<h1>Noelfic</h1>

Concours D4RK de Noel


Par : Nirvana

Genre : Concours

Status : C'est compliqué

Note :


Chapitre 8

Conte de Vondaklage

Publié le 29/12/12 à 13:40:08 par Nirvana

Ce conte prend place de nos jours, à New York, durant cette période festivale et joyeuse que sont les vacances de fin d'année. La ville qui ne dort jamais revêtit son manteau de neige pour l'occasion,
accompagné d'un froid glacial congelant quiconque osait mettre le nez dehors. Malheureusement, certains vivaient dehors et se furent les
plus grandes victimes du froid. Le froid qui comme un fauve, mordait jusqu'à ce que sa proie ne sombre dans son ultime sommeil. La plupart des sans-abris mourraient au fin fond d'une ruelle empestant l'urine et le rat mort. Mais ce jour-là, l'un d'entre eux eut de la chance.
C'était un de ces déchus, ceux qui il y a quelques mois encore menaient un train de vie royal mais qui perdit tout ce. qu'il avait du jour au lendemain. Sa femme avait demandée le divorce aussitôt qu'il lui annonça avoir perdu son travail et elle embarqua leurs enfants avec elle, le depouillant de toutes ses richesses. Cet homme n'était plus comparable à ce qu'il était avant, il avait subi la vie. Ce n'était plus un homme mais un pouilleux, un paria, un déchet de la société, un être s'accrochant à la vie plus que tout, à n'importe quel prix, au prix de sa dignité. Lors du réveillon de Noël, une personne le sortit de sa torpeur, c'etait une femme, une belle femme. Elle lui prit la main et lui dit que personne ne doit passer Noël seul, avant de le conduire jusqu'à chez elle. Ce n'était plus une femme, mais un ange qui venait de le receuillir, cet homme pensait être touché par la grâce et remerciait le ciel de la chance qui lui était donnée. Les deux rentrèrent dans un grand immeuble et arrivèrent au sommet en prenant l'ascenceur. La jeune femme donna un rasoir ainsi que des affaires appartenant à son mari au clochard et l'invita à prendre un bain. Le SDF accepta, l'eau avait changée de couleur à son contact et il fut heureux de sentir la chaleur de l'eau sur chaque pore de sa peau, tellement qu'il en pleura. Il sortit de son bain et rasa sa grosse barbe qui lui donnait l'air d'un Père Noël alcoolique et il plaqua ses cheveux en arrière avec de la vaseline pour parfaire son aspect présentable. Il enfila la chemise et le pantalon que la femme lui avait donné et c'était fait, le pouilleux était redevenu homme. Il alla remercier la jeune femme
qui l'embrassa sur la joue pour toute réponse, avant de mettre ses affaires dans un sac à dos. Elle le tira par le bras et lui servit les
plats qu'elle venait de faire, entrée, plat et dessert, extrêmement bon et raffiné, il pleura encore une fois à la fin.du repas. Les deux discutèrent de leur vie respective et le clochard apprit que sa bienfaitrice était une jeune chef d'entreprise de sa propre enseigne de traiteur, et à son grand désespoir, mariée à un bourreau de travail
qui ne trouva rien de mieux que de partir signer un contrat à l'autre bout de la planète pour Noël. Plus les coupes de champagnes se vidaient, plus elle exprimait ses regrets. Elle regrettait de ne pas avoir d'enfants malgré les efforts qu'elle et son mari fournissait afin que cela arrive, mais son mari était peu fertile et les inséminations artificielles coutaient cher, elle se resignait donc de plus en plus à devoir adopter. Et elle regrettait au moins autant de passer son Noël seul, au lieu d'être avec celui qu'elle aime. Le clochard la regardait désespérément et ne savait pas vraiment quoi faire lorsque les douze coups de minuit retentirent. La jeune femme se leva et prit un paquet cadeau qu'elle donna au sans-abris. Il l'ouvrit et en sortit une épaisse veste polaire et pour la troisième fois de la soirée, l'homme pleurai. Il fut gêné de n'avoir rien à offrir à sa sauveuse mais elle le rassura, lui disant que ce n'etait pas grave et qu'elle n'attendait rien en retour. Le clochard était chamboulé parcette serie d'acte désintéressé et ne put rien dire d'autre que

"Merci...".

La femme divaguait de plus à cause des méfaits de l'alcool et commençait à radoter, donc l'homme l'aida à aller jusqu'à son lit, allant même jusqu'à la border. Au moment où il allait se lever, elle lui attrapa le bras et lui demanda de ne pas la laisser seule avant de s'endormir aussitôt. Le déchu fixa sa sauveuse et repoussa la couette qui le gênait dans son projet. Il se leva et enleva son pantalon ainsi que son sous-vetements avant de se mettre à caresser l'intimité de la jeune femme. Lorsqu'elle fut prête, il s'inséra en elle le plus délicatement possible et se mit en quête de la jouissance, afin de lui rendre la pareille. Il continuait son acte, bougeait les hanches encore et encore avant de déverser l'essence de la vie en elle. Il se rhabilla, ramassa ses affaires et sortit de l'appartement en faisant le moins de bruit possible. Il leva le nez au ciel en esperant avoir aidé et s'enfonça dans les profondeurs de NYC, tandis que la neige recouvrait les empreintes de ses pas. Finalement, il rendit service à sa généreuse bienfaitrice, grâce à lui, elle nepassera plus aucun Noël seule...

La morale à cette histoire est de toujours aider son prochain, il
trouvera un moyen de vous aider si vous en avez besoin.

Commentaires

Kom_T_Tristounet

02/01/13 à 19:51:29

Cette fin est vraiment ridicule, je viens de relire, et je dois dire que j'ai jamais vu un truc autant débile.

En fait, j'avais pas compris que le mec l'avais tringlé pour lui faire des enfants comme compagnie. Je vais pas m'étaler sur le sujet, j'ai juste jamais lu pareille niaiserie.

Kom_T_Tristounet

02/01/13 à 17:24:15

Quel saint homme, ce clochard, il ne fait pas l'amour aux femme pour se faire plaisir, non, mais pour les remercier, oui tout à fait, les remercier de leur avoir donné de la considération de manière désintéressée.

Non, rien ne joue dans ce conte, c'est totalement immature et il n'y a aucune morale digne de ce nom...


à revoir, non, à effacer je dirais.

VonDaklage

29/12/12 à 22:02:45

Ouais c'etait le but, un peu D4RK/glauque :hap:

Sheyne

29/12/12 à 18:09:33

Euh.. C'est glauque putain :(
Bien raconté ceci dit. Juste glauque, je trouve la femme à plaindre et son mari à plaindre :peur:

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