Me revoilà, pour ces longues semaines d'attente. Je m'excuse encore une fois. Mais j'étais puni !
Bref très bonne lecture à vous tous.


["Donc, on sortit de notre petite ruelle, pour se retrouver, quelques secondes plus tard, en face de la porte du commissariat."]


"-Bon, maintenant soyez sur vos garde, je pense pas qu'il y ai qu'un seul chien à l'intérieur. Et, j'suis même pas sur qu'on va être tout seul.
-Ah mince ! C'est vrai que y a peut-être du monde qui sont venu se réfugier..
-Boarf, au pire si c'est trop de monde, on se casse très vite ok ?
-D'ac. Bon allez magnez vous j'vous rappel qu'il pleut."

La porte étant entrouverte, on eu pas à la forcer, ce qui nous réconforta. Mais, en revanche, ce qui nous fit froid dans le dos, c'était (la pluie certe) mais le fait que, étant entrouverte, tout le monde pouvait rentrer dedans. Donc il ne devait pas y avoir que deux personnes.
Nous pénétrons donc dans le commissariat. Aucune lumière bien entendu, mais les fenêtres étaient assez large. Avec les éclairs on voyait la première pièce qui s'offrait à nous aussi bien que s'il y avait de la lumière. C'était la pièce où les policiers recevaient les gens. Où on devait payer les amendes, où on portait plainte, etc.
Bizarrement, il n'y avait personne, vivant, ou mort. Pour un commissariat, c'était quand même bizarre.

"-Oh ! vous trouvez pas ça bizarre ? Généralement les gens se réfugient direct chez les flics quand y a des problèmes nan ?
-Ouaip. Mais effectivement y a personne. Peut-être ils sont tous dans les salles arrières.
-Salles arrières ?
-Oui. Enfin.. Tu sais, les salles de détention. Enfin j'crois, j'avais vu ça dans un film. Il y avait une salle comme celle-ci, et genre y avait un couloir. Et au bout du couloir, il y avait un grillage fermé. Et la y avait des cellules pour les garde à vue et tout.
-Personnellement comme j'suis jamais venu dans un commissariat, j'en ai aucune idée. Mais comme tu le dis ça m'a l'air sympa. Fouillons pour voir si on trouve ce fameux endroit.
-Y a un étage dans ce commissariat apparemment.
-Mince.. Bon, bah Léo, tu reste ici tu vas à droite, ou y a des bureaux, Brieuc tu vas derrières les guichets et tout. Regarde si y a des clefs et prend les. Ça éviteras de revenir en arrière si y a une porte fermée. Moi je monte.
-Tout seul ?
-Non avec ma grand mère --'.
-Ok j'ai compris...
-Super. Allé, à tout à l'heure. Au fait, si vous voyez des Zombies, les affrontez pas, essayez de les éviter le plus possible. Et faites pas de bruit."

Après ce petit briefing un peu lourd, nous entreprîmes de partir chacun de notre côté.
Les escaliers étaient tout prêt de l'endroit où nous nous trouvions juste avant. Je grimpais les marches une à une en prenant soins d'éviter de faire du bruit, ou de tomber. Une fois arrivé en haut, une porte grande ouverte s'offrait à moi. La première chose qui me vint à l'esprit, c'était de sortir ma lampe-torche, et d'écouter. ... Aucun bruit.
Je franchis la porte, et allumais ma lampe. Le long faisceau de lumière se propagea dans toute la pièce. Personne, juste quelques bureau et deux armoires dans le fond. Tout en restant sur mes garde, je commençais a fouiller la pièce.
Premier bureau. Une photo de famille, deux crayons, des papiers d'amende. Rien de bien intéressant. Pareil pour les autres bureau. Restait juste à fouiller les armoires. Bien entendu, elles étaient fermées. Mais j'avais vu les clefs dans le tiroir d'un bureau.
Une fois la porte de l'armoire ouverte, je vis des armes de service des policiers. Des Tazers, et des pistolet dont je ne connaissais pas le nom. Un chargeur dans chaque pistolet, et deux recharge à côté de chaque pistolet. Il y en avait en tout cinq.
Mais comme nous devions voyager léger, je pris un pistolet chacun. Et deux chargeur chacun.
Visiblement, il n'y avait plus rien à l'étage qui pouvait intéresser. Je descendis donc rejoindre les deux autres.
Brieuc, était encore derrière les bureaux en train de farfouiller dans je-ne-sais-quoi.

