Ma nouvelle vie de dealer
Par : HousseDeRocket
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 10
Publié le 28/12/08 à 17:03:17 par HousseDeRocket
[Je pris une coupe, et tous ensemble nous trinquèrent à cette soirée qui s'annonçait mémorable... ]
Après avoir bu quasi cul-sec ma coupe, j'entamais alors ma vente de produits stupéfiants : arrivé prés d'un groupe de 4 personnes de ma classe, commençais alors une conversation :
« Salut les gars, alors ça va ?
- Ouais ça va mec et toi ?
- Bien bien, euh dites-moi, vous savez que ce soir la fête va surement se finir très tard... et vous devrez peut-être avoir besoin d'un petit complément ?
- Pourquoi pas ? Combien ?
(ces types avaient l'air d'habitués, je ne pouvais pas les arnaquer de beaucoup...)
- 10€ le g et tu voles en Jamaïque !
-(rire) Okay vieux ça marche on en prend pour 30€
Et hop, déjà ma première transaction en même pas 5 minutes.
Je ne vais pas vous énumérer toutes mes transactions, mais sachez qu'en 1h30 j'ai vendu pour 650€, je n'avais jamais tenu autant d'argent en main, j'avoue que c'est bandant avec ça je peux faire tout ce que je veux, moi qui rêvais d'un petit écran HD pour ma chambre et d'une platine de DJ pro, me voilà servis .
Mes techniques de vente ne changeaient guerres, j'arrivais facilement à déterminer si les gens à qui je vendais étaient des habitués ou de simples pigeons facilement « baratinable » (comme j'aime à le dire). D'autant que ma belle gueule arrangée le coup avec les filles : il me suffisait de rajouter 1 ou 2 compliments pour en faire ce que je voulais.
Oui, moi Arthur, qui deux semaines auparavant n'aurait jamais essayait (ni même penser) de draguer une fille sans même la connaître un peu, j'arrivais maintenant à manipuler et baratiner.
A minuit passé j'en étais à 1300€, mes poches étaient pleines, heureusement j'en avais beaucoup . J'étais assez satisfait de moi, je m'autorisais une petite récréation : je me suis préparé un joint, et je l'ai fumé, je me suis aussi servis une petite vodka redbull.
Puis je suis allé rejoindre un groupe de mec et de nana à qui j'avais vendu ma marie-jeanne, et qui était salement amochés : les filles étaient toutes rouges et le maquillage dégoulinait un peu à cause de la sueur , les mecs étaient encore un peu conscient et discutaient normalement si ce n'est qu'ils rigolaient toutes les 20 secondes, un autre gars chialait, seul recroquevillé sur lui-même, allez savoir pourquoi ?
« Ca va les mecs ? Dis-je
- Ouuuaaisssss, mec, la nuit est froide dehors y a pas de soleil. Dit Bastien, un mec de ma classe en avalant ses mots et en rigolant comme doc gynéco
- T'as vu la correspondante australienne là-bas, elle danse toute seule ! Qu'elle est bonne putain !Répliqua Simon, qui était lui aussi salement déchiré
- J'avoue, son cul est bandant ! Répondis-je »
Je n'avais pas l'habitude de parler comme ça des filles, même si je n'en pensais pas moins. D'habitude j'étais timide, mais je me sentais tellement bien qu'il fallait absolument que je tente le coup avec Alisson, la correspondante australienne arrivée cet été à Amiens. Elle était assez grande, brune aux yeux bleus pâle, presque gris. Ses cheveux noirs bouclés tombaient sur ses épaules nues, sa courte robe rose laissait voir ses deux longues jambes soigneusement épilées avant la soirée. Elle se déhanchait plus qu'elle ne dansait. Parfois on voyait le tissus de sa robe rentrer entre ses fesses. Parlons donc de ses fesses ! Deux petits melons, parfaitement symétriques, musclées à souhait par des années de sport, chez elle en Australie. J'aurais donné n'importe quoi pour les toucher !
(je m'essaye au lyrisme )
J'admirais la grâce de ses mouvements. La farandole furieuse du tissus qui frotte sa peau, comme la caresse d'un vent frais sur un visage, dans un mouvement de va-et-vient qui remontait sa robe parfois jusqu'en haut des hanches et qui la redescendait la seconde d'après jusqu'aux genoux. Cette pudeur et cet audace m'enchantait, cette fille était là, seule, devant moi, elle savait que je la regardais depuis déjà quelques minutes, et pourtant elle fessait comme si je n'étais pas là, moi seul avec elle, je m'approchais discrètement mon coeur battait, elle était de dos maintenant, et comme un chat qui s'approche d'une tourterelle, j'observais et j'écoutais, à l'affut de l'instant fatidique où elle finirait bien par me remarquer. Chose faite ; elle se retourna, en souriant. Je dois avouer que la voir sourire était assurément la plus belle chose qui m'a était donné de voir dans ce bas monde.
