Ma nouvelle vie de dealer
Par : HousseDeRocket
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 26
Publié le 28/12/08 à 17:12:01 par HousseDeRocket
[ Sweetzy me dit qu'en haut nous serions plus calme, et que l'ambiance était meilleure. Alors je le suivais, toujours la peur au ventre, toujours sans savoir ce qu'il allait m'arriver. ]
Arrivé en haut, Sweetzy sortit une clef et ouvra une porte située quasiment sur la dernière marche des escaliers. La porte avait l'air lourde et solide, pas comme celles du bas. Il n'y avait pas de poigné à l'extérieur. Seul le propriétaire pouvait entrer.
A mon avis, cette partie de la maison servait de cachette.
Le 1er étage de la maison était complétement différent du rez de chaussé : il avait l'air aménagé, et entretenu.
Le long couloir dans lequel nous étions arrivés était décoré de posters en tout genre : Bob Marley, Woodstock, et autre affiches de concert comblaient les murs.
Le sol était lui, tapissé d'une moquette violette.
Sweetzy prit soin de refermer la lourde porte derrière lui, et seulement après, il me dit :
« Alors c'est pas bien chez moi ?
- T'habite dans une maison abandonnée ?
- Oui, mais au moins les flics ne viendront jamais me chercher ici...
- T'as pas peur qu'un mec te découvre ?
- Nan, t'inquiète pas les gens qui viennent ici sont tous des paumés qui cherchent de la drogue. La plupart ne se souviennent jamais de où ils étaient hier, et ce qu'ils ont fait.
- Et toi tu profites d'eux ?
- Nan, camarade, je leur vends ce qu'ils veulent, après c'est leur problème... Le méchant dans l'affaire c'est pas moi.
- C'est qui alors ?
- C'est le Système... »
Après cette discution, il me fit signe de le suivre :
« Derrière chacune de ces portes, il n'y a qu'en fait une seule et unique chambre. Seuls les gens que j'apprécie peuvent se vanter de pouvoir y accéder.
- Et pourquoi moi ?
- Parce que tu m'as paru être un gars costaud... Et j'ai aussi beaucoup entendu parler de toi...
- Qui ça ? Qui t'as parlé de moi ?
- C'est Kador, tu le connais je crois ? Il m'a raconté tes exploits...
- Ah oui ?
- Euh, et à ce propos, ce soir tu sais ce qu'il se passe ?
- Nan, Kador m'en a parlé mais sans plus.
- Y a une vente d'héro. Une affaire « régionale » si tu vois c'que je veux dire...
- Nan je vois pas trop...
- Ca veut dire qu'il y aura assez de dope pour alimenter la région plusieurs mois. Tout les receleurs attendent cette vente pour se refaire des stocks. Ca se compte en kilos, en provenance directe de chez Ben Laden via les pays-bas.
- Et ?
- Kador a eu l'info d'un de ses contacts, normalement on devrait pas savoir tout ça...
- Le gang de Kador participe à cet échange ?
- Nan, enfin directement nan. Disons qu'avant de voir la couleur de la poudre, ça passe de mains en mains, et à chaque fois les grandes familles se font un max de pognon avant de nous les vendre au prix fort.
- Et alors vous aussi ? Quand vous la vendez aux pauvres camés et aux clodos ?
- Ouais, mais c'est différent, nous on se fout pas de leur gueule !
- Ouais...
- On en a mare mec ! On a prévu d'aller les braquer, de prendre le pognon, et de laisser l'héro sur place, sinon ils pourront nous pister...
- Pourquoi ?
- Y a des numéros sur les sachet, et y a le blase de leur famille, s'ils voient quelqu'un avec ça ils vont lui demander où il l'a acheté et remonter jusqu'à nous...
- Et votre plan consiste à quoi ? Les mecs vont venir armés jusqu'aux dents ?
- Justement nan ! Ca fait 15 ans qu'ils sont associés, alors ils ont pas intérêt à se taper dessus. Et puis personne n'est au courant...
- Sauf nous...
- Et on est les seuls à avoir des armes. Alors ce soir c'est le grand soir !
- Kador m'a parlé de son boss ? Il sera là ?
- Oui il sera là, mais on va le refroidir en même temps que les autres...
- Et moi je fais quoi ?
- Toi tu te caches dans la voiture, en attendant qu'on revienne...
- Super, je suis rassuré...
- T'inquiète pas, et profite de la soirée maintenant... »
J'étais inquiet, mais bon, si je restais loin de l'action je ne risquais rien. Et si vraiment ça tournait mal, je partirai en voiture. De toute façon j'étais obligé d'y aller.
Puis Sweetzy ouvrit la porte et m'invita à entrer.
À l'intérieur, surprise, Kador était là, les deux filles que Sweetzy avait invité aussi.
Ils avaient l'air de s'amuser : Kador était en train d'en tripoter une, tandis que l'autre fumait du cr*ck.
Sweetzy me demanda :
« Tu veux venir te détendre avec nous ?
- Euh, nan merci je vais restais là...
- Tu veux un joint, une pills ?
- Nan merci, je veux rester lucide.
- Bon, bah à tout à l'heure, tu peux attendre dans cette pièce si tu veux... »
Aussitôt, aussitôt fait. J'entrais dans la pièce et je me suis allumé une clope en attendant.
Rapidement, leur petite réunion tourna en orgie. J'entendais des cris de jouissance, et je voyais les murs trembler.
Quand ce fut fini, après avoir fumé une dizaines de clopes, Sweetzy toqua à la porte et me fit signe de le suivre. Et tandis qu'on descendait l'escalier, il referma la porte à clef.
Les filles prirent un autre chemin que le nôtre.
