Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

[fic] bras droit de la Mafia


Par : joejojochba2
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 23


Publié le 30/01/2009 à 17:20:23 par joejojochba2

Chapitre 19: Etat bestial



Je quittai donc la soirée avec le ventre bien rempli, la tête qui tournait et le numéro d'une charmante jeune fille :content:


Arrivé chez moi, je m'effondra sur mon clic clac :noel: puis mes yeux se fermèrent et je plongeat dans un sommeil profond rempli de rêrve magnifiques dans lequels se trouvait Jenna, mais peu à peu, cela laissait place aux cauchemards, des visages apparurent, hurlants, tordus et déformés de douleur, des visages familiers, ils me hantaient, tourbillonaient, tous les hommes que j'avais tués, pourquoi? Qui étaient ils? Ils avaient peut être des enfants, une famille, celui que j'ai abattu à l'hopital, il avait une alliance, ses gosses me tueraient dans quelques années, je me retrouverai la ou tombent tous les pêcheurs.

Je me réveillai en sursaut, transpirant, halletant, mon réveil indiquait 7h30, dehors il faisait encore nuit, j'etais épuisé, mais il m'etait impossible de me rendormir, pourquoi tous ces rêves? Pourquoi maintenant? En quelques mois, j'avais déssoudé une dizaine de types, j'avais des ennemis dangereux surtout pour ma famille, il fallait vivre dans le mensonge, constament sous pression, dans le stress, pendant tout le restant de mes jours...Mes jours restants, combien? 50 ans? 10? 6 mois? Je pourrait crever aujourd'hui abbatu froidement dans une ruelle puante, je plongeât mon visage dans mon oreiller et me mis à pleurer comme un gosse, la première fois depuis le début de tout ça.




13h00, je me décide à appeler Jenna, nous nous sommes donnés rendez-vous dans un café au Trocadéro, j'y allai à 14h00.

Je la vis, rayonnante, elle avait un manteau assez chic, un mèche de ses cheveux blonds tombait sur son visage, quand elle m'apperçut, elle sourit puis me fit signe de venir, je lui fit la bise (kikoo) puis nous commandâmes deux cafés, en voyant ma Chevalière, le serveur nous fit une petite ristourne et un exelent service, il faudrat que je voie si il n'est pas sous notre contrôle :noel:

Nous passâmes les reste de l'apres-midi à nous ballader, à parler de tout et de rien.

Le soir arrivât, je regardai ma montre: 19h00, je décidai d l'inviter dans un petit resto, après avoir hésité elle avait accépté en étant assez génée.



20h00.
Alors qu'un garçon me servit mon entrecôte au poivre :bave: deux hommes vétus de costumes noirs entrèrent dans le réstaurant puis me dévisagèrent, l'un d'eux, qui avait environ une quarantaine d'années et une ballafre sur la joue, murmura quelque chose de l'oreille de l'autre, un peu plus jeune que lui avac un physique Caucasien qui ricanna légèrement.

Mon sang ne fit qu'un tour, je me levai puis les regardaient avec colère.
-Quoi? Qu'est-ce qu'il y a? T'es qui toi? Elle te revient pas ma gueule?
-Je vous connait pas! Pourquoi vous m'aggréssez? Répliquat le plus vieux.
-C'est bon, on se tire, viens bébé. Dis-je en lachant un billet de 100 Euros au serveur.

Nous sortîmes dans la rue puis marchâmes une dizainne de minutes.
Jenna n'avait pas encore réalisé la situation, elle ne s'etait apperçue d'aucun des regards.
-Qui c'etaient ces types? Criat-elle.
-Ils te regardaient mal. Ca m'a énérvé.
Elle se calma instantanément.
-Tu...Tu m'a appelée bébé tout à l'heure non? :)
-Euh...Ouai ça ta pas plu?
-Au contraire.

Elle approchat son visage du mien et nos lèvres se touchèrent, nous nous embrassâmes passionément.

Sans savoir comment j'etais arrivé ici, je me trouvai dans son lit, son père divorcé était en voyage d'affaires.
Pendant toute une partie de la nuit, nos deux corps nus s'entrelacèrent, elle était chaude comme de la braise, sa peau était douce, toute la passion que j'avais en moi ressortit tout l'amour que j'avais pour elle s'exprimait, j'etais dans un état bestial, je sentais son corp frissoner et frémir sous la paume de ma main.

Le lendemain matin je repartit tôt, avant de quitter sa chambre, je la regardai dormir une dérnière fois...

Mon père m'appelat alors, vers les 8 heures du matin.
-Allô Joe? Tu dormais?
-Non, pourquoi :(
-Tant mieux, on a besoin de toi tout de suite.


Commentaires

Aucun commentaire pour ce chapitre.