Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 21
Attaque groupée.
Publié le 26/05/11 à 22:58:55 par 17XX
18h, dans deux heures le soleil commencera à se coucher, dans deux heures, les chances de survie de Benjamin et du Lieutenant seront divisées par 10...
Nathan me fit signe de venir à part, tout le monde étant assis autour du feu.
-Quoi ?
-Il faut qu'on aille les chercher.
-T'es malade ? T'as oublié ce qu'il s'est passé à Montpellier ?
-On peux pas les laisser comme ça putain ! Et puis...
Nathan fu coupé par des hurlements, des hurlements qu'on commencent à bien connaître, et ils sont assez proches, trop proches.
-Ok tout le monde, ce soir personne ne dort, restez sur vos gardes et prévenez si vous avez un problème, restez près de vos tentes, il ne faut pas être trop groupé non plus.
Patrick a tout juste, trop groupé, trop risqué, mais pas assez c'est encore pire. Ses consignes me paraissent bonnes.
22h, Je suis assis devant ma tente avec Nathan, arme à la main, j'ai un très mauvais pressentiment ce soir.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGH
ça ressemble à la voix de Jérémy...
-PUTAIN ! NON ! Cria Nathan courant vers les tentes du fonds, très vite, un bon nombre de hurlements suivirent.
Jérémy est sur le sol, la carotide ouverte. Sa mère assise en pleurs
-Jérémy ! Jérémy ! Non !... Mon fiiiils !
Ses hurlements me déchirent le cœur, très vite, le regarde Jérémy s'éteind.
Aucune trace des crétures. Personne ne parle tout le monde est sous le choc.
-Ils se regroupent pour rattaquer ! Dans les voitures vite ! Allez allez !
Je cours a la tente de ma protégée, qui n'a pas arrêté de dormir depuis ces derniers jours.
Tout le monde se précipita dans les voitures, sauf la mère de Jérémy qui resta là, je décide de retourner la chercher, puisque personne n'a les couilles de le faire. Mais impossible, des dizaines de silhouettes ombrées apparaissent, éclairées par le feu, et la mère de Jérémy se retrouve submergée, aucune chance.
Je crie à Nathan :
-Allez démarre !
Impossible, les créatures se précipitent sur notre voiture et commencent à tenter de casser les vitres, nos tirs n'y changent rien, ils sont trop, ils frappent tellement fort sur le vitres que leur mains sont en sang, puis les vitres finissent par céder.
Nous sommes totalement submergé. C'est fini... Quand soudain, un bruit de moteur, puis un tir automatique assourdissant, une mitrailleuse surement, impossible à distinguer avec tout ce sang sur les vitres. Les mouvements s'arrêtent, apparement les créatures se dispersent, c'est bien la première fois que je vois ça. Puis d'autres tirs se font entendre, ainsi que des bruits de 4x4. Dans la voiture, tout le monde est sous le choc, y'a du sang partout.
-Aaah putain !
C'était Patrick, mordu au bras.
-Putain j'suis fini, j'suis fini !
-Calme toi, on sait pas si ça se transmet comme ça !
La porte s'ouvre, et je vois le regard rassurant de Benjamin.
-Alors, on a besoin d'aide ?
Sous le coups de l'émotion, je le sers dans mes bras.
-Regarde s'que j'ai trouvé, des cowboys qui se sont perdu aha.
Un officier de l'armée s'approche de moi.
-Capitaine Thomas, content de vous avoir aidéles jeunes.
-Merci du fond du cœur, dit Nathan.
-Voici mes hommes, médecin,
-Lucie, content de te connaître.
-Mon frère,
-1ere classe Lillian, content d'avoir pu donner un coups de main.
-et Youssef, notre pilote, Alexandre, spécialiste en explosifs, Michael, tireur d'élite, et Lukas, nouvelle recrue.
-Merci beaucoup les gars...
-C'est notre boulot. Nous sommes du Secteur 7, chargés d'enqueter sur les armes biologiques ou les risques biochimiques ou bactériologiques.
-C'était vous qui étiez poursuivi par des dizaines de ces trucs ?
-Cet après-midi ? Oui, on a reussi à s'en sortir mais on a entendu des tirs alors on est venu, suivant les indications de votre ami, le Sergent. Allez, faut pas trop tarder ici, en voiture, ils sortent des villes et investissent les campagnes, faut pas trainer.
-D'accord, allez tout le monde, on repars. Tu tiendras le coups Patrick ?
-Ca saigne pas beaucoup, ça va.
Une fois dans la voiture, cette question qui me brûle les lèvres, finit par sortir :
-Benjamin, ou est le Lieutenant ?
