Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

La fille de la nouvelle voisine


Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : Terminée



Chapitre 78 : Lucie va me rendre dingue


Publié le 27/08/2013 à 17:14:02 par LePatriarche

Un spectacle aussi étrange que surréaliste s'offre à moi : Je vois Lucie, en maillot de bain, à genoux, qui tient l'ordinateur qu'elle voulait me donner dans ses mains avant de me dire :

Lucie : Miaou ! :hap:

Moi : Putain mais qu'est-ce que tu fous encore ?! Me dis pas que c'etait ton urgence sinon...

Lucie : Je suis un chaton qui a besoin d'un petit pardon... Allez steuplééé ! :hap:

Moi : ( J'ai couru jusqu'à la mort juste pour ça... :honte: ) C'est pas comme ça que je vais m'excuser, et puis comment t'es rentré chez moi ? Où sont tes fringues ? Et c'etait ça ta putain d'urgence ? :ouch:

Lucie : Oui... Miaou !

Je partis m'asseoir sur mon lit, en soupirant d'exaspération. A cause de la fatigue, de la nervosité et de la situation présente, je n'arrivais plus à me controler et je riais :

Moi : Mais merde ! T'es toujours aussi cinglé... :rire:

Elle pose l'ordi sur mon lit, reste toujours à genoux et me dit :

Lucie : Dé-so-lé ! :hap:

Moi : Ok j'ai compris désolé pardon... Voilà maintenant tu peux t'habiller et partir :ok:

Lucie : Nan tu veux juste te débarasser de moi, faut le dire plus sincèrement, je sais que j'ai fait une connerie, mais tu peux pas rester faché longtemps...

Moi : Tu veux que je me mette à genoux ? :rire: Non allez sérieusement, rentres chez toi, ça vaut mieux pour tout le monde...

Lucie : Non je pars pas ! TU DOIS ME PARDONNER STEUPLEEE ! :snif:

Moi : Mais on oblige pas quelqu'un à faire ça... T'es vraiment la fille la plus bizarre que je connaisse...
Bon je suis fatigué alors voila...

Je me mets à genoux devant elle ( qui est encore à genoux aussi ), je la prends... par la main ( :hap: ) et lui dis :" Je te pardonne" avant de lui delivrer un baiser sur le front. Au meme moment, ma mère, qui venait certainement de faire la lessive, entre dans ma chambre, nous voyant à genoux, Lucie presque dénudée et moi la tenant par les mains...

Moi : C'est pas ce que tu crois...


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