Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 23
Publié le 28/05/11 à 22:49:31 par 17XX
Quelques minutes plus tard, nous trouvons enfin une station service, sur une grande aire de service accompagnée d'un Hôtel, et d'un restaurant.
Nous descendons tous des voitures, histoire de ne pas diviser le groupe.
Cpt.Thomas : - Ok, mon équipe va rester dehors pour couvrir nos arrières, Youssef, fais le plein et quelques réserves, on va faire quelques recherches dans le coin.
Mika sort sa caméra, au-cas où quelque chose se passe.
-Nathan viens avec moi, on va voir ce qu'il y a dans cet Hôtel.
Nous nous dirigeons vers l'Hôtel, Patrick et la fille restent dans la voiture, pendant que Benjamin se poste légerement en hauteur histoire de couvrir le secteur.
L'Hôtel n'est pas beau à voir. L'acceuil est devasté, avec du sang partout, un bras est resté accroché à un téléphone publique, pauvres gens. Mais aucun corps, mauvais signe.
J'arme mon fusil, tout comme Nathan, et nous montons les étages, jusqu'à ce que quelque chose m'interpelle.
-Nathan, regarde cette porte au fonds, y'a quelque chose écrit dessus.
Sur la porte, écris à la peinture, il est écrit « Survivants à l'intérieur » .
-Putain !
Je pousse délicatement la porte, plein d'espoirs. Mais j'ai vite déchanté. Plutôt que de trouver de pauvres gens ayant réussis à s'en tirer, seulement quelques corps jonchent le sols, certains ayant été partiellement dévoré. Il y a même... Un berceau, mais le bébé n'est pas à l'intérieur.
Nathan : - Hé ! T'as entendu ?!
-Non, quoi ?
Nathan : - Je sais pas, on aurait dit, comme un grattement, sur le plafond du dessus.
-Allons voir.
Nous montons donc l'escalier, le long d'une très long trace de sang, qui, comme par hasard, se termine devant la porte semblant se situer au dessus de la pièce où nous étions.
-Qu'est-ce qu'on fait ?
Nathan : - Au point où on en est. Ouvrons cette fichue porte.
Même manège, j'ouvres délicatement la porte. Grave erreur. Un homme qui semble encore vivant est entrain de se faire dévorer, par... par quelque chose que je n'ai jamais vu. Une créature mesurant facilement 1m90, chaque muscles de son corps palpite, des plaies ouvertes et suintantes couvrent son corps, et de surcroît, elle est incroyablement musclée. Sa peau est blanche.
Je murmure à Nathan :
-Recule, doucement, faut se tirer d'ici.
Mais il est trop tard. Les narines de la chose poussent un long soupir, comme si elles ont senties quelque chose, ce quelque chose, c'est nous. Elle se retourne brusquement et nous regarde pendant une fraction de secondes. Son visage est dénué de peau, les os sont visibles et les yeux sortent de leurs orbites, injéctés de sang. Il pousse un long hurlement furieux.
-COURS !
Nous dévalons les escaliers le plus vite possible, la chose sur nos talons, au coin de l'escalier elle tente de ma frapper, je peux voir sa « main » munie de très longue griffes, mais il faut à tout prix éviter de tirer, sinon, l'épisode de la nuit à montpellier ou du camps risque de se reproduire.
Nathan tourne au coin, moi je passe en trombe dans l'accueil de l'Hôtel, la bête toujours derrière moi.
Benjamin : - Putain c'est quoi ça ! Feu feu feuuu !
Les tirs fusent, mais la bête ne bronche pas, elle continue à me poursuivre et se rapproche, malgrès les tentatives du Capitaine Thomas de l'attirer vers lui.
Capitaine : ALEEEX ! SORS LE Mk19 ! BASTIEN COUCHES TOI !
C'est le moment ou jamais, je me jetes au sol, et un bruit sourds suivi d'une explosion perçante s'en suis. Je suis sonné. Mes oreilles bourdonnent et je vois trouble. J'entends faiblement :
Benjamin : - Aha ! Beau carton Alex !
Mika : - Trêves de plaisenteries, putain c'est quoi ce truc ?!
Il ne reste plus grand chose de la créature, un trou béant s'est formé dans son dos. Mais son visage est intact, la haine et la fureur brillent encore dans ses yeux.
