Note de la fic : 
Publié le 27/01/2009 à 16:24:48 par joejojochba2
Chapitre 6: Back to business
Le lendemain etait un lundi, mais compte tenu de mon travail de a veille, il m'avait autorisé à rester à la maison.
Je pris donc ma douche puis m'habillat, en allant dans la salle à manger, je vis mon père assis au bout table de la salle à manger, il avait opté pour un magnifique costume Hugo Boss, ce qui le rendait encore plus charismatique
Je vis posé devant lui le journal, il venait juste de sortir l'acheter, sur la premiere page on pouvait lire:
FUSILLADE A LILLE DANS UN SQUAT: 22 MORTS
en ouvrant le journal, je vis des photos de quelques cadavres sous une toile blanche, mais sur l'une des photo j'arrivai à reconnaitre le dealer que j'avais tué pour sauver Tony.
Mais quelque chose clochait, on pouvait lire dans l'article "La police se penche sur une guerre des gangs" ou encore "les premieres supositions sont un reglement de comptes entre dealers". Mais nulle part n'etait mentionné le nom de Leandri ou La cruz ou La Croix Occitane.
-C'est quoi cette merde? Ils parlent même pas de nous ces cons, on n'a pas déssoudé ces mecs pour quedal!
-Clma toi! Répliquat mon père, le mec qu'on à laissé partir n'est pas parti vois les journaleux, mais va le dire à ses potes, puis la rumeur va se lancer, et crois moi, une rumeur fait bien plus peur qu'une chose affirmée, c'est comme un fantôme, le fantôme Leandri, et crois moi, d'ici ce soir tout le milieu de toute la France parlera de nous, on est bel et bien de retour, et 22 machabées c'est pas rien.
-mouais, t'as surement raison.
-Bon maintenant dépèche toi d'aller enfiler un costume.
-Pourquoi? il est 8h00 du mat
-Aldo et Mickey vont passer nous chercher d'ici un quard d'heure, je te signale quand même que tu es en face d'un PDG d'une entreprise de sécurité.
-Comment ça?
-Je t'ai pas dit, juste le temps de signer quelques papiers et c'est officiel, nous somme la "société"de sécurité qui emploie des agents de sécurité, des moyens de surveillance hight-tech et même des gardes du corp, ce qui nous donne l'autorisation de port d'arme de premiere catégorie.
-C'est à dire
-Armes de guerre la société écran s'appele AGENCE LACROIX, ça justifiera nos revenus au fisc, j'en ai parlé hier avec Luigi. Bon dépêche toi, on a du racket à faire
10 minutes plus tard, nous allâmes en bas, j'avais opté pour un costume gris avec cravate et chemise noires.
Mickey attendais au volant de la mercedes et Aldo s'appuyait sur le capot, constament la main sur le revolver, quand il nous vit arriver, il nous ouvrit la porte.
Nous roulèrent à une allure constante, c'etait vraiment une voiture confortable, dehors le temps était pluvieux, quelques gouttelettes venaient parfois s'ecraser sur la vitre, puis Mickey s'arretât devant un des restaurants les plus chics de Paris.
Aldo se retournat vers mon père
-Bon, c'est ici, ce resto est sous le contrôle de Feloni, si on lui prend, ça lui fera un joli trou dans son bénéfice. Mais attention, ça serat pas facile avec ce fils de pute.
Sur ce nous sortîmes de la voiture et pénétrèrent la porte en verre du restaurant, c'etait un 3 étoiles et rien qu'a voir la décoration de style baroque et la tête de la clientèle, je n'osais imaginer l'addition
Un maitre d'hotel nous accueillit
-Bonjour messieurs, vous êtes 3? (mickey était résté dans la voiture)
-Bonjour, on veut pas de table mais voir ton patron.
-Pardon?
-Emmènes nous au tolier.
L'homme parut surpris
-Oui...oui veuillez me suivre...
Nous traversâmes le restaurant puis montèrent l'escalier qui menait au premier étage, puis nous arrivâmes devant une porte ou une affiche "privé" était acrochée, le maitre d'hotel frappa puis entra sans attendre la réponse.
