Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Qui suis-je ?


Par : picsou_riche
Genre : Science-Fiction, Sentimental
Statut : Terminée



Chapitre 5


Publié le 07/10/2012 à 16:33:14 par picsou_riche

Chapitre 5 :

Inquiétant, c'est le mot oui, entre les câbles pendouillant à droite à gauche, les flaques d'eau du au fuites et parfois des tâches de sang sur les murs ou le sol. Nous entendîmes un bruit, Amandine sursauta et voyant que j'allais crier elle me mis sa main sur ma bouche. Il y avait des voix venant de l'autre bout de du couloir. Je ne puis comprendre ce qu'elles racontaient mais elles étaient deux : un homme et une femme. Amandine me fis passer par la salle des urgences pour contourner les voix, elle semblait connaître l’hôpital, une salle où les instruments de médecines horribles traînaient encore et certains même salis, qui n'ont jamais étaient stérilisés, les fauteuils sur lesquelles ont opéré les patients étaient parfois ensanglantée, d'autre avaient des lanières pour bloquer les membres, et, plus horribles encore, je marchai tranquillement quand un crac se fit entendre sous mon pied, en regardant de plus prêt je constatai que c'était un petit os humain (et puis, que ce soit humain ou de poulet, ce n'est pas sa place non ?). Nous sortîmes de la salle d'urgence et traversâmes la morgue, avec surement des cadavres dans certains "coffres" au vus de ce que nous avions put voir auparavant, et mes doutes furent certitudes à l’odeur de la mort et du cadavres mal enfermé dont la main en décomposition sortait de son coffre, pour vous dire que mon repas d'avant sortis juste à la vue de cette horreur, bon certes Amandine était peut-être aussi une mort-vivante mais son cadavre ne puait pas et n'avait pas de traces de décompositions ou d'asticot dans les plaies si ce n'est que sa froideur car son sang ne tourne plus dans son corps, ce qui est normal puisqu'elle est morte.

Mais enfin nous étions sortis de la morgue, nous avions contourné les voix et nous priment la route vers une petit salle plutôt cachée dans un coin sombre d'un couloir de l'hôpital, dans l'aile gauche. Je vous décris le décors m'ayant stupéfier en y entra : un simple placard à balais avec un autre porte de fer derrière une armoire, une porte en fer froide et solide que seule Amandine put ouvrir ne possédant plus la définition du "froid" dans ses sentiments et son sens du touché, pratique en hiver tout de même ! En face, un escalier, et plus on descendais, plus une lumière bleu ciel faisait un peu de luminosité.

"- C'est de là que je me suis réveillée.
- Mais on est où ?
- Et bien je ne sais pas, désolée."

J'ouvris une armoire de fer et lis une feuille d'un des dossier y prenant poussière :

Rapport du 6 septembre 2012

Voilà cinq an que nous travaillons sur elle. Selon nos dernières recherches concernant la formule de [Illisible] et nos dernières expérience sont un succès.

Rappelez vous : les chercheurs du noms de Jordan Kelire et El[Illisible] ayant participé à ce projet doivent être éliminés dès les opérations finis et la somme des 700 000 000€ devront être versés à Zoé Ma[Illisible]fle.

Cerise


Ce que je compris et la même chose que vous, enfin je crois : Une organisation à enfermée Amandine dans ce laboratoire secret installé ici caché de la vue des curieux leur permettant de faire des expériences à l'objectif douteux. Je doute qu'il y est des idées bienfaisante derrière la tête, quand à ces chercheurs ils pourraient nous aider, s'ils étaient en vie bien sur, ce qui est bien moins certain. La somme à rendre à cette Zoé était aussi assez douteuse, serais-ce la chef de l'organisation ? Et puis, qui est ce signataire du nom de "Cerise" ?

Amandine doutait, elle sortie une autre feuille mais ce n'était que de simple résultat d'analyse :

Analyses:

Patient : Expérience N°1.
Date : 12 janvier 1998.

Stabilité : Mort.
Sang : GROUPE SANGUIN A+. Circulation des vaisseaux sanguins inexistante.
Etat du corps : Bon.
Chaleur thermique : 0°.

Julien


Pas de nom, juste "expérience N°1", impossible de savoir qui était ce, que ce soit pour cette analyse ou pour le rapport précédent.

"- Il se fais tard mon coeur.
- Et tu vas où ?
- Chez moi !
- Tu penses vraiment sortir et faire la route seul ?"

Elle avait raison, j'étais coincé ici, je ne pouvais pas sortir maintenant.

"- On... On va dormir ?
- Viens, je vais te montrer où je me suis cachée la première nuit."

Amandine m'amenait dans une sorte de petite chambre, au passage nous avions pris différentes feuilles et dossier pour faire des recherches, la pièce comportait un matelas pour lire double sale, pas de couverture mais un coussin, une armoire remplie de boites de conserve et une petite lampe. J'ai peut-être oublié de le signaler mais l'électricité de l'hôpital marchait encore !

"- J'ai peur.
- Allez viens mon ange, je te protège ! Me répondit-elle avec un rire.
- Merci ma belle, on lit un peu et on dort ?
- Oui, et la porte est fermée et j'y ai mis une planche pour bloquer la pigent, au cas où.
- Je t'aime.
- Je t'aime !"

Nous limes les documents et dormirent ensuite jusque la belle matinée.


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