Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

[fic] bras droit de la Mafia


Par : joejojochba2
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 4


Publié le 27/01/2009 à 16:19:24 par joejojochba2

Chapitre 4: Premiers pas dans le milieu

Ca y est mon père était accépté, enfin presque.

Il venait de prouver que c'etait un homme qui comptait imposer son respect, lesh hommes de main l'avait compris.

Don Leandri était un homme très proche de la famille. Contrairement à la Camora, qui recrute les hommes et les bras droit partout, La Famglia de la Cruz était un réseau tres fermé, pour y adhérer, il fallait faire partie de la famille d'un des membres ou avoir d'exelents rapports avec, mais il fallait dans les 2 cas prouver sa confiance, pendant un an, les nouveaux adherents étaient tenus à l'ecart du gros business, tout ce que vous pouviez faire c'est la garde des nigt clubs miteux ou des petis larcins, c'etait plutot un entrainement intensif, il fallait passer des test, parmis eux, il fallait tenir 24 heures dans une minuscule cellule sans lumière, sans boire ni manger, sans commoditées, si on arrivait à passer ce test, il y avait celui de la balance, 2 lieutenants de la Famiglia vous passent à tabac, vous ne devez parler en aucun cas d'un mot de passe que l'on vous avait dit juste avant de rentrer dans la cave ou les 2 mastodontes vous attendaient.

Si on arivait à passer ces test, il y avait l'entrainement classique: tir, combat, sport, discipline.

Don Leandri ayant été dans le maquis pendant la guerre avait toujours aimé l'armée, il savait ce que les SS faisaient dans les interrogatoires, il savait pousser un homme à bout, a ses extremes limites.

Le derniers test était décisif: il pouvait finir par la mort.

Ce test consite à vous lacher dans la campgne en pleine nuit, puis plusieurs équipes soànt à vos trousses. Le but est de se cacher le mieux possible, si vous vous faites voir, vous vous faites tirer dessus, parfois les balles ne vous atteugnent pas, sinon vous etes bléssé, au pire des cas, c'est la mort.

Passé tous ces test au bout d'un an, vous êtes enfin intégré dans la famille et pouvez monter sur les gros coups: braquage, racket de haut niveau, cambriolages et même souvent assassinats.

Pour ma part, je n'avais pas à passer ce test, ayant le même sang que mon père, je fus directement bras droit, mais à cause de mon age, 15 ans :( , je serais assisté dans ma tache par le consigliere de la Famille, Luigi Paolini.

Il fallait maintenant nous habiller dignement, on me remis la bague du bras droit, elle était elle aussi en rubis, une belle chevaliere en argent sans laquelle était forgé une croix Occitane en argent aussi, elle était come la chevaliere de mon père mais en argent.

nous allâmes place Vendôme, puis place de l'opera, toutes les plus grandes places Parisiennes pour nous habiller de façons à ce que l'on se fasse remarquer mais sans plus, cotrairement aux Felonis, la Famiglia de la Cruz était assez sobre, eux qui se promenaient à St Tropez en Lamborgini avec des chaines en or plus que conséquentes, nous ne nous contentions que de beaux vêtements sobres, sans frime, l'un de nos proverbes était "Pour vivre heureux, vivons cachés".

Tandis que mon père avait choisi un costume antracite avec des mocassins noirs, j'avais opté pour un costume noir avec des rayures blanches, une cravate rouge et des chausures Richelieurs noires.

Nous étions en compagnnie de Aldo, porte-flingue, crane rasé, 1m85, le visage plein de cicatrices, il devait avoir 40 ans, cela faisait 10 ans qu'il était dans la Famille et de notre chauffeur, Mickey ( :o)) )homme de confiance aussi, tus deux étaient enfouraillés comme des porte avions.

Alors que nous rentrâmes dans notre appartement, un homme en sous pull d'une grande classe s'inclina pour poser ses levres sur la bague de mon père, d'apres ce que j'avais entendu dire qu'il s'appelait Michel et qu'il était notre fournisseur d'arme personnel, on pouvait lui demander du matos comme le plus petit crand d'arrêt comme on pouvait lui demander des fusils d'assaut ou des grenades.

Nous montâmes, puis il ouvrit une belle malette métalisée, il sortit plusieurs armes de poing, la creme de la creme: du HK, du Glock, du Smith et Wesson...

mon pere regardait puis soudain son regard se figeat, il fixait un magnifique Desert Eagle 357 argenté, il brillait, il sortait tout droit de l'usine il le pris sans hésiter.

Pour ma part j'avais opté pour un 11.43, vieux flingue mais méchament puissant :bave: et puis au pire je pouvais m'en faire toute une collection.

Il fallait nous préparer, Luigi arrivat, le consigliere voulait nous voir le plus vite possible.


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