Un gros homme habillé comme l'as de pique et plein de transpiration était assis à son bureau.
-Bordel, j'vous ai dit de pas me déranger!
-désolé Monsieur Bonnet, mais ces hommes veulent vous voir
-Quoi? Pourquoi?La bouffe est mauvaise? bah cassez vous, vous êtes pas obligés de revenir, et vous, cassez vous!Y'a surement des clients en bas qui attendent
-Oui désolé monsieur
Comment un homme aussi dégueu et bete comme ça pouvait diriger un restaurant de cette classe?
Soudain j'entendis du bruit, une jeune fille habillée en serveuse sortit de sous le bureau et pasa devant nous à toute vitesse en s'essuyant le coin de la bouche
-Bon, qu'est ce que vous voulez?
-Ton restau. Répondis mon père.
-Quoi? Tirez vous de la! je suis déja protégé par les Feloni, sale enfoiré!
Soudain mon père se jeta sur lui et le plaquat contre son bureau
-Ecoute moi bien gros lard. D'une, tu me parles encore comme ça et je te tue, de deux, tu vas rompre ton contrat avec les Feloni, de trois, nous sommes la Famiglia de la Cruz.
L'homme fit des yeux tous ronds
-La...Le clan de Don Leandri et Vito?
-Précisément, combien payes tu aux Feloni pour ta protection?
-100 euros par mois!
-Alors j'en veut 1500, fallait être poli
-C'est inadmissible, je le dirait à Don Feloni!
-Ouvre ta geule et t'es mort
Aldo sortit alors son revolver de son holster, voyant ça, je sortai mon 11.43
-Ok ok ok, c'est bon, je vais payer.
-Tu vois, pour 1500 euros par mois, toi, ta famillle et ton resto etes assurés tout risques.
Apres avoir reçu notre indemnité, nous sortîmes et allèrent devant la mercedes dans laquelle Mickey écoutait de la musique classique.
Mon père se tournat vers moi
-C'est parti, l'argent rerentre.Allez on a encore du boulot, il est à peine 8h30!
Le lendemain etait un lundi, mais compte tenu de mon travail de a veille, il m'avait autorisé à rester à la maison.
Je pris donc ma douche puis m'habillat, en allant dans la salle à manger, je vis mon père assis au bout table de la salle à manger, il avait opté pour un magnifique costume Hugo Boss, ce qui le rendait encore plus charismatique
Je vis posé devant lui le journal, il venait juste de sortir l'acheter, sur la premiere page on pouvait lire:
FUSILLADE A LILLE DANS UN SQUAT: 22 MORTS
en ouvrant le journal, je vis des photos de quelques cadavres sous une toile blanche, mais sur l'une des photo j'arrivai à reconnaitre le dealer que j'avais tué pour sauver Tony.
Mais quelque chose clochait, on pouvait lire dans l'article "La police se penche sur une guerre des gangs" ou encore "les premieres supositions sont un reglement de comptes entre dealers". Mais nulle part n'etait mentionné le nom de Leandri ou La cruz ou La Croix Occitane.
-C'est quoi cette merde? Ils parlent même pas de nous ces cons, on n'a pas déssoudé ces mecs pour quedal!
-Clma toi! Répliquat mon père, le mec qu'on à laissé partir n'est pas parti vois les journaleux, mais va le dire à ses potes, puis la rumeur va se lancer, et crois moi, une rumeur fait bien plus peur qu'une chose affirmée, c'est comme un fantôme, le fantôme Leandri, et crois moi, d'ici ce soir tout le milieu de toute la France parlera de nous, on est bel et bien de retour, et 22 machabées c'est pas rien.
-mouais, t'as surement raison.
-Bon maintenant dépèche toi d'aller enfiler un costume.
-Pourquoi? il est 8h00 du mat
-Aldo et Mickey vont passer nous chercher d'ici un quard d'heure, je te signale quand même que tu es en face d'un PDG d'une entreprise de sécurité.
-Comment ça?