-Il...il s'en est pas sorti...
-Quoi ?!
-C'est une longue histoire.
Nathan me fit signe de venir à part, tout le monde étant assis autour du feu.
-Quoi ?
-Il faut qu'on aille les chercher.
-T'es malade ? T'as oublié ce qu'il s'est passé à Montpellier ?
-On peux pas les laisser comme ça putain ! Et puis...
Nathan fu coupé par des hurlements, des hurlements qu'on commencent à bien connaître, et ils sont assez proches, trop proches.
-Ok tout le monde, ce soir personne ne dort, restez sur vos gardes et prévenez si vous avez un problème, restez près de vos tentes, il ne faut pas être trop groupé non plus.
Patrick a tout juste, trop groupé, trop risqué, mais pas assez c'est encore pire. Ses consignes me paraissent bonnes.
22h, Je suis assis devant ma tente avec Nathan, arme à la main, j'ai un très mauvais pressentiment ce soir.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGH
ça ressemble à la voix de Jérémy...
-PUTAIN ! NON ! Cria Nathan courant vers les tentes du fonds, très vite, un bon nombre de hurlements suivirent.
Jérémy est sur le sol, la carotide ouverte. Sa mère assise en pleurs
-Jérémy ! Jérémy ! Non !... Mon fiiiils !
Ses hurlements me déchirent le cœur, très vite, le regarde Jérémy s'éteind.
Aucune trace des crétures. Personne ne parle tout le monde est sous le choc.
-Ils se regroupent pour rattaquer ! Dans les voitures vite ! Allez allez !
Je cours a la tente de ma protégée, qui n'a pas arrêté de dormir depuis ces derniers jours.
Tout le monde se précipita dans les voitures, sauf la mère de Jérémy qui resta là, je décide de retourner la chercher, puisque personne n'a les couilles de le faire. Mais impossible, des dizaines de silhouettes ombrées apparaissent, éclairées par le feu, et la mère de Jérémy se retrouve submergée, aucune chance.
Je crie à Nathan :
-Allez démarre !
Impossible, les créatures se précipitent sur notre voiture et commencent à tenter de casser les vitres, nos tirs n'y changent rien, ils sont trop, ils frappent tellement fort sur le vitres que leur mains sont en sang, puis les vitres finissent par céder.
Nous sommes totalement submergé. C'est fini... Quand soudain, un bruit de moteur, puis un tir automatique assourdissant, une mitrailleuse surement, impossible à distinguer avec tout ce sang sur les vitres. Les mouvements s'arrêtent, apparement les créatures se dispersent, c'est bien la première fois que je vois ça. Puis d'autres tirs se font entendre, ainsi que des bruits de 4x4. Dans la voiture, tout le monde est sous le choc, y'a du sang partout.
-Aaah putain !
C'était Patrick, mordu au bras.
-Putain j'suis fini, j'suis fini !
-Calme toi, on sait pas si ça se transmet comme ça !
La porte s'ouvre, et je vois le regard rassurant de Benjamin.
-Alors, on a besoin d'aide ?
Sous le coups de l'émotion, je le sers dans mes bras.
-Regarde s'que j'ai trouvé, des cowboys qui se sont perdu aha.
Un officier de l'armée s'approche de moi.
-Capitaine Thomas, content de vous avoir aidéles jeunes.
-Merci du fond du cœur, dit Nathan.
-Voici mes hommes, médecin,
-Lucie, content de te connaître.
-Mon frère,
-1ere classe Lillian, content d'avoir pu donner un coups de main.
-et Youssef, notre pilote, Alexandre, spécialiste en explosifs, Michael, tireur d'élite, et Lukas, nouvelle recrue.
-Merci beaucoup les gars...
-C'est notre boulot. Nous sommes du Secteur 7, chargés d'enqueter sur les armes biologiques ou les risques biochimiques ou bactériologiques.
-C'était vous qui étiez poursuivi par des dizaines de ces trucs ?
-Cet après-midi ? Oui, on a reussi à s'en sortir mais on a entendu des tirs alors on est venu, suivant les indications de votre ami, le Sergent. Allez, faut pas trop tarder ici, en voiture, ils sortent des villes et investissent les campagnes, faut pas trainer.
-D'accord, allez tout le monde, on repars. Tu tiendras le coups Patrick ?
-Ca saigne pas beaucoup, ça va.
Une fois dans la voiture, cette question qui me brûle les lèvres, finit par sortir :
-Benjamin, ou est le Lieutenant ?
-Il...il s'en est pas sorti...
-Quoi ?!
-C'est une longue histoire.
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