Nouvelles en pagaille
Par : Khamsou
Genre : Sentimental , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 2
Free Bird
Publié le 14/09/10 à 20:25:23 par Khamsou
Le silence était pesant dans la salle de classe. Personne n’osait parler alors que le professeur écrivait nerveusement des formules et équations compliquées sans grand sens au tableau, mais malgré tout d’une parfaite logique. Cette même logique exaspérait Mellowdeus à un point qu’il serrait son poing sous la table. Il avait autre chose à foutre que de remplir des feuilles de papier de calcul. Il ne voulait pas critiquer le système scolaire comme un rebelle qui suivrait des idées pré-conçues ou quoique ce soit. Mais il le savait. Les maths ça ne lui apporterait rien dans la vie.
Mellowdeus dodelina de la tête. Il avait peu dormi cette nuit. Et voir l’instituteur enguirlander un élève pour un exercice mal fait le mit hors de lui. Il se leva. Sa voisine, presque aussi endormie que lui le regarda d’un regard étonnée. En fait, toute la classe avait le regard fixé sur lui, à part quelques uns qui regardaient le prof d’un air inquiet. Ce dernier somma l’élève de s’asseoir, ce à quoi il répondit en déchirant une feuille de son cahier. L’enseignant le vira du cours. Mellowdeus sortit sans prendre son sac et ses affaires. Il ne comptait pas rester là. Il courut jusqu’à un mur et sauta pour l’escalader, son agilité le surprit. Il se hissa à la force de ses bras au-dessus du muret et sauta sur le trottoir de la rue devant l’école alors qu’un surveillant courrait derrière pour lui le rattraper.
Dehors encore, il continua de courir. Maintenant qu’il avait fait tout ça, il n’avait plus aucune raison de s’arrêter. Il finit par sortir de la ville. Une rupture avec la société qui l’avait élevé et conditionné aux côtés des autres. Ses semblables. Et pourtant, ils ne se reconnaissaient pas en eux. Ils étaient tellement différents, arrogants, ou piégeurs. Pas tous bien sûr, mais malgré leur culture commune, leurs goûts communs ou leurs destins communs, il ne les supportait pas.
Et maintenant il était libre ! LIBRE ! Il s’éloignait maintenant de la route pour s’enfoncer en pleine nature. Il arriva finalement à un coin idyllique. Sur le versant d’une montagne, un paysage haut en couleur avec une faune de toute sorte et des animaux qui gambadaient encore librement. Devant eux s’étendaient un océan qui s’étendaient jusqu’à l’horizon. Mellowdeus se déshabilla. Il envoya son téléphone portable et son porte-monnaie contenant toute sorte de carte de fidélité en l’air et courut agilement jusqu’au sommet de la montagne, au milieu des aigles vaillants et des faucons courageux. Là-haut, il sauta et plana à l’aide de ses deux magnifiques ailes. Contempler le monde d’en haut l’émerveilla. Il se surprit à sourire et à rire, il piqua et plongea dans l’eau pour découvrir de merveilleux fonds marins, rire avec les poissons ou faire la course avec des dauphins. Le monde s’offrait à moi. Il attendait juste que j’en devienne son maître. Plus de frontières…
- Le 5, le 6, le 7, le 8 page 33, le 42 page 36, la fiche d’exercice et la leçon, à demain.
Mellowdeus dodelina de la tête. Il avait peu dormi cette nuit. Et voir l’instituteur enguirlander un élève pour un exercice mal fait le mit hors de lui. Il se leva. Sa voisine, presque aussi endormie que lui le regarda d’un regard étonnée. En fait, toute la classe avait le regard fixé sur lui, à part quelques uns qui regardaient le prof d’un air inquiet. Ce dernier somma l’élève de s’asseoir, ce à quoi il répondit en déchirant une feuille de son cahier. L’enseignant le vira du cours. Mellowdeus sortit sans prendre son sac et ses affaires. Il ne comptait pas rester là. Il courut jusqu’à un mur et sauta pour l’escalader, son agilité le surprit. Il se hissa à la force de ses bras au-dessus du muret et sauta sur le trottoir de la rue devant l’école alors qu’un surveillant courrait derrière pour lui le rattraper.
Dehors encore, il continua de courir. Maintenant qu’il avait fait tout ça, il n’avait plus aucune raison de s’arrêter. Il finit par sortir de la ville. Une rupture avec la société qui l’avait élevé et conditionné aux côtés des autres. Ses semblables. Et pourtant, ils ne se reconnaissaient pas en eux. Ils étaient tellement différents, arrogants, ou piégeurs. Pas tous bien sûr, mais malgré leur culture commune, leurs goûts communs ou leurs destins communs, il ne les supportait pas.
Et maintenant il était libre ! LIBRE ! Il s’éloignait maintenant de la route pour s’enfoncer en pleine nature. Il arriva finalement à un coin idyllique. Sur le versant d’une montagne, un paysage haut en couleur avec une faune de toute sorte et des animaux qui gambadaient encore librement. Devant eux s’étendaient un océan qui s’étendaient jusqu’à l’horizon. Mellowdeus se déshabilla. Il envoya son téléphone portable et son porte-monnaie contenant toute sorte de carte de fidélité en l’air et courut agilement jusqu’au sommet de la montagne, au milieu des aigles vaillants et des faucons courageux. Là-haut, il sauta et plana à l’aide de ses deux magnifiques ailes. Contempler le monde d’en haut l’émerveilla. Il se surprit à sourire et à rire, il piqua et plongea dans l’eau pour découvrir de merveilleux fonds marins, rire avec les poissons ou faire la course avec des dauphins. Le monde s’offrait à moi. Il attendait juste que j’en devienne son maître. Plus de frontières…
- Le 5, le 6, le 7, le 8 page 33, le 42 page 36, la fiche d’exercice et la leçon, à demain.
15/09/10 à 08:24:46
Pas mal :) Suivante :)
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