-Je t'ai pas dit, juste le temps de signer quelques papiers et c'est officiel, nous somme la "société"de sécurité qui emploie des agents de sécurité, des moyens de surveillance hight-tech et même des gardes du corp, ce qui nous donne l'autorisation de port d'arme de premiere catégorie.
-C'est à dire
-Armes de guerre la société écran s'appele AGENCE LACROIX, ça justifiera nos revenus au fisc, j'en ai parlé hier avec Luigi. Bon dépêche toi, on a du racket à faire
10 minutes plus tard, nous allâmes en bas, j'avais opté pour un costume gris avec cravate et chemise noires.
Mickey attendais au volant de la mercedes et Aldo s'appuyait sur le capot, constament la main sur le revolver, quand il nous vit arriver, il nous ouvrit la porte.
Nous roulèrent à une allure constante, c'etait vraiment une voiture confortable, dehors le temps était pluvieux, quelques gouttelettes venaient parfois s'ecraser sur la vitre, puis Mickey s'arretât devant un des restaurants les plus chics de Paris.
Aldo se retournat vers mon père
-Bon, c'est ici, ce resto est sous le contrôle de Feloni, si on lui prend, ça lui fera un joli trou dans son bénéfice. Mais attention, ça serat pas facile avec ce fils de pute.
Sur ce nous sortîmes de la voiture et pénétrèrent la porte en verre du restaurant, c'etait un 3 étoiles et rien qu'a voir la décoration de style baroque et la tête de la clientèle, je n'osais imaginer l'addition
Un maitre d'hotel nous accueillit
-Bonjour messieurs, vous êtes 3? (mickey était résté dans la voiture)
-Bonjour, on veut pas de table mais voir ton patron.
-Pardon?
-Emmènes nous au tolier.
L'homme parut surpris
-Oui...oui veuillez me suivre...
Nous traversâmes le restaurant puis montèrent l'escalier qui menait au premier étage, puis nous arrivâmes devant une porte ou une affiche "privé" était acrochée, le maitre d'hotel frappa puis entra sans attendre la réponse.
Un gros homme habillé comme l'as de pique et plein de transpiration était assis à son bureau.
-Bordel, j'vous ai dit de pas me déranger!
-désolé Monsieur Bonnet, mais ces hommes veulent vous voir
-Quoi? Pourquoi?La bouffe est mauvaise? bah cassez vous, vous êtes pas obligés de revenir, et vous, cassez vous!Y'a surement des clients en bas qui attendent
-Oui désolé monsieur
Comment un homme aussi dégueu et bete comme ça pouvait diriger un restaurant de cette classe?
Soudain j'entendis du bruit, une jeune fille habillée en serveuse sortit de sous le bureau et pasa devant nous à toute vitesse en s'essuyant le coin de la bouche
-Bon, qu'est ce que vous voulez?
-Ton restau. Répondis mon père.
-Quoi? Tirez vous de la! je suis déja protégé par les Feloni, sale enfoiré!
Soudain mon père se jeta sur lui et le plaquat contre son bureau
-Ecoute moi bien gros lard. D'une, tu me parles encore comme ça et je te tue, de deux, tu vas rompre ton contrat avec les Feloni, de trois, nous sommes la Famiglia de la Cruz.
L'homme fit des yeux tous ronds
-La...Le clan de Don Leandri et Vito?
-Précisément, combien payes tu aux Feloni pour ta protection?
-100 euros par mois!
-Alors j'en veut 1500, fallait être poli
-C'est inadmissible, je le dirait à Don Feloni!
-Ouvre ta geule et t'es mort
Aldo sortit alors son revolver de son holster, voyant ça, je sortai mon 11.43
-Ok ok ok, c'est bon, je vais payer.
-Tu vois, pour 1500 euros par mois, toi, ta famillle et ton resto etes assurés tout risques.
Apres avoir reçu notre indemnité, nous sortîmes et allèrent devant la mercedes dans laquelle Mickey écoutait de la musique classique.
Mon père se tournat vers moi
-C'est parti, l'argent rerentre.Allez on a encore du boulot, il est à peine 8h30!