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Qui suis-je ?


Par : picsou_riche
Genre : Science-Fiction, Sentimental
Statut : Terminée



Chapitre 3 : Chapitre 3


Publié le 04/10/2012 à 19:12:22 par picsou_riche

Chapitre 3 :

Je venais de rentrer chez moi, et mes souvenirs me rappelant ce "Je t'aime" soufflé à l'oreille me hantait. Mais ça parait banal dis comme ça, or il était... énigmatique, je cherchais à savoir si c'était un "Je t'aime" d'amour... ou d'amitié... ou encore de simple remerciement ? Et pourquoi ne pas lui demander le lendemain, quand j'étais retourné la voir ? Enfin quoi qu'il en soit avant tout je devais dormir car il était assez tard et il faisait déjà nuit. Une nuit d'un sombre d'encre. Je lisais juste mon Picsou Magazine avant de m'endormir, car oui, je suis très passionné par les aventures de Picsou et de Donald !
Vous connaissez le sampo ? Non ? Et bien pourquoi ne pas vous expliquer afin d'augmenter votre culture général, et ainsi d'épater votre entourage en étalant vos minutieuse connaissance ! Le sampo, l'objet dont tous le monde rêve si je peux m'exprimer ainsi, c'est un objet magique souvent associé à Pohjola et qui assure la fortune à son propriétaire, selon la mythologie finnoise.

D'après cette mythologie, lorsqu'il fut volé à son constructeur, Ilmarinen, le pays de ce dernier sombra dans les difficultés et une expédition fut donc organisée pour le retrouver. La bataille navale qui s'ensuivit fut perdue.
Personne ne sait exactement quel type d'objet est le sampo. Aussi, les interprétations sont nombreuses. Il a par exemple été décrit comme un compas ou un astrolabe. Dans le Kalevala, Lönnrot le présente comme une sorte de moulin capable de fabriquer de la farine, du sel et de l'or à partir de l'air pur. Le poète Paavo Haavikko suggère quant à lui qu'il s'agit d'un trésor volé par les Vikings à Constantinople. D'autres l'ont comparé à la machine d'Anticythère quand celle-ci a été découverte.
Quoi qu'il en soit, le sampo est omniprésent dans la culture finlandaise.

(source : Wikipédia)

Enfin, cela dit, je puis m'endormir.

Ah ! Une bonne matinée qui commençait par un petit déjeuner très copieux mais bon, que cela nous importe-il ? Une fois de plus je laissa mes amis en partant tôt la matin pour le tunnel, mon vélo était dégonflé donc je partis à pied.
Mais, étrangement, je croisai Amandine marchant au bord de la route. J’espérais que personne ne l'avais remarquais avec sa dégaine de déterrée visible à des kilomètres !

"- Salut !
- Salut Amandine. Ça va ?
- Si on veux... Je me sens pas bien...
- Tu as quoi ?
- Je suis peut-être morte, mais à pars la température je ressens encore de nombreux sentiments comme les vivants, et... je ressens la faim.
- Je peux pas t'amener dans la cabane mais...
- Au moins quelques fraises !
- Il doit y en avoir dans ce bois, allons y.
- Merci... vraiment."

Je lui répondis pas un petit sourire, pris sa main, bien que froide et l'amenai dans les bois avec moi. Nous cherchions des fraises des bois, peut-être petites les coquines, mais très délicieuse en contrepartie. Je sais que j'éprouvais quelque chose pour elle, s'était flagrant même ! Je sais que je vous le répète souvent, mais Amandine était une fille très jolie malgré ces blessures et autres défauts de son enveloppe charnelle blessant sa beauté magnifique de perfection, ah je m'en vais encore vous le dire, elle est tellement jolie que j'en rêve d'elle même ! Et puis, si ce n'était que le physique... mais on, en plus de son physique extrêmement magnifique, sublime, merveilleux, incroyable, parfait et tous autres adverbes ou adjectifs mélioratifs pouvant le qualifier, elle possédait un moral hors normes, vraiment très gentille et rigolote même, en plus !

Mais j'éviterais encore de faire des éloges sur elle, vous risqueriez d'en être lassé malgré que je m'en régale fortement, croyez moi.

Pour reprendre nous sommes donc allez cueillir nos fraises pendant toutes la journées, bien sûr nous nous sommes aussi balader et... et puis je la draguais au fond, je sais ce n'est pas très normal que d'être amoureux d'une morte mais elle valait tellement mieux que n'importe qui ! Ah... j'avais dis de ne plus faire l'éloge d'Amandine ? Veuillez m'en excuser, c'est plus fort que moi. Je voyais bien qu'elle était sous le charme elle aussi, elle rougissait, elle rigolait, elle était joyeuse et oubliais ses inquiétants soucis. Pour une fois je peux le dire haut et fort : elle était heureuse.
J'étais avec elle depuis voilà toute la journée, je pouvais constater qu'elle m'aimer... mais je savais de qu'elle façon maintenant, c'était de l'amour ! J'en étais persuadé, alors je lui avoua mes sentiments.

"- Amandine je dois te dire...
- Oui ?
- Je... Je t'... Je t'aime !"

Elle ne répondit pas, choquée, ses lèvres bougèrent un peu et sans toujours ne rien dire elle se jeta dans mes bras et m’embrassa langoureusement,tendrement, amoureusement... Des larmes de joies et de bonheur coulaient, et le sang de ses joues en devint liquide, il se mélangeait aux larmes de bonheurs et s'enlevait peu à peu, ainsi je pourrais employer le terme de purification car le bonheur purifiait son état de tristesse et de mort-vivante.

Et cette fois ci elle me sortie un nouveau "Je t'aime" à l'oreille, un "Je t'aime" d'amour cette fois ci, d'un amour immense et sincère.

Je l'aime.


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