Note de la fic : 
Publié le 05/12/2010 à 20:00:41 par LittleJulio
Les dix premières se furent avec facilité. Les vingt suivantes commençaient à tirer sur mes bras. Voilà une trentaine de faites mais cela me semblait déjà le bout du monde. Un peu plus tard, j’arrivais à cinquante avec beaucoup de mal. Je sentais le sang couler dans mes veines, mes battements de cœur de plus en plus rapides non seulement par l’effort mais aussi par le stress. Par la peur d’échouer. Et si je n’y arrivais pas ? Qu’allait-il se passer ? Pendant que je me posais tout un tas de questions, je continuais mes pompes avec difficulté. Une trop grande difficulté : soixante et une, soixante deux, soixante trois… Mes bras avaient lâchés d’eux-mêmes. C’en était trop.
-Très bien, c’est plutôt un bon début, mais ce n’est pas assez. Tu te reposes deux minutes et tu m’en fais cent cinquante en repartant du début.
Je ne devais pas contester ni montrer mon mécontentement. Je devais me retenir, encaisser, encore un peu, je savais qu’au moins ces efforts n’auraient pas été vains.
Plein de motivation, j’attaquais la deuxième série, plus longue.
C’est quinze minutes plus tard et quasiment sans plus aucun problème que je réussis cet exercice qu’il y a encore une demi-heure j’étais incapable de faire, ne serait-ce qu’à moitié. Quelque part en moi, j’étais fier. C’était l’une des rares choses que j’avais réussi dans ma vie, hormis avoir des bonnes notes.
-Tu fais 100 abdos. Mais avant tu te reposes deux minutes.
J’acquiesçais avec joie, je n’avais pas eu ma dose d’effort pour la journée. Je pris le temps de souffler pendant ces cent vingt secondes. Bien inspirer, bien expirer. Je savais que beaucoup trop de combattants amateurs étaient trop vite essoufflés parce qu’ils respiraient mal. Et ce n’est qu’à moitié surpris que je réussissais sans difficulté réelle la centaine d’abdos.
-Ok, parfait, ça rentre vite on dirait. Bon tu passes à l’étape suivante.
-L’étape suivante ?! répondis-je étonné.
-Ouais, exactement, moi j’me présente, Dimitri. Mais tout le monde m’appelle Dim ici. Avec moi, en peu de temps tu sauras manier les poings et les pieds à la perfection.
Cette voix sortie de nul part m’enchantait déjà . Et c’est sans plus tarder que commençait l’entraînement.
-Très bien, c’est plutôt un bon début, mais ce n’est pas assez. Tu te reposes deux minutes et tu m’en fais cent cinquante en repartant du début.
Je ne devais pas contester ni montrer mon mécontentement. Je devais me retenir, encaisser, encore un peu, je savais qu’au moins ces efforts n’auraient pas été vains.
Plein de motivation, j’attaquais la deuxième série, plus longue.
C’est quinze minutes plus tard et quasiment sans plus aucun problème que je réussis cet exercice qu’il y a encore une demi-heure j’étais incapable de faire, ne serait-ce qu’à moitié. Quelque part en moi, j’étais fier. C’était l’une des rares choses que j’avais réussi dans ma vie, hormis avoir des bonnes notes.
-Tu fais 100 abdos. Mais avant tu te reposes deux minutes.
J’acquiesçais avec joie, je n’avais pas eu ma dose d’effort pour la journée. Je pris le temps de souffler pendant ces cent vingt secondes. Bien inspirer, bien expirer. Je savais que beaucoup trop de combattants amateurs étaient trop vite essoufflés parce qu’ils respiraient mal. Et ce n’est qu’à moitié surpris que je réussissais sans difficulté réelle la centaine d’abdos.
-Ok, parfait, ça rentre vite on dirait. Bon tu passes à l’étape suivante.
-L’étape suivante ?! répondis-je étonné.
-Ouais, exactement, moi j’me présente, Dimitri. Mais tout le monde m’appelle Dim ici. Avec moi, en peu de temps tu sauras manier les poings et les pieds à la perfection.
Cette voix sortie de nul part m’enchantait déjà . Et c’est sans plus tarder que commençait l’entraînement.