Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

La fille de la nouvelle voisine


Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : Terminée



Chapitre 124


Publié le 13/09/2013 à 13:41:46 par LePatriarche

Je me réveillais donc, dans un lit glacé, sous des draps très fins. Certainement une chambre d'hopital, mais comment j'avais pu atterir ici ? Je regardais la salle attentivement, avant de voir ma mère, devant la porte assise sur une chaise, à lire un magazine :

Moi : Salut... Qu'est-ce que je fais ici ?

A ces mots, ma mère bondit de sa chaise et se précipita vers moi, les yeux grands ouverts et un sourire jusqu'aux oreilles :

Maman : Enzo t'es conscient ? Enfin, ça faisait plusieurs heures que tu dormais ! pfioooou ( bruit d'un soulagement )

Moi : Ouais je me sens pas trop mal ça va... Et Lucie ? Léa ? Elles vont bien ? Où sont-elles ?

Maman : On peut dire qu'elles vont bien, elles se remettent de leurs émotions... C'etait un moment difficile... Je suis venue dès que j'ai pu... Je n'arrivais pas à y croire, une histoire comme ça...

Moi : Qui t'a raconté ?

Maman : Un autre garçon qui etait avec vous... Il s'appelait Marc il me semble... Il est venu à ma rencontre quand il a su que j'etais ta mère... Et puis il m'a donné un message pour toi.

Ma mère me tend un bout de papier, où etait écrit les mots suivants :" C'est grace à toi si on a pu s'en tirer, tu as voulu protéger ma soeur, meme en sachant ce que je t'avais fait. Tu as bien agi, et je t'en suis vraiment reconnaissant. J'espère te rendre la pareil un jour, salaud "

J'ai failli sourire... C'est vrai, ça devait etre difficile pour Karine aussi. On serait encore resté là à l'heure qu'il est, avec Marc et Lucie. Ma tentative de faire partir Léa et Karine en gagnant du temps, en discutant avec mon propre ravisseur pour lui faire changer d'avis... Cette pièce sombre, Lucie dans une cage à lion... Heureusement que c'est fini, on dirait un cauchemar surréaliste

Moi : C'est bon... Je veux partir, je dois aller voir tout le monde...

Maman : Attends... On m'a dit que tu avais vu un homme, le "preneur d'otages"... Se faire assassiner devant toi. C'est une épreuve difficile, je sais que tu vas en garder certaines traces, parlons en.

Moi : Y'a rien à dire là dessus, c'est fait c'est fait. J'en souffre pas plus... Sauf pour sa famille, il voulait les proteger disait-il. Si c'est la vérité, j'espère qu'ils ont pu s'abriter ou trouver une solution, cette homme les aimait... Mais maintenant c'est du passé et j'aimerais ne jamais revenir la dessus. Tu verras, dans quelques temps, tout sera oublié.

Ma mère me faisait confiance, elle tenait ma main comme pour me rassurer, en me chuchotant :" Prends soin de toi surtout ".


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