Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 19
Disparition
Publié le 25/05/11 à 23:22:19 par 17XX
Après vingt minutes de petite route, nous trouvons enfin une nationale qui nous dirigera vers la civilisation, donc des voitures. Sachant qu'il nous faut aussi des provisions pour la route, des munitions voire des armes plus puissantes pour ceux qui ne sont pas ou peu armés.
Nous arrivons à une petite ville, voire un village, appelé Saint-Denis sur bois. Apparemment, même les villages n'ont pas été épargnés, de loin je peux dejà voire une énorme coulée de sang s'écoulant d'une fenêtre.
-Restez sur vos gardes les gars, trouvons une voiture et des vivres, et barrons nous, murmura Nathan.
Le camion du Lieutenant continua sur la droite, nous, sur la gauche, histoire de trouver ce que nous cherchons plus vite. En tout cas, c'est pas ici qu'on trouvera des armes.
-Là ! Celle là à l'air bonne, dit Jérémy.
Une petite citadine noire, c'est un peu petit mais ça devrait suffire.
-Je vais voir s'il y a les clés sur le contact. Elles y sont c'est bon, Patrick la conduira au retour.
Par reflexe ou je ne sais quoi, Patrick pris les clés.
-Bon, ils nous manquent plus que les vivres.
-Dans ce coin y'aura rien de plus qu'une épicerie, dit Patrick.
-Ca suffira, répondit Nathan.
-Attendez ! S'écria Jérémy, vous entendez ?
-Euh, non.
Je tendis l'oreille et pu en fait distinguer des bruits de pas. Mais pas des bruits de pas qu'on entend dans une maison, je parle de quelque chose qui ressemblerai à... Une dizaine de chevaux au galop.
-Qu'est-ce que c'est que ce bordel encore, marmonna Nathan, énervé.
Puis nous entendons de tirs, en provenance de derrière le paté de maison devant lequel nous sommes.
Je le contourne et observe au loin. Le paté de maisons fait face à une gigantesque colline, sur laquelle je vois au moins une centaine de créatures, courir après quatre 4x4 militaires qui tirent à la mitrailleuse mais rien n'y fait, la course poursuite continue pour se finir dans la forêt en bas de la colline. Ca doit être à un kilomètre, maximum.
-Putaaain, dit Nathan, Patrick et Jérémy en cœur, derrière moi.
-On devrait pas rester dans le coin.
-On trouves l'épicerie et on y va.
L'armée Française elle même plie devant ces monstres. Comment nous, petit groupe de survivants sans experience pouvons nous en sortir ? Je n'en sais rien.
Nous trouvons l'épicerie en face d'une église, sur la place du village, désertée et jonchée de corps, apparemment les villages n'ont pas eu le temps d'être évacuer. Pauvres gens...
-Faites attention qui nous dit qu'ils ne se releverons pas ? Dit Jérémy.
-Parceque c'est pas des zombies, rétorqua Nathan.
-C'est quoi pour toi des humains morts qui bouffent des autres humains ?
-On sait pas si ils sont morts, stop tes spéculations ça nous sert à rien en ce moment.
Nous récupérons tout ce dont nous avons besoin dans l'épicerie, Patrick prit quelques bouteilles de 51.
-Patrick, essaye de joindre le Lieutenant.
<< Lieutenant Baptiste ? Vous me recevez ? On a trouvé une voiture et des vivres, rejoignez nous au point de départ, à vous. >>
Nous arrivons à une petite ville, voire un village, appelé Saint-Denis sur bois. Apparemment, même les villages n'ont pas été épargnés, de loin je peux dejà voire une énorme coulée de sang s'écoulant d'une fenêtre.
-Restez sur vos gardes les gars, trouvons une voiture et des vivres, et barrons nous, murmura Nathan.
Le camion du Lieutenant continua sur la droite, nous, sur la gauche, histoire de trouver ce que nous cherchons plus vite. En tout cas, c'est pas ici qu'on trouvera des armes.
-Là ! Celle là à l'air bonne, dit Jérémy.
Une petite citadine noire, c'est un peu petit mais ça devrait suffire.
-Je vais voir s'il y a les clés sur le contact. Elles y sont c'est bon, Patrick la conduira au retour.
Par reflexe ou je ne sais quoi, Patrick pris les clés.
-Bon, ils nous manquent plus que les vivres.
-Dans ce coin y'aura rien de plus qu'une épicerie, dit Patrick.
-Ca suffira, répondit Nathan.
-Attendez ! S'écria Jérémy, vous entendez ?
-Euh, non.
Je tendis l'oreille et pu en fait distinguer des bruits de pas. Mais pas des bruits de pas qu'on entend dans une maison, je parle de quelque chose qui ressemblerai à... Une dizaine de chevaux au galop.
-Qu'est-ce que c'est que ce bordel encore, marmonna Nathan, énervé.
Puis nous entendons de tirs, en provenance de derrière le paté de maison devant lequel nous sommes.
Je le contourne et observe au loin. Le paté de maisons fait face à une gigantesque colline, sur laquelle je vois au moins une centaine de créatures, courir après quatre 4x4 militaires qui tirent à la mitrailleuse mais rien n'y fait, la course poursuite continue pour se finir dans la forêt en bas de la colline. Ca doit être à un kilomètre, maximum.
-Putaaain, dit Nathan, Patrick et Jérémy en cœur, derrière moi.
-On devrait pas rester dans le coin.
-On trouves l'épicerie et on y va.
L'armée Française elle même plie devant ces monstres. Comment nous, petit groupe de survivants sans experience pouvons nous en sortir ? Je n'en sais rien.
Nous trouvons l'épicerie en face d'une église, sur la place du village, désertée et jonchée de corps, apparemment les villages n'ont pas eu le temps d'être évacuer. Pauvres gens...
-Faites attention qui nous dit qu'ils ne se releverons pas ? Dit Jérémy.
-Parceque c'est pas des zombies, rétorqua Nathan.
-C'est quoi pour toi des humains morts qui bouffent des autres humains ?
-On sait pas si ils sont morts, stop tes spéculations ça nous sert à rien en ce moment.
Nous récupérons tout ce dont nous avons besoin dans l'épicerie, Patrick prit quelques bouteilles de 51.
-Patrick, essaye de joindre le Lieutenant.
<< Lieutenant Baptiste ? Vous me recevez ? On a trouvé une voiture et des vivres, rejoignez nous au point de départ, à vous. >>
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