Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

La fille de la nouvelle voisine


Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : Terminée



Chapitre 122


Publié le 13/09/2013 à 13:38:54 par LePatriarche

Henri : Qu'est-ce qui se passe là hein ! Si vous voulez rester en vie, va falloir se tenir à carreaux compris ?

C'etait bizarre... Il avait l'air assez paniqué, et il ne montrait pas beaucoup d'assurance. La situation le dépassait certainement, mais ça risque d'etre une chance pour nous :

Moi : Pourquoi vous faites tout ça ?

Henri : Tu... Tu crois que je vais te répondre ?

Moi : Ca vous dépasse tout ça, je le sais... Mais ce que vous faites ne risque pas de...

Henri : T... TA gueule ! Je veux pas t'entendre, arretes !

Moi : La fille dans la cage la-bas... C'est ma petite amie, et je m'en voudrais s'il lui arrivait quelque chose... Et elle, allongé sur le sol, c'est ma meilleur amie, et a besoin de soins... Vous pouvez travailler ou faire ce que vous faites pour la cause la plus noble du monde, la fin ne justifie pas les moyens...

Henri : Ok... Alors tu vois... Y'a des gars qui me suivent partout où je vais, me menaçant, moi et ma famille... Ils ont besoin d'argent, et rapidement. Meme avec le salaire que je touche, ma banque n'a pas accepté ma demande de pret d'argent, et je fais ça pour ma famille ! Alors t'as compris maintenant ? Bon... Je vais appeler Thierry, pour qu'il vienne avec la thune nécéssaire...

Moi : Qui vous dit qu'il n'appelera pas la police ? La situation vous dépasse à vous aussi, à cause de Marc, votre plan est sacrément compromis. La meilleure chose à faire, c'est de se rendre, pendant qu'il en ai encore temps...

Henri : Oui bien sur...

Je sens que je peux le faire craquer, il n'a pas l'air d'etre un homme pouvant assassiner froidement quelqu'un. Il faut en profiter !

Moi : Relachez Léa et Karine, elle n'ont rien à voir dans cette histoire ! Elles sont terrorisés, regardez les !

Marc me regardait en hochant la tete, en signe de remerciement, pour sa soeur. Je ne voulais voir personne mourir ici, pour quelque chose comme ça :

Henri : Non... Non... Je peux pas !

Il peut encore changer, je le sens... Je dois trouver les mots qu'il faut pour essayer de nous sauver... C'est encore possible.


Commentaires

Aucun commentaire pour ce chapitre.