(fin )
Je crois que la marie-jeanne et la redbull avaient transformées ma perception des choses : je me sentais tellement bien, j'avais chaud partout, je bandais comme un taureau. Alisson était dans le même état que moi. Elle m'invita à danser, et sans un mot je m'exécutais.
Je ne me souviens plus de rien, comment nous nous étions retrouvés quelques minutes après nus, dans la chambre des parents de Simon. Quoiqu'il en soit cette nuit je fis l'amour pour la première fois. Moi qui pensais que ce moment allait être mémorable, j'étais loin du compte : le lendemain matin je ne souvenais plus de rien ! Alisson était dans mes bras en train de dormir, et moi je n'avais pas bougé de toute la nuit.
Le pire dans tout ça c'est que mes parents me croyaient chez Tom
Je sortis de la chambre vers midi, après un dernier baiser sur la joue d'Alisson qui ne se réveillait pas. Je pris une pompe et un verre de jus d'orange puis je suis allé rejoindre les autres :
« Ca va les gars bien dormis ?
- Dur dur mec, j'ai encore la tête dans le cul
- J'ai pas dormis moi, je suis dead »
Je vous passe le reste de la conversation. A 1h00 de l'après-midi, Paul, un mec de la soirée nous ramena vers Amiens en voiture. Je n'avais pas de nouvelle d'Alisson et je flippais à l'idée de ne pas avoir mis de capote.
Arrivé chez moi, je pose le blouson sur mon lit et prend soin de cacher le fric tout en le comptant.
MERDE, il me manquait le contenus des deux poches de devant, soit 1000€ ! Comment allais-je faire ? Je vérifiais si je n'avais pas mal compté mais non, on m'a volé mon blé !
Je devais voir Kador dans 1h00 pour lui remettre sa part, je n'avais pas assez pour le rembourser. Bordel comment vais-je faire ? Négocier ? Je ne sais pas si Kador appréciera le fait que je baise alors qu'il me confis une telle somme d'argent!
Le rendez-vous approchait, je devais y aller.
Quand j'arrivai sur les lieux, Kador semblait déjà être très remonter... Et moi je pissais dans mon froc.
Après avoir bu quasi cul-sec ma coupe, j'entamais alors ma vente de produits stupéfiants : arrivé prés d'un groupe de 4 personnes de ma classe, commençais alors une conversation :
« Salut les gars, alors ça va ?
- Ouais ça va mec et toi ?
- Bien bien, euh dites-moi, vous savez que ce soir la fête va surement se finir très tard... et vous devrez peut-être avoir besoin d'un petit complément ?
- Pourquoi pas ? Combien ?
(ces types avaient l'air d'habitués, je ne pouvais pas les arnaquer de beaucoup...)
- 10€ le g et tu voles en Jamaïque !
-(rire) Okay vieux ça marche on en prend pour 30€
Et hop, déjà ma première transaction en même pas 5 minutes.
Je ne vais pas vous énumérer toutes mes transactions, mais sachez qu'en 1h30 j'ai vendu pour 650€, je n'avais jamais tenu autant d'argent en main, j'avoue que c'est bandant avec ça je peux faire tout ce que je veux, moi qui rêvais d'un petit écran HD pour ma chambre et d'une platine de DJ pro, me voilà servis .
Mes techniques de vente ne changeaient guerres, j'arrivais facilement à déterminer si les gens à qui je vendais étaient des habitués ou de simples pigeons facilement « baratinable » (comme j'aime à le dire). D'autant que ma belle gueule arrangée le coup avec les filles : il me suffisait de rajouter 1 ou 2 compliments pour en faire ce que je voulais.
Oui, moi Arthur, qui deux semaines auparavant n'aurait jamais essayait (ni même penser) de draguer une fille sans même la connaître un peu, j'arrivais maintenant à manipuler et baratiner.
A minuit passé j'en étais à 1300€, mes poches étaient pleines, heureusement j'en avais beaucoup . J'étais assez satisfait de moi, je m'autorisais une petite récréation : je me suis préparé un joint, et je l'ai fumé, je me suis aussi servis une petite vodka redbull.
