre.

Vers 11h00, tout le monde est levé, le gars et deux de ses potes me regarde bizarrement.
A midi, je ne mange pas, c’est dégoûtant, je vais grignoter dans l’aprèm.

Je vais me promener dans le camping, quand je suis dans un endroit éloigner, la où il n’y a personne, je voit l’autre con qui viens, ses potes me tienne et il commence à me frapper.

« - Laurie est à moi.
- Ah ? Alors pourquoi elle est pas venu te voir ?
- Ta gueule, laisse la, t’approche pas d’elle, se serait dommage qu’il lui arrive quelque chose à cette pute. »

La s’en est trop, je rentre dans une colère noire, je l’attrape et le frappe comme un fou, il saigne, il me supplie d’arrêter, mais je continue, jusqu'à ce que ses potes ne retienne.

Je le voit partir avec ses potes qui l’aide à marcher, je sais que pour moi sa va chauffer, mais j’en ai rien à foutre, il a chercher les emmerdes.

Quand je reviens aux tentes, il se fait soigner, un organisateur vient me voir.

« - J’ai appris ce qui c’était passé, je comprend que tu était en colère parce qu’il a insulté une fille que tu aime bien, mais se n’était pas une raison pour lui taper dessus comme un taré.
-Il l’a cherché.
-Bon, on a réfléchit à votre punition, parce qu’il nous a raconter pour les douches, se soir, vous aller faire la vaisselle et vous n’irez pas avec nous demain, un organisateur va rester avec vous demain.
-Mmmmhh….. »

Toute une journée avec ce con, je sent que sa va se finir en boucherie.
Le soir, on va faire la vaisselle, je ne lui parle pas, lui il a des point de suture sur la lèvre, et de bleus au visage.

Je lui fou la vaisselle pour qu’il l’essuie et je me casse.