"-... bouh ! ..
-Haa putin.. Ne me fais plus jamais peur comme ça Sim'.. J'ai faillit t'en mettre une..
-Haha allé chut, je rigole. Bon tiens un pistolet que j'ai trouvé à l'étage avec deux chargeurs.
-Han ! C'est super ça, merci.
-Mais tu l'utiliseras qu'en cas d'extrême nécessitée ok ? Parce que ça fait bien trop de bruit, et que on à un nombre limité de munition.
-D'ac. Compte sur moi
-Bon t'as trouvé des trucs intéressant ?
-J'ai trouvé un trousseau de clef, et des stylos...
-Bon c'est déjà ça. Des nouvelles de Léo ?
-Non rien.
-Ok on y va. S'il a des problèmes on va pas le faire attendre.
.......*HAAAAAAAAAAAAAA !*......
-Merde ! C'était quoi ça ?
-Aucune idée, mais magne toi."

On couru aussi vite qu'on pu dans la direction où on avait entendu le bruit. C'était l'endroit par où était passé Léo.
Ce qui nous étonna, c'est que aucune des grilles étaient dans ses gons. Ce qui expliquait qu'elles étaient toutes ouverte. Mais Léo n'aurait pas fait ça à lui tout seul, il fallait au moins trois personne pour faire ça.
Le cri se fit entendre de nouveau. Mais cette fois-ci beaucoup plus proche.
Nous étions entré quelques instant plus tôt dans la partie où il y avait les cellules. Et le cri venait de la deuxième cellule à droite de nous.
Nous nous précipitâmes aux grilles pour voir ce qu'il y avait dedans. Léo était aux prises avec deux zombies. Il était acculé dans un coin, et les Zombies attendaient en salivant devant leurs futur repas.
Un corps à moitié mangé depuis quelques secondes était étendu par terre, cela ressemblait à une femme.

"-Dites les mecs ! Aidez moi, j'pense pas que j'y arriverais contre deux Zombies..
-Ouai t'inquiète. A trois tu fonce sur le Zombie qui est à TA gauche ok ? Moi et Brieuc, on ira sur celui de NOTRE gauche, vu qu'il à l'air beaucoup plus musclé.
-Ok mais faite vite..
-Bon, 1... 2..."

Pas eu le temps de finir, que les Zombies étaient déjà sur Léo. Léo ne pouvant plus reculer, décida en fin de se battre. Il mit un coup de pied dans le ventre du Zombie le plus proche de lui, le faisant reculer tout près de Brieuc et moi.
Brieuc le fis basculer en arrière, et d'un coup net, la machette pénétra dans son coup, et ressortit du côté de la nuque. Ce qui eu pour effet de trancher net la tête du Zombie, qui tomba inerte sur le sol.

Léo, lui était toujours aux prises avec le Zombie. Ce dernier tenait Léo par les bras et essayait de le mordre au coup. Je sautais donc sur le Zombie pour aider Léo. Je le pris par la taille et le tira le plus fort possible en arrière. Ce fut une réussite, mais je tombais avec le Zombie sur moi. Léo ne pris pas le temps de réfléchir, et il plongea sur le Zombie pour lui tordre le coup, et ainsi le tuer.

"-Aouch, il est lourd celui là... Merci Léo !
-Merci à vous. Sans vous je pense je serais mort il y a déjà quelques minutes..
-Bon, sinon, il s'est passé quoi ici ? C'était quoi ce cri ?
-Hé bien.. J'avais vu une femme réfugiée dans cette cellule, elle avait les clefs avec elle. Et je l'ai convaincue de me laisser entrer. On à parlé un peu, jusqu'à ce que ces deux la arrivent... J'ai essayé de la protéger, mais, ils m'ont poussé et ils lui ont sauté dessus..
-Ah ! Ok. Bon, elle t'as dit s'il y avait du monde ici ?
-Nan personne à sa connaissance, son copain était avec elle avant, mais il était partit chercher du secours.
-Comment tu le sais ?
-Elle me l'a dit banane.
-Ouai ok. Bon on va monter à l'étage, y a personne et c'est relativement sur. Je propose qu'on se repose un petit peu aussi pendant ce temps.
-D'acc'. Allé on est partit."


Fin du chapitre.