Puis je suis allé rejoindre un groupe de mec et de nana à qui j'avais vendu ma marie-jeanne, et qui était salement amochés : les filles étaient toutes rouges et le maquillage dégoulinait un peu à cause de la sueur , les mecs étaient encore un peu conscient et discutaient normalement si ce n'est qu'ils rigolaient toutes les 20 secondes, un autre gars chialait, seul recroquevillé sur lui-même, allez savoir pourquoi ?
« Ca va les mecs ? Dis-je
- Ouuuaaisssss, mec, la nuit est froide dehors y a pas de soleil. Dit Bastien, un mec de ma classe en avalant ses mots et en rigolant comme doc gynéco
- T'as vu la correspondante australienne là-bas, elle danse toute seule ! Qu'elle est bonne putain !Répliqua Simon, qui était lui aussi salement déchiré
- J'avoue, son cul est bandant ! Répondis-je »
Je n'avais pas l'habitude de parler comme ça des filles, même si je n'en pensais pas moins. D'habitude j'étais timide, mais je me sentais tellement bien qu'il fallait absolument que je tente le coup avec Alisson, la correspondante australienne arrivée cet été à Amiens. Elle était assez grande, brune aux yeux bleus pâle, presque gris. Ses cheveux noirs bouclés tombaient sur ses épaules nues, sa courte robe rose laissait voir ses deux longues jambes soigneusement épilées avant la soirée. Elle se déhanchait plus qu'elle ne dansait. Parfois on voyait le tissus de sa robe rentrer entre ses fesses. Parlons donc de ses fesses ! Deux petits melons, parfaitement symétriques, musclées à souhait par des années de sport, chez elle en Australie. J'aurais donné n'importe quoi pour les toucher !
(je m'essaye au lyrisme )
J'admirais la grâce de ses mouvements. La farandole furieuse du tissus qui frotte sa peau, comme la caresse d'un vent frais sur un visage, dans un mouvement de va-et-vient qui remontait sa robe parfois jusqu'en haut des hanches et qui la redescendait la seconde d'après jusqu'aux genoux. Cette pudeur et cet audace m'enchantait, cette fille était là, seule, devant moi, elle savait que je la regardais depuis déjà quelques minutes, et pourtant elle fessait comme si je n'étais pas là, moi seul avec elle, je m'approchais discrètement mon coeur battait, elle était de dos maintenant, et comme un chat qui s'approche d'une tourterelle, j'observais et j'écoutais, à l'affut de l'instant fatidique où elle finirait bien par me remarquer. Chose faite ; elle se retourna, en souriant. Je dois avouer que la voir sourire était assurément la plus belle chose qui m'a était donné de voir dans ce bas monde.
(fin )
Je crois que la marie-jeanne et la redbull avaient transformées ma perception des choses : je me sentais tellement bien, j'avais chaud partout, je bandais comme un taureau. Alisson était dans le même état que moi. Elle m'invita à danser, et sans un mot je m'exécutais.
Je ne me souviens plus de rien, comment nous nous étions retrouvés quelques minutes après nus, dans la chambre des parents de Simon. Quoiqu'il en soit cette nuit je fis l'amour pour la première fois. Moi qui pensais que ce moment allait être mémorable, j'étais loin du compte : le lendemain matin je ne souvenais plus de rien ! Alisson était dans mes bras en train de dormir, et moi je n'avais pas bougé de toute la nuit.
Le pire dans tout ça c'est que mes parents me croyaient chez Tom
Je sortis de la chambre vers midi, après un dernier baiser sur la joue d'Alisson qui ne se réveillait pas. Je pris une pompe et un verre de jus d'orange puis je suis allé rejoindre les autres :
« Ca va les gars bien dormis ?
- Dur dur mec, j'ai encore la tête dans le cul
- J'ai pas dormis moi, je suis dead »
Je vous passe le reste de la conversation. A 1h00 de l'après-midi, Paul, un mec de la soirée nous ramena vers Amiens en voiture. Je n'avais pas de nouvelle d'Alisson et je flippais à l'idée de ne pas avoir mis de capote.
Arrivé chez moi, je pose le blouson sur mon lit et prend soin de cacher le fric tout en le comptant.
MERDE, il me manquait le contenus des deux poches de devant, soit 1000€ ! Comment allais-je faire ? Je vérifiais si je n'avais pas mal compté mais non, on m'a volé mon blé !
Je devais voir Kador dans 1h00 pour lui remettre sa part, je n'avais pas assez pour le rembourser. Bordel comment vais-je faire ? Négocier ? Je ne sais pas si Kador appréciera le fait que je baise alors qu'il me confis une telle somme d'argent!
Le rendez-vous approchait, je devais y aller.
Quand j'arrivai sur les lieux, Kador semblait déjà être très remonter... Et moi je pissais dans mon froc.
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