-Ca va mec ? Me demande Nathan.
-Je... Je crois ouais. Putain...
Nous descendons tous des voitures, histoire de ne pas diviser le groupe.
Cpt.Thomas : - Ok, mon équipe va rester dehors pour couvrir nos arrières, Youssef, fais le plein et quelques réserves, on va faire quelques recherches dans le coin.
Mika sort sa caméra, au-cas où quelque chose se passe.
-Nathan viens avec moi, on va voir ce qu'il y a dans cet Hôtel.
Nous nous dirigeons vers l'Hôtel, Patrick et la fille restent dans la voiture, pendant que Benjamin se poste légerement en hauteur histoire de couvrir le secteur.
L'Hôtel n'est pas beau à voir. L'acceuil est devasté, avec du sang partout, un bras est resté accroché à un téléphone publique, pauvres gens. Mais aucun corps, mauvais signe.
J'arme mon fusil, tout comme Nathan, et nous montons les étages, jusqu'à ce que quelque chose m'interpelle.
-Nathan, regarde cette porte au fonds, y'a quelque chose écrit dessus.
Sur la porte, écris à la peinture, il est écrit « Survivants à l'intérieur » .
-Putain !
Je pousse délicatement la porte, plein d'espoirs. Mais j'ai vite déchanté. Plutôt que de trouver de pauvres gens ayant réussis à s'en tirer, seulement quelques corps jonchent le sols, certains ayant été partiellement dévoré. Il y a même... Un berceau, mais le bébé n'est pas à l'intérieur.
Nathan : - Hé ! T'as entendu ?!
-Non, quoi ?
Nathan : - Je sais pas, on aurait dit, comme un grattement, sur le plafond du dessus.
-Allons voir.
Nous montons donc l'escalier, le long d'une très long trace de sang, qui, comme par hasard, se termine devant la porte semblant se situer au dessus de la pièce où nous étions.
-Qu'est-ce qu'on fait ?
Nathan : - Au point où on en est. Ouvrons cette fichue porte.
Même manège, j'ouvres délicatement la porte. Grave erreur. Un homme qui semble encore vivant est entrain de se faire dévorer, par... par quelque chose que je n'ai jamais vu. Une créature mesurant facilement 1m90, chaque muscles de son corps palpite, des plaies ouvertes et suintantes couvrent son corps, et de surcroît, elle est incroyablement musclée. Sa peau est blanche.
Je murmure à Nathan :
-Recule, doucement, faut se tirer d'ici.
Mais il est trop tard. Les narines de la chose poussent un long soupir, comme si elles ont senties quelque chose, ce quelque chose, c'est nous. Elle se retourne brusquement et nous regarde pendant une fraction de secondes. Son visage est dénué de peau, les os sont visibles et les yeux sortent de leurs orbites, injéctés de sang. Il pousse un long hurlement furieux.
-COURS !
Nous dévalons les escaliers le plus vite possible, la chose sur nos talons, au coin de l'escalier elle tente de ma frapper, je peux voir sa « main » munie de très longue griffes, mais il faut à tout prix éviter de tirer, sinon, l'épisode de la nuit à montpellier ou du camps risque de se reproduire.
Nathan tourne au coin, moi je passe en trombe dans l'accueil de l'Hôtel, la bête toujours derrière moi.
Benjamin : - Putain c'est quoi ça ! Feu feu feuuu !
Les tirs fusent, mais la bête ne bronche pas, elle continue à me poursuivre et se rapproche, malgrès les tentatives du Capitaine Thomas de l'attirer vers lui.
Capitaine : ALEEEX ! SORS LE Mk19 ! BASTIEN COUCHES TOI !
C'est le moment ou jamais, je me jetes au sol, et un bruit sourds suivi d'une explosion perçante s'en suis. Je suis sonné. Mes oreilles bourdonnent et je vois trouble. J'entends faiblement :
Benjamin : - Aha ! Beau carton Alex !
Mika : - Trêves de plaisenteries, putain c'est quoi ce truc ?!
Il ne reste plus grand chose de la créature, un trou béant s'est formé dans son dos. Mais son visage est intact, la haine et la fureur brillent encore dans ses yeux.
-Ca va mec ? Me demande Nathan.
-Je... Je crois ouais. Putain...
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