Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

La fille de la nouvelle voisine


Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : Terminée



Chapitre 77 : L'enième urgence


Publié le 26/08/2013 à 23:51:37 par LePatriarche

Moi : ( C'est pas que je m'ennuie, mais ecouter la nuit torride de Pierre ne m'interesse pas franchement... J'ai encore quelques trucs à faire... )

*biiiip*...*biiiiip* Oh... C'est mon portable qui vibre encore. Qui ça peut-etre... Je suis deja avec Sam et Pierre, je viens de voir Léa. Je lui manque deja ? Non, pas possible... Karine sans doute ? Non, pas du tout... C'est Lucie... Je ne voulais pas lui parler maintenant, c'etait trop tot pour moi, mais on peut dire que c'est le bon moment, comme d'habitude avec elle, si ça pouvait me permettre de m'éclipser d'ici, pourquoi pas...

Meme si j'etais partagé : lui répondre, ou ecouter l'histoire de Pierre... Ca devait sans doute etre urgent, je pense qu'elle me connait assez pour savoir que je n'aime pas parler après quelque chose comme ça... Je décroche et je réponds, en m'éloignant de quelques mètres :

Lucie : Enzo, faut que tu rentres, vite il s'est passée un truc chez toi...

Moi : De quoi ? C'est quoi ?

Lucie : Je sais pas, mais faut que tu fasses vite !

Moi : C'est pas une blague j'espère !

Lucie : Non, je t'assure ! Faut que tu vienne voir ! Vite !

J'etais pris de panique... Qu'est-ce que c'etait ? Et si ma mère avait fait un accident ? Ou pire encore... Merde ! J'avais pas le temps... Je dis à Pierre et Sam que j'ai une urgence, je me depeche de courir, courir, courir...

J'arrive chez moi, en 3 minutes chrono, en regardant dans le salon, rien. La cuisine, rien. A chaque coin de ma maison, j'ai l'estomac encore plus noué... Je cours pour aller dans ma chambre, j'ai le souffle court, épuisé... Qu'est-ce que c'etait...

J'entends du bruit dans ma chambre... Un voleur ? La porte est legèrement ouverte, mais je ne peux rien distinguer... Est-ce que ma mère va bien ? Je l'espère... Elle est dans sa chambre normalement... Je pousse la porte violemment, et ce que je vois, me laisse sans voix...


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