Kador et moi sortirent de la baraque, et après avoir échanger quelques mots, nous prîmes la voiture avec Sweetzy, direction le lieu de l'échange.
Arrivé en haut, Sweetzy sortit une clef et ouvra une porte située quasiment sur la dernière marche des escaliers. La porte avait l'air lourde et solide, pas comme celles du bas. Il n'y avait pas de poigné à l'extérieur. Seul le propriétaire pouvait entrer.
A mon avis, cette partie de la maison servait de cachette.
Le 1er étage de la maison était complétement différent du rez de chaussé : il avait l'air aménagé, et entretenu.
Le long couloir dans lequel nous étions arrivés était décoré de posters en tout genre : Bob Marley, Woodstock, et autre affiches de concert comblaient les murs.
Le sol était lui, tapissé d'une moquette violette.
Sweetzy prit soin de refermer la lourde porte derrière lui, et seulement après, il me dit :
« Alors c'est pas bien chez moi ?
- T'habite dans une maison abandonnée ?
- Oui, mais au moins les flics ne viendront jamais me chercher ici...
- T'as pas peur qu'un mec te découvre ?
- Nan, t'inquiète pas les gens qui viennent ici sont tous des paumés qui cherchent de la drogue. La plupart ne se souviennent jamais de où ils étaient hier, et ce qu'ils ont fait.
- Et toi tu profites d'eux ?
- Nan, camarade, je leur vends ce qu'ils veulent, après c'est leur problème... Le méchant dans l'affaire c'est pas moi.
- C'est qui alors ?
- C'est le Système... »
Après cette discution, il me fit signe de le suivre :
« Derrière chacune de ces portes, il n'y a qu'en fait une seule et unique chambre. Seuls les gens que j'apprécie peuvent se vanter de pouvoir y accéder.
- Et pourquoi moi ?
- Parce que tu m'as paru être un gars costaud... Et j'ai aussi beaucoup entendu parler de toi...
- Qui ça ? Qui t'as parlé de moi ?
- C'est Kador, tu le connais je crois ? Il m'a raconté tes exploits...
- Ah oui ?
- Euh, et à ce propos, ce soir tu sais ce qu'il se passe ?
- Nan, Kador m'en a parlé mais sans plus.
- Y a une vente d'héro. Une affaire « régionale » si tu vois c'que je veux dire...
- Nan je vois pas trop...
- Ca veut dire qu'il y aura assez de dope pour alimenter la région plusieurs mois. Tout les receleurs attendent cette vente pour se refaire des stocks. Ca se compte en kilos, en provenance directe de chez Ben Laden via les pays-bas.
- Et ?
- Kador a eu l'info d'un de ses contacts, normalement on devrait pas savoir tout ça...
- Le gang de Kador participe à cet échange ?
- Nan, enfin directement nan. Disons qu'avant de voir la couleur de la poudre, ça passe de mains en mains, et à chaque fois les grandes familles se font un max de pognon avant de nous les vendre au prix fort.
- Et alors vous aussi ? Quand vous la vendez aux pauvres camés et aux clodos ?
- Ouais, mais c'est différent, nous on se fout pas de leur gueule !
- Ouais...
- On en a mare mec ! On a prévu d'aller les braquer, de prendre le pognon, et de laisser l'héro sur place, sinon ils pourront nous pister...
- Pourquoi ?
- Y a des numéros sur les sachet, et y a le blase de leur famille, s'ils voient quelqu'un avec ça ils vont lui demander où il l'a acheté et remonter jusqu'à nous...
- Et votre plan consiste à quoi ? Les mecs vont venir armés jusqu'aux dents ?
- Justement nan ! Ca fait 15 ans qu'ils sont associés, alors ils ont pas intérêt à se taper dessus. Et puis personne n'est au courant...
- Sauf nous...
- Et on est les seuls à avoir des armes. Alors ce soir c'est le grand soir !
- Kador m'a parlé de son boss ? Il sera là ?
- Oui il sera là, mais on va le refroidir en même temps que les autres...
- Et moi je fais quoi ?
- Toi tu te caches dans la voiture, en attendant qu'on revienne...
- Super, je suis rassuré...
- T'inquiète pas, et profite de la soirée maintenant... »
J'étais inquiet, mais bon, si je restais loin de l'action je ne risquais rien. Et si vraiment ça tournait mal, je partirai en voiture. De toute façon j'étais obligé d'y aller.
Puis Sweetzy ouvrit la porte et m'invita à entrer.
À l'intérieur, surprise, Kador était là, les deux filles que Sweetzy avait invité aussi.
Ils avaient l'air de s'amuser : Kador était en train d'en tripoter une, tandis que l'autre fumait du cr*ck.
Sweetzy me demanda :
« Tu veux venir te détendre avec nous ?
- Euh, nan merci je vais restais là...
- Tu veux un joint, une pills ?
- Nan merci, je veux rester lucide.
- Bon, bah à tout à l'heure, tu peux attendre dans cette pièce si tu veux... »
Aussitôt, aussitôt fait. J'entrais dans la pièce et je me suis allumé une clope en attendant.
Rapidement, leur petite réunion tourna en orgie. J'entendais des cris de jouissance, et je voyais les murs trembler.
Quand ce fut fini, après avoir fumé une dizaines de clopes, Sweetzy toqua à la porte et me fit signe de le suivre. Et tandis qu'on descendait l'escalier, il referma la porte à clef.
Les filles prirent un autre chemin que le nôtre.
Kador et moi sortirent de la baraque, et après avoir échanger quelques mots, nous prîmes la voiture avec Sweetzy, direction le lieu de l'échange.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire